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Pierre Houssin

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  1. Pierre Houssin

    Wild M3

    Bonjour, voici ma dernière acquisition : un Wild Heerbrugg M3 en parfait état Il dispose d'un objectif principal commun (formule optique CMO Common Main Objective), d'un tambour changeur x6,4, x16, x40 parfocal et d'oculaires x10/21mm. Pour obtenir d'autres grossissements, on peut rajouter un objectif supplémentaire (cela joue sur la distance de travail) ou changer les oculaires (dans certaines limites, pour éviter le grandissement "vide" : x16 est idéal). Wild, légendaire fabricant suisse du microscope M20 est devenu Leica lequel fait perdurer ces stéréomicroscopes avec les séries MS et MZ. La série des Wild M3 est très réputée, ainsi que le M5 du même constructeur : ils sont considérés comme quasi éternels par les professionels de la maintenance car ils sont toujours réparables en plus d'être très solides. La série des M3 est constituée de : - M3 : le mien, le premier et le plus simple. L'objectif exagère l'effet de relief ce qui est très agréable en biologie et minéralogie mais constitue une difficulté en contrôle de circuit imprimé électronique - M3B : meilleure planéité du champ - M3C : tambour à 5 grossissements, similaire au Leica MS5 - M3Z : avec zoom, planéité parfaite, similaire au Leica MZ6 Leica a remplacé les capots en métal (inaltérable) par du plastique anti-statique qui présente une facheuse tendance au jaunissement. Les oculaires super grand champ (23mm) des Leica S4/S6 sont parfaitement compatibles avec les Wild M : on peut les trouver à prix modiques chez www.ehlert-partner.de. Visiblement un accord (sans lendemain ?) entre Wild et Motic (fabricant chinois de microscopes de grande qualité, d'ailleurs actuellement sous traitant de plusieurs grandes marques) fait que ce dernier fabrique d'excellents clones des Wild séries M. Conséquence sympathique, les accessoires de la série K de Motic sont compatibles avec les Wild série M. Je possède une copie du manuel : le fichier sera prochainement disponible sur www.science-info.org. Je ne dispose d'aucune date sur la période de fabrication des Wild M3 : je suis preneur de toute information à ce sujet. Source : mailing list Yahoo microscope Complément de dates : D'après ce document Leica, le M3 est sorti en 1973, les M3B/C/Z en 1983 D'après ce document Leica, le M5 a été produit de 1958 à 1985 Le logo Wild inscrit sur mon M3 est apparu en 1974. Sources : www.wild-heerbrugg.com/History.htm
  2. Encore un microscope sauvé ! Il croupissait avec deux autres dans la remise humide et poussiéreuse au fond du jardin d'un laboratoire. Les parties non peintes (qui auraient dues être en inox !) sont plus ou moins rouillées mais le tout fonctionne encore. Les optiques sont elles, parfaites. La partie optique (équivalent tube mécanique de longueur 160mm) est constituée de : - tête binoculaire type Siedentopf* de facteur x1.6 avec compensation dioptrique sur un coté - deux oculaires A x6.3 (A signifie sans compensation) - objectifs : achromatique x10/0.25 160/-, semiplan x6.3/0.16 160/- *Pour rappel, le principe "Siedentopf" est un design de tête binoculaire en "aile de pigeon" permettant de maintenir une longueur de tube optique constante quelque soit le réglage de distance interpupillaire : il n'est ainsi pas nécessaire d'équiper la tête d'une compensation de longueur de tube sur chaque porte oculaire. Une seule suffit pour la compensation dioptrique d'un éventuel déséquilibre entre les yeux de l'utilisateur. La platine est équipée d'une rondelle amovible permettant de réduire l'orifice et ainsi de pouvoir utiliser des petites boites de Pétri. Il n'y a pas de mouvement micrométrique de mise au point : ceci n'est pas gênant vu le grossissement maximun limité de x100 (d'après la documentation disponible). L'éclairage est constitué du corps de lampe "standard" Zeiss de l'époque à ampoule incandescente à vis de 6v 15w Narva et dispose d'un diaphragme et d'un porte filtre. Le support d'éclairage et la platine sont réglables en hauteur : le mouvement est simplement coulissant sur un rail sans engrenages. Le blocage est assuré grâce à un outil spécial encore présent. Le pied du revolver porte-objectif comporte un emplacement fileté de 20mm de diamètre pour filtre polarisant si l'on en croit les inscriptions 0 à 90. D'après le document "Axiovert 200 The New Standard in Inverted Microscopy" (page 3), Le Telaval date de 1968 mais mes sources habituellement fiables mentionnent 1976 car le premier catalogue connu date de cette année. Un article en allemand inaccessible faute d'être abonné à Medline est mentionné par les moteurs de recherche : Telaval--the inverted microscope of VEB Carl Zeiss, Jena, Weidel G. PMID: 5684965 [PubMed - indexed for MEDLINE] Lui ont succédé le Telaval 2 avec un nouveau système d'éclairage, le Telaval 3 et enfin le Telaval 31.
  3. Encore un microscope sauvé ! Il croupissait avec 2 autres dans la remise humide et poussiéreuse au fond d'un jardin d'un laboratoire. Ce microscope est toujours d'actualité : il est encore fabriqué par Hund qui a repris en 1988 les activités de Will Wetzlar. On peut trouver sur le site la brochure commerciale et le prix des différentes versions disponibles. Que dire de particulier au sujet de ce microscope tout à fait standard ? Sa taille est modérée bien que de fabrication robuste : pratique pour les espaces limités dont bénéficie souvent notre passion. Son condenseur d'une ON 1.25 comporte une lentille auxiliaire ON 0.6 pour les objectifs <x10 Il est centrable au moyen de 2 vis Allen, tandis que le diaphragme de champ est lui centrable sans outil. Après démontage, nettoyage complet et lubrification, il fonctionne parfaitement. J'ai récupéré également son frère jumeau équipé lui d'un système d'épifluorescence à lampe HBO (vapeur de mercure haute pression) de 50W avec filtre d'excitation bleu-vert-UV et filtre d'émission rouge : ce système équipe maintenant mon Zeiss Standard 18 sur lequel il s'adapte moyennant un serrage soigneux. Quel bonheur de voir la chlorophylle émettre sa belle couleur rouge !
  4. Bonjour, Voici un éclairage externe avec ampoule à incandescence à douille à vis Narva de 6v 15w, acquis sur ebay à un tarif intéressant (pour une fois, car je trouve que le prix de vente de ce type d'éclairage s'envole toujours vers des sommets). Vous trouverez le catalogue original (en allemand) qui la présente chez Mikroskop-online.de. Sa fabrication doit se situer après 1948, date de création de la marque VEB Carl Zeiss Jena après la scission Est/Ouest de l'Allemagne. Le logo Q1 semble (d'après mes recherches) correspondre à un label de haute qualité que VEB CZJ utilise parfois : je pense surtout que c'est du pure marketing. Le corps est en verre "rubis" (extrait de la doc) : on voit légèrement au travers la lueur du filament. Le pied est en métal lourd et une rotule solidarise le tout. Aucun centrage de l'ampoule n'est nécessaire : la précision de fabrication de l'ampoule (position du filament) et de son support permet de s'en passer. Il est équipé d'un collecteur avec lentille asphérique, d'un diaphragme de champ, d'une fente pour inserer un filtre attaché à une "languette" : on peut y mettre un filtre classique de 32mm de diamètre (un filtre bleu CB12 est idéal) mais il faut retourner la lampe pour le récupérer (attention à la casse). Je ne possède pas l'alimentation d'origine mais une alimentation compatible Nachet (qui devait accompagner un éclairage type 257 malheureusement irrécupérable) : 15w jusqu'à 6v en 6 pas, le connecteur est le même (merci Nachet). Cet éclairage permet donc de procéder à l'illumination du sujet selon Köhler : le fait de voir le filament de l'ampoule permet de respecter son principe au sens strict. Cet éclairage est devenu le compagnon de mon Zeiss LWdE 1934 : les résultats sont très bons. Il me manque simplement un filtre mat pour ne plus voir le filament dans le champ du microscope.
  5. Trouvé avec le Carl Zeiss Jena statif L, un Stiassnie, marque française disparue. A noter une poignée de transport intégrée dans le statif, des objectifs d'époque dépareillées. Il a très mal vieilli : la peinture est partie à de très nombreux endroits. Aucune autre information trouvée sur le net : vous pouvez me contacter si vous avez des informations sur ce microcope ou sur la marque. Un sympathique contributeur (Wallace Kelley wkelley@talstar.com, Tallahassee, Floride) du groupe Yahoo Microscope (une mine d'or malheureusement desservie par un moteur de recherche extrèmement limité) m'a envoyé ces informations : Email de 1998 de F. Lejolivet à Wallace Kelley : Maurice Stiassnie était le beau-fils de Constant Verick, un fabricant de microscope et un apprenti de Edmund Hartnack. Verick et Stiassnie s'associèrent en 1882, et Stiassnie succéda à son beau-père entre 1885 et 1895. Son adresse était "2, rue de la Parcheminerie à Paris" durant son association avec Verick et devint "204, boulevard Raspail, Paris" après la fin de l'association. La signature est "M. Stiassnie, Paris". Il s'associa avec son frère en 1922 et l'entreprise devint "Stiassnie Frères Paris". En 1936, l'adresse est "67, boulevard Auguste Blanqui". Après la seconde guerre mondiale, l'entreprise ne pouvait plus concurrencer la production allemande post 1945 et ferma. Une tentative de recréer l'usine en 1970 échoua. Message sur le forum de Gemmary.com en 1999 : Les microscopes Stiassnie datent probablement de 1905 à 1915. Remarques de Wallace Kelley sur la liste Yahoo Microscope le 12 fév 2006 : Je trouve la nomenclature des objectifs Stiassnie plutôt problématique par rapport aux autres marques. J'ai un Stiassnie #4, probablement une lentille 1/2 pouce ou 12mm, avec une NA de 0.30 un Stiassnie #8, à sec, peut être x50 ou x60 un Stiassnie 1/15 à immersion par huile avec une NA de 1.32 Globalement les lentilles sur mon Stiassnie sont très bonnes. Le réglage fin du microscope est excellent. Conclusion : ce microscope a été fabriqué entre 1905 et 1915. En complément, voici le seul site (en allemand) trouvé pour l'instant qui traite de façon notable de Stiassnie par la description de deux superbes microscopes : mikroskop-museum.de
  6. Bonjour, j'ai la joie de vous présenter un rescapé : je l'ai sauvé de l'oubli, rangé ou plutôt jeté derrière des bouteilles d'acide d'un placard d'un vieux laboratoire. Je pensais qu'il était mort : mécanique bloquée, probablement optiques détruites par les vapeurs d'acide. Il n'en est rien : le voici après un nettoyage énergique non encore parfait. C'est un Carl Zeiss Jena statif L (L-stativ en allemand) qui a fait un tabac à sa sortie en 1933. D'après le catalogue 1937 Zeiss c'est un Large Routine Microscope LWdD avec tête binoculaire Bitukni L (type Siedentopf x1.5), celui qui est en page de garde de ce catalogue, un des fleurons de la gamme à l'époque : - L : statif L - Wd : condenseur d'Abbe avec déplacement latéral du diaphragme - D : platine rotative "vulcanite" avec surplatine à mouvements croisés Les optiques d'origine sont là : oculaires Huygens, condenseur 1.2, 4 objectifs (8, 20, 40, HI 90/iris 0.8~1.25) Il est totalement fonctionnel, optiques parfaites. Il me reste à le compléter d'un éclairage externe adapté. Catalogue 1937 Zeiss Il porte le numéro de série 259570. D'après mes recherches, l'article de Brice Bracegirdle "Notes on Modern Microscope Manufacturers" édité dans le volume de 1996 du Quekett Microscopical Club d'Oxford donne la correspondance numéro de série/date de fabrication. Si quelqu'un possède des détails supplémentaires sur ce microscope, sur l'article sus-cité, merci de me contacter. On remarquera que le Lomo Biolam est une copie presque parfaite du Zeiss Jena L, cela va jusqu'au système de décalage latéral du diaphragme du condenseur, absolument identique ! Bonjour, je viens de recevoir des informations de la personne qui gère les archives chez Zeiss, Dr. Wolfgang Wimmer wimmer@zeiss.de à qui on peut écrire en anglais : Il a été produit en novembre 1934 et livré à Stuttgart en novembre 1938. C'est un statif L, type CE (je ne sais pas ce que signifie le C, le E correspond à la grande platine rotative centrable avec surplatine à mouvements croisés), équipé des objectifs 8, 20, 40, 90 à iris, tête binoculaire D, oculaires 7, 10 et compensés 15 (je n'ai cependant qu'une seule paire). Description et dessin dans le Virtual Museum sous le numéro 2413. Donc cela corrige ma description : j'avais fait erreur sur le nom de la platine, la platine rotative "vulcanite" D ne comporte pas de surplatine à mouvements croisés. De plus, l'objectif x40 est malheureusement inondé par de l'huile car il a la même longueur que l'objectif à immersion. Maintenant accompagné d'un éclairage un peu plus récent mais constituant un ensemble cohérent, visible ici.
  7. Bonjour, le Standard 18 est un Standard 16 avec une tourelle porte-objectifs interchangeable à 4 ou 5 positions. Le mien fait partie des derniers fabriqués : son éclairage halogène est piloté par une alimentation surmoulée intégrée au pied du statif, stabilisée, avec potentiomètre de réglage d'intensité. Le Standard 16 que je n'utilise plus était lui équipé d'un transformateur avec rhéostat. Je l'utilise avec les fameux oculaires compensés KPL x10/18mm, des objectifs Zeiss, dont un x40 A-Plan Ph2 tout neuf, et un condenseur à lentille basculable d'ON 1.3. Acquis complet sur ebay ~370€ (sans les objectifs que j'utilise) auprès d'un aquariophile allemand qui l'avait acheté à un laboratoire 1000€ 2 ans auparavant, il est en parfait état après maintenance. Mes projets sur ce microscope : - avoir une autre tourelle porte-objectifs de façon à en avoir une pour la lecture de frottis sanguin et une pour le reste - rajouter un bon condenseur pour contraste de phase (ON 1.4) avec au minimum la plaque de Phase 2 - acquérir un beamsplitter pour y mettre de façon définitive l'APN ou la webcam Je ne vous mets que les photos des détails spécifiques au Standard 18, pour le reste, je vous renvoie sur le sujet Standard 16. FAIT Possédant déjà un tube monoculaire et un oculaire adapté à mon APN, je souhaite faire un montage inspiré du suivant : Je mettrai probablement la tête bino en position frontale (en l'inversant) à la place du tube à dessin de la photo, et le tube photo (en fait un tube mono avec APN sur oculaire) en position haute. Fait aussi : bientôt des photos du montage Bonjour, voici la photo de l'installation : un Zeiss Standard 18 avec condenseur Phako ON 1.4 et Beamsplitter (100/0, 50/50, 0/100). J'y rajouterai bien un Nikon Coolpix 990 avec télécommande-déclencheur. En effet, l'écran orientable est un plus très intéressant. En attendant, je vais rajouter un cable déclencheur bricolé sur mon Fuji F700. Conséquence amusante : il me faut maintenant un coussin pour atteindre les oculaires !
  8. Microscope Zeiss Standard 16 ce modèle existe avec deux type d'éclairage : à ampoule à incandescence ou halogène. Je possède le modèle avec lampe halogène. L'éclairage, équipé d'un dépoli non amovible, comporte un diaphragme de champ. Le condenseur ON 0.9 est centrable et réglable en hauteur et présente une lentille basculante pour les faibles grossissements ainsi qu'un diaphragme. La platine est à mouvements croisés avec molettes coaxiales mais horizontales : cela lui donne un petit air "vintage" que j'aime bien. La longueur du trajet optique est de 160mm parafocalisé pour des objectifs de 45mm. La tourelle supporte 5 objectifs : initialement équipée des objectifs Zeiss "basiques" des années 80 récupéré sur le KF 2 cité pas loin d'ici, maintenant complétée d'un vieux Zeiss 100/1.30 à huile, d'un Nikon Plan 40/0.75 et d'un Nikon Plan 60/0.85 NCG (sans lamelle). Ce dernier est idéal pour la lecture de frottis (sang coloré au May Grümwald Giemsa). La tête binoculaire de type Siedentopf (réglage de la distance pupillaire "en aile d'oiseau" c'est à dire maintenant la longeur du tube optique constante, pas de modification de la mise au point) , vendue comme parfaite, présentait ses deux prismes cassés dans un angle. Par chance, cela n'a aucune incidence sur le champ visuel et m'a permis d'obtenir un remboursement quasi total de la tête. La tête est d'origine et donc parfaitement intégrée dans le design du microscope. Les oculaires sont des Kpl (compensé plan) x10 à grand champ (18mm) à haut relief d'image (idéal pour les porteurs de lunettes) : leur réputation ne s'est pas démenti, ils sont très agréables. Je suis à la recherche du dispositif qui se place sous le condenseur, comportant un porte filtre et une lentille additionnelle (axe de blocage et fixation compris) : voir la description du Standard 14 Le tout a été acquis en pièces détachées (cela n'a pas été simple) sur ebay auprès d'un allemand, les oculaires ont été achetés à part, sur ebay à un tarif TRES intéressant (3 fois moins chers que d'habitude). La mécanique foncionne parfaitement. Un autocollant mentionne qu'il a été revu par Zeiss en juillet 2004, ce qui ne m'a pas empêché de batailler dur pour centrer le diaphragme de champ par rapport à l'objectif ! La base du statif présente une tentative de fraisage sur le coté gauche, je me demande pourquoi. Mon premier "vrai" microscope :)
  9. Bonjour, voici le premier microscope que j'ai acquis, un peu sur un coup de tête sans vraiment étudier les détails de ce microscope. Une fois reçu, j'ai réalisé qu'il n'était pas équipé d'un diaphragme de champ, ne pouvant ainsi réaliser d'éclairage de Köhler. Le condenseur est simplifié : il ne comporte pas de réglage de hauteur. Cependant, Aphylla m'a apporté une information intéressante je cite : "Jusqu"au 10x,en jouant avec le levier du condenseur,on arrive à réaliser de bons fonds noirs." C'est à dire en le plaçant entre les 2 positions normales : du fond noir pour pas cher ! La tête monoculaire est facilement échangeable par une tête binoculaire type Siedentorpf (à réglage de distance interpupillaire sur axe pivotant) Zeiss : le KF 2 étant un Standard 14 simplifié à bas coût, les têtes bino des Zeiss Standard sont compatibles. La documentation est téléchargeable sur ce forum germanophone. L'oculaire fournit est un modèle en plastique, à champ large, adapté aux porteurs de lunettes. La platine est ici à valets mais il est possible de la compléter par une surplatine à mouvements croisés de fabrication indienne disponible sur ebay. En cas de changement de la platine complète, il faut s'assurer de pouvoir fixer en dessous le condenseur. L'éclairage se fait par une lampe halogène : la luminosité obtenue avec tous les objectifs est agréable. Le Zeiss KF 2 monoculaire est souvent vendu dans un état quasi neuf par des allemands sur ebay à des tarifs intéressants : je pense que ce modèle a dû équiper des écoles (de quel niveau d'études, je ne sais pas) et que celles-ci ont changés d'équipement.
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