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Mousse : les habitants


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Mousse : lieu de vie

 

 

Dans le but de trouver des tardigrades , de la mousse a été prélevée en lisière de foret sur un vieux tronc un matin pluvieux.

 La mousse a été comprimée pour retirer l’eau. Cette eau a été explorée

 Déception… Il n’y avait aucun tardigrade. Par contre on a constaté un très grand nombre d’amibes à   thèques, d’espèces différentes et en particulier d’une amibe couverte de cils.

 

moussepro6.jpg.bf2d9f7b60a3f2d1460ac0053977c8c7.jpg

 

On trouve comme nom Euglypha ciliata qui est décrit comme vivant dans les mousses. 

On trouve beaucoup plus des amibes de type  Difflugia

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Par ailleurs on trouve dans notre prélèvement l’image suivante : 

 

moussepro3.jpg.bdd82a8893069e1f40227a0ce15aff3b.jpg

 

A qui a t’on à faire ?

 

 

Jean-Jacques

Edited by jean-jacques B
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  • Admin

Bonjour Jean-Jacques,

Bravo pour ta persévérance.
Il me semble qu'il y a des techniques plus sophistiquées pour trouver des Tardigrades. Mais comme je n'en ai jamais cherché de Tardigrades, je ne me souviens plus.
Bon, tant que je suis là, il faudrait chercher à savoir pourquoi tes photos sont pâlottes,, sans contraste ?
Entre nous les amibes ne connaissent pas les cils Les cils sont de structure 9+2, cela ne semble pas programmé dans le génome des amibes. 
Sur les thèques, ce sont des "épines" qui servent probablement à la défense ou à la fixation.

Amicalement.

 

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Bonjour Jean Jacques,

 

 Tu nous fourni de belles images des habitants des mousses !

La dernière image correspond sans doute à un rotifère bdelloide rétracté.

Si tu attends un peu plus tu pourras le voir se déplier ainsi que les pseudopodes des amibes sortir de leur thèques

Enfin pour avoir plus de chance de trouver des tardigrades il vaut mieux mettre des brins de mousse sur la lame (en utilisant un objectif x4 ou x10) pour faire un premier tri puis isoler les exemplaires repérés sur une autre lame.

Cordialement,

JL

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Bonsoir Jean-jacques

       Belle observation

       Je pense  qu il y a un problème  de lumière  ,tes photos  sont trop lumineuses   mais là on se trouve  devant  un problème d' ordinateur ,  chaque  moniteur  ne donne pas le même  éclairage  que son voisin .

       La seule  solution  est de publier  une image sur MikrOscOpia    puis de la retirer  si elle n' est pas  satisfaisante    de la corriger  et de recommencer .

 

      Pour la mousse   Jean-Luc a raison  mais il faut faire des prélèvements  en dehors  de la zone forestière   -   sur une  pierre  dans  un champ   ou même dans le  jardin  ( c'est  un conseil  que l' on trouve   dans le livre sur les tardigrades ).

   Amicalement

                Dominique

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Bonjour tous

 

                  Suite à  cette remarque  sur le caractère  un peu délavé  des images    j'en ai repris  une avec  une diminution de la luminosité

résultat :

moussepro6.jpg.02403ffcfe90dce6c021a803c278aac6.jpg

Cela  me semble mieux  en effet

 

Daniel  ton tardigrade  est  superbe  ,je ne désespère  pas de trouver  un petit  frère.

Amicalement

     Jean-Jacques

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  • Admin

Tardigrades (également appelés ours d'eau) de la classe des Eutardigrada, de l'ordre des Apochela, de la famille des Milnesiidae et du genre Milnesium. La vidéo montre ses vues dorsale et ventrale, identifiant ses papilles péribuccales, ses stylets, l'un de ses lobes cérébraux, ses yeux, son tube buccal, ses papilles céphaliques, son pharynx, son œsophage, son intestin moyen, son intestin postérieur et une vue du tégument de ce spécimen. Les tardigrades ont quatre paires de pattes, qui dans ce genre sont munies de deux paires de griffes. Dans l'un des spécimens, fortement comprimé par la lamelle, on voit l'un des muscles qui permettent le mouvement de la patte, ainsi que la glande de la griffe. Les griffes du genre Milnesium sont caractéristiques : la partie primaire de la griffe (à pointe unique) est séparée de la partie secondaire (on peut voir qu'elle a trois pointes), qui présente un élargissement basal (lunule). Sont également représentées les cellules dites de stockage dans lesquelles le tardigrade accumule ses ressources énergétiques ainsi que certains des muscles qui lui permettent de se déplacer. Ces spécimens ont été extraits de mousses que j'ai collectées en Argentine, plus précisément dans le parc national des Glaciers, dans le refuge Spegazzini, à côté du glacier du même nom.

microBizkaia

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