+bertrand Posté(e) le 31 décembre 2004 Signaler Partager Posté(e) le 31 décembre 2004 (modifié) :) Bonsoir à tous, :) Permettez moi de vous offrir à tous un petit bouquet de ce que je crois être Dinobryon divergens EHRENBERG 1833 pour accompagner mes meileurs voeux pour l'année nouvelle. Bien amicalement, Bertrand Modifié le 2 janvier 2005 par bertrand Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
+bertrand Posté(e) le 31 décembre 2004 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 31 décembre 2004 La photo précédente a été faite le 29/10/2004. L'échantillon vient d'un petit étang à une vingtaine de km au sud de Montargis (Loiret). Cette planche qui m'a conduit à l'identification est extraite de : DEFLANDRE, "MICROSCOPIE PRATIQUE" p 225, pl J-9 (Editions Paul LECHEVALIER, 1930) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
+bertrand Posté(e) le 31 décembre 2004 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 31 décembre 2004 Quelques informations et un schéma glanés dans le "Bourrelly" : EMBRANCHEMENT : CHROMOPHYTESCLASSE : CHRYSOPHYCEESSOUS-CLASSE : HETEROCHRYSOPHYCIDEESORDRE : OCHROMONADALESFAMILLE : DINOBRYACEESGENRE : DINOBRYONESPECE : DIVERGENS DINOBRYON EHRENBERG 1833 «Les cellules fusiformes, avec le plus souvent deux plastes, un stigma, deux vésicules contractiles, sont fixées par un épipode contractile dans une logette cellulosique en forme de cornet cylindrique à l’apex, conique à l’autre extrémité. Les cellules sont libres, solitaires ou coloniales (...) La paroi de la logette plus ou moins ondulée à la marge, est toujours homogène et non formée d’écailles imbriquées. Les colorations montrent parfois une fine striation hélicoïdale. Dans les formes coloniales, les logettes sont emboitées les unes dans les autres et forment des arbuscules plus ou moins étalés. La première cellule se divise et produit deux ou quatre zoïdes, sans tèque, qui viennent immédiatement se fixer sur le bord interne de la logette maternelle. Ainsi se constitue la colonie arbusculaire. Le genre renferme environ 25 espèces communes dans le plancton de printemps et d’automne des mares et des étangs. Les principales espèces sont décrites et figurées par HUBER-PESTALOZZI (1941). Le genre peut se diviser en deux sous-genres: 1°) Dinobryon pour les formes coloniales 2°) Dinobryopsis pour les formes solitaires» Extrait de «LES ALGUES D’EAU DOUCE» P. BOURRELLY, T-2 p.90, algues jaunes et brunes; Editions N.BOUBEE & Cie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
André Advocat Posté(e) le 2 janvier 2005 Signaler Partager Posté(e) le 2 janvier 2005 Bonjour à tous,BertrandBelle présentation de ce Dinobryon,et bonne doc!Sur la première photo,on devine aussi un beau Pediastrum?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
+bertrand Posté(e) le 2 janvier 2005 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 2 janvier 2005 Bonjour à tous, Bonjour André, Merci et oui, un "cadavre"(1) de Pédiastrum simplex(2) derrière Dynobryon. Je ne l'avais pas mentionné pour respecter la règle "une espèce par sujet" mais c'est vrai que c'est utile d'au moins identifier les éléments "hors sujet" d'une photo. J'ai trouvé "plein" de Pédiastrum cet automne et je suis en train 'essayer d'y mettre bon ordre avant de vous les présenter. (1) je dis cadavre parce qu'on ne voit que des cellules vides ce qui signifie que chacune d'entre elle s'est divisée en zoospores qu'elle a ensuite libérées pour former un nouveau cénobe. (2) Pédiastrum simplex parceque l'on voit que les cellules marginales du Cénobe possèdent une seule corne (source: protist information server). Bien amicalement, Bertrand Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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