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pablito

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Messages posté(e)s par pablito

  1. Bonsoir, 

     

    Jean-Marc Babalian a déjà présenté cette diatomée de façon magistrale  : http://forum.MikrOscOpia.com/topic/16725-pinnularia-maior/?hl=%2Bpinnularia+%2Bmaior

     

    Cette diatomée difficile à résoudre au niveau des perles, doit être vue avec une double immersion que nous ne pouvons pas faire sur notre matériel.

     

    Mais, nous cherchons en ce moment à faire une présentation combinée des diatomées vivantes et de leur frustule, c'est l'occasion de vous montrer ces deux aspects combinés dans le même sujet.

    La diatomée vivante est prélevée en altitude dans une tourbière acide en Auvergne.

     

     

    Bonne soirée, Pierre

     

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  2. Hello Dominique, 

     

    Quand j'avais fait mais premières observation sur cette plante à Collioure (http://forum.MikrOscOpia.com/topic/13986-histologie-des-plantes-maritimes-1-carpobrotus/?hl=carpobrotus),

    un botaniste local m'avait nommé ma plante Carpobrotus edulis.  

    Il y a plusieurs variétés de griffes de sorcières en France ?

     

    Par ailleurs, tu vas beaucoup plus loin dans tes sujets que moi, merci, as usual. 

     

    Pierre

  3. Bonsoir ! 

     

    Dédicace : A Jean Luc Bethmont qui nous a fait rêver dans une vidéo magique que Pablo et moi avons vue moultes fois, j'en rappelle la référence : 

    Sa vidéo montre en son passage à 1:34 une Stauroneis gracilis que nous avions suggéré sans certitude. C'est chose faite ce soir.

     

     

    Donc, nous poursuivons avec nos diatomées, cette fois une diatomée d'eau douce que l'on trouve dans nos contrées : Stauroneis gracilis

     

    Mais d'abord, avant des photos classiques de frustule, une nouveauté : 

    Voilà cette diatomée vivante directement issue d'une tourbière d'Auvergne (donc photo au X40, pas de pile d'image. On imagine quand même les perles !!!

     

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    Et voilà, plus classique pour nous, l'image de son frustule : 

     

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  4. Bonsoir, 

     

    Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais depuis que nous avons hérité d'une collection de lame de diatomées, nous publions systématiquement en alternance un sujet diatomée et et sujet autre.

     

    Ce soir, une très belle diatomée, Stauroneis javanica,

    sous un éclairage DIC X100 immersion classique, puis avec notre technique filtre bleu LPA qui crée une diffraction qui marche ici très bien et que Jean Marc apprécie.

     

    Pierre

     

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  5. En réponse, voilà pour comprendre la technique : 


     


    Extrait du "traité de photographie microscopique", Pingeon


     


     


     


    En 1858, un photographe de Manchester exécuta des photographies excessivement réduites, en adaptant à la chambre obscure un objectif qui produisait une toute petite miniature du cliché. Les photographies microscopiques furent la merveille de l’Exposition de photographie qui se tint, en 1859, au palais de l’Industrie. Elles attiraient l’attention générale, car elles donnaient la plus prodigieuse idée de la délicatesse des impressions photographiques, et confondaient véritablement l’imagination. C’était un imperceptible fragment de papier, de la grosseur d’une tête d’épingle, collé sur une lame de verre. À la vue simple on ne distinguait qu’un carré de papier, avec une tache noire au milieu ; mais si l’on regardait cette tache noire à travers un microscope grossissant deux à trois cents fois, une véritable photographie, très-nette et très-nuancée, apparaissait dans l’instrument.


     


    L’une de ces photographies microscopiques renfermait le texte imprimé de la proclamation de l’empereur Napoléon III à l’armée d’Italie. Vue à l’œil nu, elle était comme un atome ; si on la regardait au microscope, on lisait : Soldats ! je viens me mettre à votre tête, etc.


    Outre le photographe de Manchester, M. Wagner, M. Bernard et M. Nachet avaient présenté à l’Exposition de 1859, des échantillons de photographies microscopiques.


     


    Mais la nécessité d’employer un microscope aurait empêché les photographies réduites de prendre aucune extension. Vers 1860, un photographe de Paris, M. Dagron, aborda cette question en face, et parvint à triompher de toutes les difficultés qu’elle présentait. Aujourd’hui, on trouve dans le commerce, en quantités considérables, des lorgnettes lilliputiennes, dans lesquelles on aperçoit des portraits, des monuments, des vues, quand on les interpose entre l’œil et la lumière. Ces petits bijoux se placent également dans une bague ou dans un porte-plume. Quand on dévisse la minuscule lorgnette, pour en examiner l’intérieur, on n’y voit qu’un point noir : c’est l’épreuve photographique, appliquée elle-même sur une petite tige de verre bombée, longue de 5 à 6 millimètres, et grosse comme une allumette de cire. C’est ce bout de baguette de verre qui fait fonction de microscope, pour agrandir et rendre visible l’épreuve photographique.


    Par quel procédé s’obtient cet infiniment petit, qu’il faut obtenir parfait du premier coup, parce qu’ici toute retouche est impossible ? C’est ce que nous allons expliquer.


    Les épreuves s’obtiennent par le procédé à l’albumine, qui, seul, donne les grandes finesses indispensables au cliché.


     


     


    Le cliché que l’on prépare pour le réduire à des dimensions microscopiques, est à peu près de la grandeur d’une carte de visite photographique ; on le réduit à l’état microscopique au moyen d’une lentille biconvexe à très-court foyer. L’image reçue dans une chambre noire, vient impressionner une plaque de verre collodionnée, de 2 centimètres de hauteur sur 7 centimètres ½ de longueur, sur laquelle se produisent à la fois, 20 photographies microscopiques, comme il sera expliqué plus loin. On fixe, par les procédés ordinaires, cette image qui, obtenue avec un cliché négatif, est positive. C’est ce petit cliché positif qui, découpé ensuite en petits fragments, fournit les bijoux photographiques.


     


    Le mérite de M. Dagron, c’est d’avoir appliqué le microscope Stanhope à rendre visible cette miniature.


     


    On appelle microscope Stanhope une demi-lentille obtenue simplement en coupant en deux un globule de cristal de crown.


     


    En appliquant sur une baguette de verre cette demi-sphère de cristal de crown, on obtient un microscope dont l’effet grossissant est de trois à quatre cents fois. M. Dagron eut donc l’idée de placer ces petites images microscopiques devant un microscope Stanhope, composé simplement d’une baguette de verre portant à l’un de ses bouts la petite calotte de crown. Il suffisait dès lors d’appliquer entre l’œil et la lumière la photographie ainsi disposée, pour agrandir et permettre de voir très-nettement l’épreuve lilliputienne.


     


     


    Tel est le principe général des photographies microscopiques de M. Dagron. Seulement, la préparation de ces clichés en miniature est tellement en dehors des opérations habituelles de la photographie, qu’il a fallu créer tout un matériel et tout un outillage spécial. Autant il est facile de mettre l’image au foyer, dans la chambre obscure ordinaire. autant il est difficile d’y parvenir avec une épreuve de la dimension d’un grain de sable. Pour cette mise au point, l’œil ne suffit pas, il faut un microscope. C’est ainsi que M. Dagron a dû modifier complètement les appareils photographiques, pour les appliquer à ce cas spécial. 

  6. Dédicace à Michel : Cette fleur pour lui donner un brin de sourire.

     

     

    Bonjour.

     

    Après midi pluvieux en Auvergne.

    Le prélèvement dans une tourbière fait il y a 3 semaine et non exploité depuis est dans un triste état, plein de bactéries.

    Je lave à l'eau oxygénée pour récupérer des diatomées et je vois des feuilles largement ajourées.

    Écailles de mousse ? Sphaigne ???

     

    En tout cas, à titre d'entrainement, je les dispose sur une lame en rosette pour en faire la composition suivante.

    Ne vous moquez pas, je suis loin des rosettes de diatomées, on est ici au X4.

    Mais c'est une première pour nous, et c'était bien joli.

     

    Amitiés à tous.

     

    Pierre

     

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  7. Bonsoir, 

     

    Temps des confidences.

     

    A l'âge de 10 ans, mon grand père m'avait offert un microscope.

    Vous allez me tuer, je ne l'ai plus, et je ne sais ce qu'il est devenu.

    Je me souviens qu'il fonctionnait avec comme éclairage un miroir, et je faisais refléter dans ce miroir l'éclairage d'une lampe ou d'une bougie.

    J'ai souvenir de m'en être servi pour des ailes de mouche, des cheveux, mais pas grand chose d'autre. J'avais aussi 10 lames préparées lues comme des diapositives, je ne me rappelle plus des sujets.

    Quand on ne prépare pas soi même ... 

     

    Mon grand père m'avait dit que ses compagnons de résistance se servaient d'un microscope pour se faire passer des messages avec des microphotographies.

    Ils mettaient des messages en photo ... Au milieu de lames de biologie préparées !!! 

     

    Je recherche donc depuis trois ans sur le sujet.

     

    Cette technique de microphotographie existe et a été développée par René Dagron dans les années 1860.

    En voilà deux exemples : 

     

    1. La mort de Nelson

     

    Photo de la lame, puis du sujet au X10 avec échelle

     

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    2. Nude of Miss Colombia 1900

     

    Je suis désolé pour la morale de ce forum, mais il me semble que malgré le titre ce sujet et en particulier la photo n'entacheront pas l'image de sérieux de MikrOscOpia.

    Cela montre quand même que, quand comme les résistants on n'avait pas des messages secrets à se faire passer, on se faisait passer des images licencieuses... Pour l'époque.

     

    Amicalement à tous, Pierre

     

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  8. Merci de vos commentaires.

    Plusieurs précisions : 

    Le seul traitement a été ici de mettre deux jours dans l'eau oxygénée de faible dilution (achat en pharmacie) pour enlever les bactéries et impuretés.

     

    Le bilan est que sur cette diatomée facile et non nettoyée, le X100 ne sert pas à grand chose par rapport à mon X40.

     

    Je cherchais en fait à utiliser ce prélèvement pour monter moi même les diatomées en lame définitive, mais pour l'instant les résultats sont catastrophiques.

    Il faut arriver à laver, séparer les deux frustules, centrifuger, trier, j'en ai perdu, bref, je suis encore loin du compte.

     

    Et, stade ultime, je rêvais de les disposer en cercle pour le fun. Et montage au baume du canada dans un premier temps. Pas gagné !!!

     

    Amitiés à tous.

     

    Pierre

  9. Bonsoir, 

     

    On vous présente des lames préparées de diatomées depuis 6 mois, et évidement elles sont mortes et nettoyées.

    Arachnoidiscus, une des diatomées phare et emblématique, vous a été présentée récemment : 

    http://forum.MikrOscOpia.com/topic/16731-arachnoidiscus-oamaruensis/?hl=arachnoidiscus

     

    Un pote revient d'Asie avaec un prélèvement qui a deux mois. C'est mort mais pas nettoyé.

    Voilà sa version actuelle, Arachnoidiscus japonicus, dans une préparation approximative n'ayant rien détruit de vivant, il reste des bouts d’algues et les frustules sont complets, avec les deux frustules encore assemblés.

    Cette version permet en outre, rarissime, de voir des vues cingulaires de la diatomée.

     

    Même si les chloroplastes ne sont plus présents, cette approche différente reste à mon sens très intéressante.

     

    Plusieurs photos, au X20, X40 et X100

    J'espère que vous serez sensibles à cette autre approche, moins parfaite que d'habitude.

     

    Bonne soirée, Pierre

     

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    ... Et au X 100. NB on voit aussi des Cocconeis collés aux tiges des algues !!!

     

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  10. Bonjour !!!

     

    Une très belle diatomée (je sais, je les trouve toujours belles ...)

     

    Triceratium pantocsekii

     

    a déjà été présentée sur le forum par un des ma^tres es diatomées, Dominique Prades.: 

    http://forum.MikrOscOpia.com/topic/4508-triceratium-pantocsekii-schmidt/

     

    Nous vous en donnons ici une image de la spectaculaire variante quadrata, et qui plus est la diatomée est très grande (prise au X40)

    Cela nous donne la possibilité de détailler sa structure au X100.

     

    Pierre

     

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  11. Bonjour.

     

    Voilà une diatomée rare :  Triceratium spinosum

    On en trouve quelques traces dans les fossiles ardéchois, puis dans le bassin d'Arcachon... jusque dans les années 30 selon l'IFREMER.

     

    Je vais faire une synthèse pour Tryphon, des avantages (mais ici que de l'inconvénient !!!) du stacking.

     

    Je n'ai trouvé que deux images sur le web.

    En voici une : 

     

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    On peut y voir : 

    - diatomée triangulaire.

    - spinosum ??? oui des épines, mais ou et comment ?

    - volume de la diatomée ???

     

    Bref, pas terrible.

     

    Je vous en présente donc une photo selon ma technique habituelle : 

     

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    Ben franchement, c'est pas beaucoup mieux.

    Bien sûr, ma technique de prise de vue est meilleure que dans les années 1970, mais pour l'information ...

    On voit encore des points qui pourraient être des épines, mais sans certitude, elle est triangulaire mais confuse, ...

    et pour le volume de la diatomée ...

     

    Alors, je vous présente la photo de la vue cingulaire de la diatomée

     

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    Là, on voit en surface deux types d'épines (je n'ai pas trouvé d'autres images web)

    Là, on comprend le volume et son organisation

    Mais on ne sait plus qu'elle est triangulaire !!!

     

    Je vous en donne donc deux photos supplémentaires, sans pile d'image : 

     

    - Une de la surface

    - Une au niveau de la bande cingulaire.

     

    Avec tout cela, je pense que l'on a une bonne idée de la diatomée (de son seul frustule, Ok, Ok.)

     

    Pierre

     

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  12. Dédicace absolue  : A Tryphon. S'il veut savoir pourquoi, qu'il me demande en MP.

     

    Voilà une merveille : Campylodiscus eximius

     

    Et des heures de boulot.

    Pour identifier.

    Pour faire la photo.

     

    Faites une expérience moteur de recherche avec image : inconnue sur le web !!!

     

    Et maintenant, en croisant 4 sources, je suis sûr de ma détermination.

     

    Bonne soirée, Pierre

     

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  13. Avec un peu de retard, je réponds à Tryphon.

     

     

    Citation : 

    Maintenant, c'est une habitude générale chez moi, je dissèque tout , à quoi sert tout l'espace vide dessus et dessous?

    Mais aussi, pourquoi toujours un format rectangulaire ?

     

    A quoi sert l'espace vide au dessus, pourquoi un format rectangulaire ?

    Scientifiquement, à rien. Strictement à rien

     

    Bon, mais ...

    Je fais souvent un effort de recadrage, mais je laisse toujours un peu d'espace, l'image est plus lisible, c'est uniquement personnel

    Sur le format rectangulaire, c'est le format de base du capteur, c'est le format de 98% des photos du web, c'est donc une habitude de lecture.

    Je vais changer un peu en respectant moins le format de base 24X36 (je l'ai fait pour la diatomée de ce jour, mais le carré total, je m'y fais pas trop... Pure question de goût.

     

    Pierre

  14. Bonjour ! 

     

    Voilà une diatomée complexe ... A déterminer. 

    Dans nos lames, nous avons environ 80% des lames qui ne sont pas des préparations spécifiques, mais des lames avec un ensemble de diatomées et dont l'indication de l'origine est floue.

    Ici, il est indiqué : prélèvement fossile.

     

    Avec cela, on trouve des diatomées aux formes plus ou moins connues.

    Dans cette lame, des exemplaires cassées de diatomées que j'identifie d'oamaru.

    La recherche d'image par analogie google ne marche pas, comme d'habitude.

    Ensuite, le jeu de piste, pour trouver sur le web, un exemplaire de l'atlas d'ehrenberg qui présente la diatomée : 

    Pour une fois, je vous le mets pour montrer qu'il s'agit en fait d'un tout petit bout de la diatomée !!!

     

    Et donc, elle s'appelle Glyphodiscus bipunctatus

     

    Nouveauté MikrOscOpia.

     

    Bonne soirée, Pierre

     

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  15. Bonsoir, 

     

    Dédicace : A Dominique, qui nous a inspiré cette manipulation. On avait promis dans le post de s'y mettre.

    Mais regardez les dates : on a mis deux ans à faire un résultat acceptable !!!

    http://forum.MikrOscOpia.com/topic/14996-radula-escargot/?hl=radula

     

     

    Voilà; il s'agit de bulots en provenance de Méditerranée,  avec une préparation à la soude caustique pendant une nuit  ... on récupère les radulas en sortie, bain vinaigre blanc pendant 1/4 heure, puis dans l'eau distillée.

     

    Présenté au X10 en polarisation puis avec lame de compensation, puis au X20.

     

    Pierre

     

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