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Lecture : "Ponds and small lakes "


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Bonjour,

 

je signale l'ouvrage en titre de Brian Moss qui, pour moi qui ne pratique pas beaucoup les mares et lacs, est intéressant du point de vue de l'écologie de ces milieux. Il propose en outre 45 pages de clés diverses utilisant des termes plus communs et compréhensibles que les clés classiques . Écrit en Anglais mais facile à lire .

 

25 ou 26 Euros

 

couverture :

post-3-0-64986900-1609843626_thumb.jpg

 

et exemple de clé :

post-3-0-85362900-1609843662_thumb.jpg

 

Amitiés

JMC

 

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Merci beaucoup, j'ai demandé à l'auteur (décédé)  via une institution, une copie pdf du document

 

L'image concernant un extrait de la bibliographie renseigne à la lecture beaucoup d' auteurs concernés par l'Irlande, les îles Britanniques, le Nord de l'Europe, 

Il nous manque énormément de manuels "locaux"

A la limite je pourrais même dire qu'il serait bon pour une écologie "saine" d'établir un atlas ou un manuel par région dans le temps, voire même par point d'eau, toujours avec le temps en considération (sur une année modèle par exemple)

Et dans la mesure où les populations d'insectes disparaissent... il est peut-être temps

Il suffit d'observer la variation de l'image d'une Daphnie en un point d'eau en fonction de la température de l'eau (de la saison) et des variations biochimiques de l'eau pour se rendre compte combien les

patterns et les références ne sont valides que par moments et souvent "à l'à peu près" bien que d'une manière générale, on peut avoir une très bonne idée de ce que l'on observe.

Par exemple, les cours d'eau de Haute Ardenne, en certains endroits sont très riches en hydroxydes ferriques qui colorent les spécimens et modifient grandement leurs couleurs, les rougissent et les noircissent parfois même
Ce qui est alors typiquement "local" et peu représenté dans les manuels de vulgarisation.
L'écologie bien qu'elle se doit d'être globale commence sans aucun doute par une écologie locale, très locale même... jusqu'à la mare dans le jardin.

 

cordialement

SDS

Edited by solito de solis
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Bonjour,

 

Toit à fait d'accord sur la variabilité des prélèvements en un même lieu mais les paramètres influents sont tellement nombreux et nous n'avons pas toujours les moyens de les apprécier , (pH, teneurs en sels dissous...). C'est encore pire pour les échantillons marins avec l'influence des courants, marées etc .

 

Si la quantification est difficile à notre niveau , j'ai par contre l'impression que le plancton marin est assez constant en quantité mais avec moins d'espèces différentes qu'il y  a par exemple 20 ans

 

Amitiés

JMC

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@JM

Evidememnt, au premier abord on peut sentir la différence entre l'eau d'une flaque, d'une mare ou d'un petit lac face à la mer ou aux océans...

mais je ne vois pas trop de différence malgré tout, car les facteurs qui influencent la flaque qui en réalité est continue avec l'humidité ambiante dans l'air, dans la terre et qui n'est pas plus discontinue que le littoral marin ou les abysses

sont tout aussi multiples et inconnus.

On peut par exemple évaluer la présence des rotifères dans les mousses d'un arbre, à son pied, puis au milieu de sa hauteur puis plus haut et se rendre compte qu'il y a des gradients, tout comme dans un même bosquet, il y aura des gradients de distribution de l'orée à l'intérieur du bosquet, selon les arbres et leur âge etc...

JE pense que l'écologie doit "penser" à deux niveaux... au niveau très local, ponctuel, restreint, microscopique et au niveau plus global... simultanément... tout en sachant que les deux resteront très flous mais qu'ils se connaissent et s'influencent.

Sans pour autant que nous puissions connaître, en tant qu'intelligence humaine, tous les tenants et les aboutissants de ces continuités

Nous ne faisons qu'interpréter des moments.

cordialement

SDS

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