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Walter

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Messages posté(e)s par Walter

  1. Je ne te reconnais déjà pas, Dominique :

     

    Avec ton actuelle haute et sérieuse culture sur les diatomées il me paraît impossible que tu ne différencies pas un Coscinodiscus d'une Arcella. :rolleyes:

     

    ¡il est très amusant de trouver à un vieil ami en faisant ces choses !

     

    Mes meilleurs salutations Walter

     

    PD : j'ai quelques photos pour toi, que j'enverrai à partir de demain ...(...peut-être....)

  2. Autre fois, Bertrand, bons après-midi

     

    Ton pauvre ver est un oligochète, (Naididae), par le type de chètes. Seulement qu’on l’a coupé les premiers segments au niveau de la partie moyenne de l'oesophage. Pour la terminologie applicable révise mon message sur le Chaetogaster. Tu as en vue, une partie de l'oesophage, l'estomac et l'intestin, dans les parois latérales on peut voir les paquets de chètes (soies) caractéristiques (chètes sous forme d'aiguille)

    Puisque tes cultures paraissent très riches, si le trouves de nouveau et tu veux faire une bonne étude du ver, contactez-moi personnellement pour que je t'envoie des instructions.

     

    Walter.

  3. Si, Bertrand (comme est tu de prolifique!)

     

    Ce que tu as photographié sont plusieurs algues filamenteuses. Le matériel inconnu sont des cellules brisées du parenchyme médullaire d'une plante aquatique, sûrement une jonc.

     

    Walter

  4. Bons après-midi Bertrand :

     

    Je ne suis pas totalement d'accord. Comme le dit justement Christian, il est indubitablement une hydre.

     

    Mais viridissima elle a l'ectoplasme plein de zoochloreles et par conséquent : il est vert.

     

    La tienne elle paraît grise (probablement incolore)

     

    Je ne suis pas familiarisé avec les hydres européennes, donc... jusqu'à là

     

    Walter

  5. Bonne soirée Aphylla:

     

    Quelles belles photos! Elles sont très nettes, très complets et, si j’aurais mes vieux livres à la main, je pourrais facilement te dire le nom de l’espèce! :)

     

    Mais je peux facilement arriver jusqu’au genre.

     

    La classification est la suivante:

     

    Oligochaeta, Naididae, Chaetogaster sp.

     

    Une espèce Chaetogaster limnaei, habite la surface des mollusques aquatiques telles que les Limnaea ou les Planorbis. Il est un commensal (mange ce que l’apporte la translation de l’hôte) est peut être un parasite.

     

    Les oligochètes sont des vers segmentés, avec deux paquets de chaeta (ces aiguilles réfringentes) par segment (Les vers de terre sont des oligochètes). Les Naididae sont des oligochètes aquatiques. Ils se reproduisent généralement par division asexuelle. Tu peux voire un second individu se développant a l’arrière du principale. Les individus enchaînés s’appellent zooïdes et se dénombrent par l’ordre de formation. Le troisième zooïde se développera, si tu gardes tes animaux, entre le première et le seconde.

     

    Fait plus de ses photos, elles seront peut-être la basse d’un Atlas des invertébrés aquatiques, comme celle qui élabore avec toute sa patience JMC pour les marins

     

    Walter

    post-33-1089919576_thumb.jpg

  6. Bonjour Andre : (je crois que tu dormiras maintenant) ;)

     

    Oui. Mon Mowgli était celui de Kipling.

     

    Tu as eu du succès. Celui-là est le statocyste. Le y (ciliée) qui est vue dans l'extrémité gauche est la bouche. Nous avons une belle Catenula. Tes images seront les premières images électroniques de ce type, avec un détail suffisant.

     

    Fait de ton mieux pour un registre total, qui permet de reconstruire dans un mosaïque au moins un zooïde (un des individus) de cette espèce. J'ai qui sa ou ma littérature sur le Catenulida, je cherche comme fou.

     

    Dans la photo a x6.3 il m'étonne un détail : une tache claire dans le centre de la bourse gastrique de deux exemplaires. Est-il de l’aliment, ou quelque organe identifiable ?

     

    Merci pour ces belles photos. Je ne sais pas en France, mais en Amérique du Sud (l'Uruguay, Nord d'Argentine, et Brésil) il y a plusieurs espèces différentes de Catenula.

     

    C’est très intéressante l’habitat de ton espèce. Une tourbière doit avoir une eau bien acide !

  7. Bons après-midi à tous

    André,

     

    Ton ver est un turbellarié comme tu soupçonnais. Il a un corps élargi et plat, entouré par une épiderme ciliée. On voit une grande bourse gastrique en occupant presque tout le corps.

     

    Mais en outre comme tu dis, il paraît un train... parce qu'il est dans une étape de paratomie, c'est-à-dire, division asexuel par production de bourgeons dans la zone postérieure. ¡Chaque wagon est un nouveau futur individu!.

     

    Il appartient à la famille Catenulidae, qui n'est pas très fréquente, mais ell peut être abondant s'il est dans un milieu adéquat. La famille a beaucoup de genres, entre eux Stenostomum et Catenula. Tu puis voir une photo de Stenostomum dans mon travail sur le formol dilué comme anesthésique, en Micscape. (Voir aussi trois vidéos dans le lien au pied)

     

    J'ai trouvé Catenula une seule fois, et était très semblable à ta photo.

     

    Pour le résoudre on a besoin indispensablement de des images de l'extrémité antérieure à une augmentation beaucoup plus grande. Montrer la bouche et chercher un granule refringent au milieu de la tête (le statocyste). Et ils ne tracasseraient pas évidemment d'autres photos à une grand augmente du reste du corps.

     

    C’est une tâche pour un homme avec beaucoup de patience (beaucoup, beaucoup). Et avec la bonne chance de trouver des exemplaires plus lents. Peut être que les cameras numériques soient d’utilité.

     

    Ils sont énormément difficiles à anesthésier et généralement explosent (comme le Stentor de Christian) à la plus petite tentative de le faire. Mais tu puis prouver l’asphyxie, le formol à 1 :10000, et avec aide d'un dentiste amical la xylocaine (lidocaine) très diluée, ou mieux encore la bupivacaine.

     

    Bonne chasse ! Dirait Mowgli (Sauras-tu qui est Mowgli, ou es-tu trop jeune ?)

     

    Walter

     

    http://micro.magnet.fsu.edu/moviegallery/p...omum/index.html

     

    Note: ne confondre pas avec Stenostomum, une phanérogame

  8. Bonjours mes amies

     

    Je suis étonné de l’avalanche d’opinions sur l’article, et surtout par les éloges, parce que lui est réellement à remplacer par la copie définitive.

    Pour un problème crée par mon serveur mes copies corrigés n’ont pas arrivée a les mains de Michel.

     

    Je veux dire deux paroles sur les produits dangereux. J’ai 77 ans. Depuis les 15 ans je suis un microscopiste. Pour plus de 20 ans je le fus comme professionnel. Je suis vivant, je n’ai pas cancer, ou autre maladie professionnel. J’ai utilisé (et sans précautions spéciales –nous ne connaissons les substances interdites) toutes les substances dangereuses.

     

    Mais… nous sommes au XXI siècle. Ils y sont dans l’ambiance comme le dit bien Jean Marc non seulement les produits toxiques mais aussi les radiations et le fall-out. Il n’y a aucune nécessité de soumettre les microscopistes (les jeunes, bien sur) à une autre source de problèmes. Et puis… il est bon que les jeunes prennent conscience de ces dangers, et de la source des interdictions.

     

    L’autre versant qui est pour mois personnellement la plus important est que presque toutes les substances dangereuses sont très dangereuses…pour les gouvernements. Presque tous les substances interdites le son parce qu’elles peuvent être utilisées pour d’autres proposes que pour la microscopie. Ainsi ils ne sont pas à notre portée.

     

    Il n’y a aucun clarifiante si puissante comme mon vielle Chloralphénol. Je ne peut pas obtenir ni le chloral hydrate ni le phénol. (Vous pouvez, Marcel les vende) Ainsi je cherche alternatives.

     

    Le Bouin été un fixateur presque universelle. L’acide picrique hors de l’offerte de Marcel n’est pas disponible. C’est du même avec le Shaudinn. Le bichlorure est un réel et puissant poisson. Ainsi j’ai cherche des alternatives. J’ai un répertoire de presque 10 fixateurs que font un bon travaille, même en histologie, et que n’ont pas ni formol, ni picrique, ni bichlorure. (Je veux les publier dans un article prochain)

     

    Ces manques de produits essentiales, parce qu’ils sont dangereux pour un motif ou pour l’autre, doit nous motiver (au moins elles sont un motivation pour mois) a les remplacer. Dans nos 150 inscrits au forum, il n’y a quelques un qui a 15 années, 20 années ? Je dois reconnaître que j’écris surtout pour lui.

     

    Et puis c’est le prix et la disponibilité des substances. Je n’ai peut pas acheter le PVA a Fisher par exemple (ne parle pas de Merck). J’ai besoin de 15 g. Ils vendent par le kilo. Et a prix d’or.

     

    Ou l’Hématoxyline, ou le Carmine. Je suis un amateur pauvre (Réellement, mon microscope est un cadeau). Alors je cherche alternatives.

     

    Je ne peut pas acheter un microscope a contraste de phases o un DIC. Et bien, alors je fait des disques de contraste. ¡et ils ne sont pas très mauvais réellement !

     

    Tout ça est la motivation réelle de mais articles, que j’espère soient utiles pour quelconque. Et bien s’ils ne le sont pas, on ne peut pas m’enlever les heures de jouissance que j’ai eu.

     

    Et ne pensés pas que je peux écrire autre page si longue. Cette ci ma exigée plus d’une heure. Ces pour quoi je ne suis plus actif au Forum.

     

    Et peut être un peut tard : merci pour vôtre intérêt et vôtres éloges. :D :rolleyes:

     

    Walter

     

     

    Et pardon pour toutes les erreurs inévitables dans une note si long et pressée.

  9. Bonjours a tous (toutes) les foristes

     

     

    Je regrette d'être en désaccord. :( Mais le genre Dero (et son sous-genre Aulophorus parfois considéré un genre indépendant), est un naididae. C’est à dire un oligochète d'eau douce. Les oligochètes (ils sont justement distingués pour avoir des "chètes", qu'ils sont des aiguilles d'aspect chitineuse, parfois terminées dans une petite fourche finale qui les aident dans la locomotion) ont un tube digestif droit, qui commence par la bouche, dans la tête du ver (généralement dans son deuxième segment ou anneau) se continue par un oesophage, un estomac et termine avec un intestin mince, tous eux intérieurement ciliés. L'anus est ouvert dans l’extrémité postérieure. Dero est un oligochète benthonique (il vit dans le fonds, ou parfois entre le détritus collé aux végétales) sa particularité plus intéressante est qu'il mange du détritus, dans lequel il enfonce sa tête tandis qu'il ondule et agite dans l'eau la plus grande partie de son corps... et sa queue. Celle-ci est différenciée dans une capuche ou fossette, au milieu de laquelle s’ouvre l'anus, qui est entouré par des prolongations digitiformes extensibles ou rétractiles, qui sont de véritables branchies. Elles ne sont pas des tentacules. Elles ne prennent pas rien. Elles absorbent oxygène. :rolleyes: Quand dans un aquarium s’établie une population de Dero, on peut voir des dizaines de filaments roses (par l’hémoglobine de son sang) de un centimètre de longueur en ondulant à partir de la vase dans lequel ils ont enfoncé son extrémité buccal. Il est un spectacle réellement attrayant

     

    Arriver a l’espèce n’est pas facile. Outre le nombre des segments, et les mesures relatives de chaque parte de l’appareil digestive, la distribution de ses appareilles excréteurs et de les organes sexuelles, on doit avoir une connaissance détaillée de la « chètotaxie » c'est-à-dire le nombre et la forme des chètes, dans chaque segment du ver. :huh:

     

    Il y a un sous-genre parasite, et deux de vie livre : Dero et Aulophorus

     

    Aulophorus a la capuche de sa fosse branchiale prolongée par deux longs palpes

     

    Dero a une capuche simple qui entour les branchies.

     

    Je crois que le ver dans le photo doit être appelé Dero (Dero) sp.

     

    amitiés de Walter :rolleyes:

     

    je croyez que j'ai epuissé les émoticônes. Mais on ne me permet pas de le faire

  10. Jean Marie

     

    Je ne puis pas m'imaginer comme tu puis avoir trouvé libre ce petit ver. Sûrement il fut déchargé de la bouche (ou l'anus) d’un batracienne ou d’un poisson (eau douce ?) Je l'ai assigné aux trématodes. Mais en réalité ceux-ci étaient formés par deux groupes : ceux des monogenea, généralement externes et souvent avec des crochets de sujétion, et ce des digenea, parasites internes. Actuellement les deux groupes ont été séparés et parler de trématodes il n'est pas justifié. Celui-ci est un Digenea. Un détail intéressant est que dans ces nouvelles images on voit clairement le pore excréteur postérieur, qui généralement n’est il pas tellement visible. :)

  11. Bonjour à à tous (quand vous serait réveillés)

    Bonjour Jean Marie

     

    Je vais m'ajouter aux interprétations. Je crois que si tu rends plus lent le GIF en intercalant des images tu découvriras que ta petite bete a 1) deux ventouses, une buccale et une autre dans le centre du corps et qu'a deux tubes gastriques latéraux qui partent d'un pharynx, qui suit la bouche, et arrivent jusqua' près de l'extrémité postérieure. La forme, le mouvement, et ces structures, sont suffisants pour déclarer à l'animal un trematode (du filum des plathielmintes). Ce qui est étonnant est que tu parais le considérer comme un animal libre, et il est un parasite, peut être de l'intestin ou la bouche un certain poisson, un reptile ou un batracienne.

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  12. Voir circuler le sang il est hypnotiseur! (hypnotisant ?), mais pas tant comme le nouveau microscope de Valery,quelle envie ! Ni la quantité de belles animations auxquelles nous a habitués JMC.

     

    Merci pour ses commentaires, Walter

  13. Bonjour mes amis

     

    Je ne puis pas ni dormir tranquille, que vous commencez à introduire des excitantes nouveautés. Le turbellarié de Christian est difficile à déterminer avec les données actuelles. D'abord elle n'est pas une planaire (à moins que nous n’appelions planaires à tous les turbellariés). Les planaires vraies sont tricladides. Ils ont l'intestin divisé en trois parties (une branche intestinale antérieure et deux branches posterolaterales) par cause de leur proboscis, un tube extensible, plus ou moins long, logé dans une cavité ouverte ventralement. Dans cet animal nous voyons seulement une zone claire, se introduisant en manière oblique vers l'intérieur sans aucune proboscis qui peut être étendue hors du corps pour prendre la nourriture. Il n'est pas un bébête, parce que les tricladides naissent avec la même structure que l'adulte, la différence est la taille. Au plus, les tricladides sont bien plus gros. Pour savoir a quel des groupes de turbellariés appartient, Christian devra s’efforcer pour l'arrêter un peu (Pour les turbellariés ne valent pas les fixateurs en froid ni l'eau bouillant) et photographier les yeux et la position de la bouche et la forme du pharynx. Un anesthésique qu'il peut servir, indépendamment de mon formol à la 1:8000, c’est le Sulfate de Magnésium. On fait une solution à 8% et on l’ajoute à un verre d'horloge avec l'animal, jusqu'on le voie se ralentir. Si on obtient l'anesthésie on peut le fixer avec GALA 60, et le monter en glycérine pour l'observer. On peut le colorier avec Carmin, que Christian utilise déjà.

    Il va être un long chemin, et on aura besoin de beaucoup d'exemplaires avant que nous soyons sûrs qu'il est cette bestiole.

     

    En lui prédisant à Christian beaucoup travail, j’y vais m’endormir en peut plus.

     

    Walter

  14. Puisque la limite a été étendue et même si elle peut necesiter un temps pour l'envoyer (et comme une expérience) va la queue de têtard. Matériel de Durango, Objectif x 10, six images en séquence, réunies avec ULEAD GIF ANIMATOR

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  15. Cheres ami (ies)

     

    Les formules des moyens de montage avec gélatine ont été discutées par moi dans un article de la série sur les moyens de montage que j'ai publié en 2003 en MICSCAPE. Je vais préparer un résumé pour Microscopies. Pour le moment une petite étude sur la Gélatine de Kaiser, la formule originale de la GG.

     

    Toutes les formules de gélatine que j'ai préparées sont rapidement infectées avec des bactéries et des champignons si elles n'ont pas un antiseptique. Le phénol (acide phénique) à 1% est classique. Il est très difficile à obtenir actuellement. Après plusieurs essais j'ai choisi d'utiliser Listerine (un rince buccal très commun au Mexique et les USA, je ne sais pas s'il sera disponible en France) la formule a plusieurs huiles essentielles très utilisées en micrographie comme antiseptiques et éclaircissants, dans une solution faiblement alcoolique. Il avait aussi du phénol, mais ils l'ont éliminé.

     

    Pour préparer 100 ml (il suffit pour une demi - vie d'un jeune microscopiste et dépasse trop la possible durée de la mien) on a besoin

     

    Eau................................ 49 ml

    Gélatine..........................17 g

    Glycérine........................29 ml

    Listerine..........................5.0 ml

     

    Il s'avère plus facile d'utiliser la gélatine pour desserts KNOX, :unsure: gélatine animale pulvérisée et empaquetée dans des caisses avec 8 enveloppes de 7 g chacun.

     

    Eau.................................21

    Gélatine......................... 7.0

    Glycérine........................12

    Listerine......................... 2.0

     

    Pulvériser la gélatine sur l'eau et la laisser "gonfler" complètement. Porter au feu bas dans un bain-marie. Quand on l’a dissous ajouter la glycérine. Mélanger bien mais doucement, et de la même manière ajouter le Listerine.

     

    C'est une formule relativement dure, qui fonde à 40º C, elle se conserve très bien et a les propriétés nécessaires, en admettant y compris des colorants. Si je ne trouvais pas que les formules avec Alcool Polyvinylique (APV) sont plus faciles à préparer, ils ont des propriétés semblables, même pour l'étude de pollen, et sont énormément plus faciles à utiliser, celle-ci (celle de Kaiser) serait ma formule préférée. :rolleyes:

  16. Il est un tardigrade. Mais le quel ? Tu dois prendre la coutume de faire les recherches sur tes invertébrés à un plus grand grossissement, en prenant des détails de toutes ses parties importantes. Pour les tardígrades tu dois au moins photographier sa tête, en montrant le pharynx (le tube qui suit la bouche) et tout appendice qui entoure la bouche. Un autre important détail sont les jambes, sa disposition autour du corps et surtout la structure des ongles dont elles sont armées. Il ne sera pas d'aujourd'hui pour demain, mais avec ton habilité tu prendras bientôt des photos excellentes.
  17. Salut Michel, Dominique et Christian :

     

    Je n'avait pas lu le total des réponses : Quant à l'épaisseur des coupes je suis d'accord: techniquement Michel a raison. Je reconnais aussi que j'ai assigné toutes les images de microtomie végétal à Christian (ça sera la coutume de partager avec lui ses recherches) Pardon Dominique !

     

    Quant au microtome a double Gillette de Neuberg, il est réellement une ressource pour ces qui n’ont pas la possibilité d'acquérir un autre mieux (ou qui comme moi, ni a la possibilité, ni l’intérêt suffisant - pour le moment :lol: - dans cette branche de la micrographie comme pour acquérir un) Mais il est une ressource disponible pour l'amateur débutante

     

    Mais égal et avec toutes ses limitations je vais envoyer l'article. Vous jugeriez s'il peut être ou non un allèchement pour ceux-là qui sont récemment entamés a la microscopie, et veulent éprouver sans coût.

     

    Si vous le rejetez il n'y aura pas de problèmes. Égal j'aurai déjà joui du plaisir de le préparer.

  18. Bons après-midi Dominique :

     

    Tes images de témoignage sont belles. Quant au rasoir, quand j'ai eu un Ranvier il y a beaucoup, beaucoup d'années, on m'a enseigné qu'il était mieux d'éliminer (en maison d'un rémouleur compétent évidemment) la courbure de la face inférieure du rasoir (celle qui court sur la platine du microtome) et de réduire le large de la tranche, pour donner davantage de rigidité au bord. Je l'ai bien fait et a fonctionné. Mais il paraît que tu n'as pas besoin d'améliorer ton rasoir. ;)

  19. Pour le moment Cancún m’ennuie. L'eau douce est trop loin (et je n'ai pas automobile) l'eau salée est disponible dans la zone hôtelière (et je n'ai pas automobile) et... Donc j'aie décidé qu'un temps d'essai de nouvelles techniques ne serait pas mauvais. Ma épouse a acquis pour son petit jardin quelques plantes et en outre j'ai trouvé dans le même une autre très petite, avec une structure tellement intéressante que j'ai décidé de faire quelque chose avec elles. Je vais préparer deux articles pour les soumettre au scrutin de Michel.

     

    En outre, ils y sont dans la web plusieurs références à des microtomes manuels (de marque, type "Ranvier", ou faits à la main, et de complexité différente). Mais, en exceptant à Christian, qui de temps en temps nous montre ce qu'il peut couper avec son microtome, il n'y a pas de démonstrations de ce qu'un amateur peut faire avec ces instruments.

     

    Pour commencer, surtout parce que je ne crois pas qui ceci se retourne "ma vocation", j'ai décidé d'utiliser le microtome le plus simple possible. Michel Neuberg a publié en MICROSCOPIES un essai sur un microtome à double Gillette.

     

    Le bricoler m'a porté 15 minutes. J'ai obtenu coupes plus minces que 100 microns. Ici c’est un échantillon de ce que j'ai pu faire. Davantage d'échantillons, dans le prochaines articles.

     

    1) coupe transversale de la tige d'une dicotylédonée non identifiée (par moi certainement) Incluse en eau. Examiné avec lumière polarisée. On voit parfaitement les raphides, cristaux biréfringents, probablement d'oxalate de calcium, enfermées dans quelques cellules du parenchyme.

    2) Comme comparaison, le même matériel et secteur, photographié avec un filtre Rheinberg de quarts de cercle opposés rouges et bleus et centre, noir de 10 mm.

     

    Les deux photos à 640x480, avec l'objectif planachromatique x10, de mon microscope National Optical.

     

    Parce que je ne suis pas un botaniste, je ne peux pas classifier mes petites plantes. Pour l’ornementale je ne pas besoin d’un nom. Mais je voudrais bien pouvoir dénommer l’autre, jusqu’au gendre ou au moins jusque a famille. Est qu’il y a entre les foristes un que peut me aider ?

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  20. Et bien JMC, tu as re-découvert un fait fascinante. Comme le dit Odette Tuzet dans son chapitre sur les Spongiaires : "Les Éponges se régénèrent facilement: un fragment reconstitue ses parties perdues".

     

    Une expérience favorite des anciens biologistes était de passer une éponge par un tamis fin et observer comme les cellules séparées se réunissaient à nouveau pour reconstruire plusieurs petites éponges.

     

    Les cellules que tu as photographiées sont des amoebocytes du mésenchyme. Il serait très intéressant que tu essayes de chercher et de photographier (je te remercierais beaucoup) les choanocytes (petites cellules, avec un collerette dans une extrémité qu'il a une flagelle dans son centre) qui tapissent l'endoderme,la cavité centrale ou les petites cavités dans l'éponge en faisant circuler l'eau avec le mouvement de leur flagelle.

  21. Je ne comprends pas la passion par les supos. Je ne comprends pas non plus que la relation eau : glycérine : gélatine des supos de Valery soit utile surtout si on leur ajoute 100% de glycérine. Il est tellement facile de préparer la formule correcte, (celle qui donne JMC dans ses articles de MICROSCOPIES, ou celle originale de Kaiser), qui il paraît inutile d'utiliser ce stratagème. On peut utiliser de la gélatine en poudre pour aliments (sans saveur) vendue dans mes latitudes avec la marque KNOX, ou les feuilles de gélatine que recommande Christian. Depuis 10 minutes vous aurez la formule préparée. Et il fonctionnera sûrement mieux
  22. Amis co-foristes (participantes du Forum ?)

     

    Sur l'évolution et l'adaptation ils sont écrit et sont documentées beaucoup des pages dans les livres et dans l'Internet (peut-être beaucoup d’entre eux en Anglais ?)

     

    Ce qui je pense est que les cellules d'une espèce eucaryote (uni ou multicellulaire) ont un noyau avec des chromosomes (en nombre constant et invariable pour la même espèce. Ceci exigerait des précisions, exemples et discussions qui vont plus là de mon intention à l'heure actuelle) et gènes. Les gènes déterminent ce que une espèce peut faire ou supporter. Il y a des espèces eurioiques (qui peuvent vivre dans une grande gamme conditions écologiques, et des espèces estenoiques (très limitées dans son cadre de vie).

     

    Toutes ont une certaine variabilité physiologique (il y a des hommes dans le pôle et dans la capital d'Équateur, qui est... sur l'équateur) Cette variabilité, permise par la génétique, il peut être poussé en l'un ou l'autre sens, dans les limites imposées par la génétique de l'espèce considérée. Quand on portera un Brachionus d'eau douce à l’eau salée, on choisit seulement ces individus capables de tolérer la nouvelle situation. Qui se reproduisent dans la nouvelle salinité. Ceux qui ne le font pas ils meurent. Généralement cette sélection est faite dans plusieurs pas pour permettre que se reproduisent et forment des populations stables ces qui sont tolérants. Ceux qui survivent ils se reproduisent en donnant naissance à une POPULATION de l'espèce qui est plus tolérante à la salinité, non à une nouvelle espèce.

     

    Mais il est difficile d'examiner le concept d'espèce. Il y a des milliers de pages écrites et ils y ont ceux qui nient l'existence des espèces. Seulement pour les organismes avec sexes différents, on peut définir avec peu d'ambiguïté le concept. Est reconnue comme une espèce différente celle qui ne peut pas être croisée avec l'autre. On arrive à des choses amusantes mais réelles. Les mâles de deux populations de grillons précisément morphologiquement égaux chantent pour attirer aux femelles à différentes heures. Quelques dans le matin, d'autres dans la nuit. Les femelles qui répondent à des mâles ne le font pas avec ce qui sont opposés. Bien qu'ils puissent morphologiquement copuler, ils ne le font... jamais. Elles sont considérées deux espèces différentes et on leur donne différents noms. Évidemment il y a des hybrides (le mulet (la mule ?), l'hybride d'âne et cheval est un exemple) qui sont généralement stériles.

     

    Avec les Brachionus plicatilis, des eaux marins bien connues para les aquaculteurs, pendant beaucoup de temps on a considéré qu'il y avait une population « grande » et une autre « petite ». Aujourd'hui après de nouvelles études et décisions taxonomiques, les deux populations sont considérées espèces différentes.

     

    Il est beaucoup plus difficile d'examiner le sujet considérant diatomées ou protozoaires.

     

    De nos jours et déjà totalement hors de la portée de l'amateur, les espèces sont différenciées finement (y compris beaucoup procaryotes) en utilisant la comparaison d'aminoacides dans des segments choisis des chromosomes.

     

    C'est la base une nouvelle génétique et une taxonomie pleine de surprises.

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