solito de solis Posté(e) le 10 juillet 2016 Signaler Partager Posté(e) le 10 juillet 2016 Il ressemble à un rotifère, c'est facile, surtout lorsque l'on voit ses yeux, bien que un peu allongés verticalement,mais surtout par son pied et sa façon de se comporter. Il possède bien sûr tous les articles d'un rotifère.Ce n'est pas Rotaria sordida qui vit lui aussi dans les déchets végétaux parce que Sordida ne possède pas d'"yeux rouges".Il se cache dans les débris végétaux et minéraux qui se collent à lui comme pour certains tardigrades.Sa cuticule est rugueuse ou poilue (le sujet rotifère poilu ? est en fait un jeune Rotaria tardigrada)Il est énorme. On renseigne sa taille maximum d'environ 750 µ.Les photos de celui-ci extraites de rushs videos nous montrent un exemplaire de 600 µ (non étendu)Une video suivra... je dois aller en recollecter un autre pour de meilleures images extrémité de la lorica avec le pied qui surgit mais pas trop visible détails des orteils bien que pas trop visibles SDS Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
solito de solis Posté(e) le 11 juillet 2016 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 11 juillet 2016 https://youtu.be/2IwGI7BGXjY Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Luc Bethmont (Picroformol) Posté(e) le 11 juillet 2016 Signaler Partager Posté(e) le 11 juillet 2016 Belle bête, je suppose que le nom vient du fait qu' il a une taille voisine d' un tardigrade? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
solito de solis Posté(e) le 11 juillet 2016 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 11 juillet 2016 Je ne sais pas trop mais Son nom plus complet est Rotaria tardigrada (Ehrenberg, 1832) peut-être parce que tout comme les tardigrades et sans doute d'autres bdelloides, il peut subir des transfert de gènes horizontaux (voir l'article sur ce sujet déposé sur le tardigrade de Don Cosinus)bien plus fréquemment que ne le permet autrement la méiose. Déshydratation, dessication, rupture des chaînes ADN puis reconstruction avec "tout ce qui vient" et qui peut entrer dans le noyau alors que chez les eucaryotes cela n'est pas possible( mais on vient de prouver le contraire et c'est plus fréquent qu'on peut le penser)et voilà la puissance de notre animal qui évidemment ressemble au tardigrade par le fait que sa cuticule très collante peut emporter avec elle nombre de détritus.Et de plus, comme vous le dites, sa taille peut être importante. ps= le transfert horizontal de gènes compense des méioses rares, nous savons que les rotifères sont presque le plus souvent "femelles" SDS Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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