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patrice dx

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Tout ce qui a été posté par patrice dx

  1. patrice dx

    rotaria sp.

    specimen du bdelloïde Rotaria vulgaris, rotifère vivipare. Cet individu porte un jeune en gestation, dont on distingue le mastax.
  2. Bonjour Fanny

    je ne sais si depuis 2008 tu as pu réaliser ton rêve (voir un Volvox en tout cas)

    le point de la récolte se trouve au croisement de la ch de la Hulpe, et de l'av Solvay, au début de l'av de la Foresterie. Récolte en surface sur une partie bien éclairée, prend quelques algues et lentilles d'eau aussi.

    amicalement,

  3. oui, c'est bien des diatomées. Elles ressemblent à des Navicula ... mais pour une détermination précise de l'espèce, il faut examiner les frustules, préparées de manière à les vider de leur cytoplasme, à très fort grossissement (1000x). il y a plusieurs envois sur le forum et sans doute des articles sur le site microscopies.com, sur la préparation des diatomées. deux articles par Dominique Voisin : http://www.microscopies.com/DOSSIERS/Magazine/Articles/D-VOISIN-Diatomees/Diatomee.htm http://www.microscopies.com/DOSSIERS/Magazine/Articles/D.Voisin-CLEDIA/index.htm la préparation et montages des diatomées par Legrand http://www.microscopies.com/DOSSIERS/Magazine/Articles/JLegrand-DIATO/Traitement/Diato-traitement.htm http://www.microscopies.com/DOSSIERS/Magazine/Articles/JLegrand-DIATO/Montage/Diatom%E9es_2_montage.htm et pour les passionnés http://www.microscopies.com/DOSSIERS/Magazine/Articles/D-Prades-ROSETTES/ROSETTES.htm cordialement,
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  5. patrice dx

    aidez moi

    Bonjour, bienvenue parmi nous. il y a plusieurs spécialistes des diatomées sur le forum, ils pourront certainement t'aider. Il faut cependant savoir qu'une détermination précise des diatomées ne peut se faire que sur des specimens préparés : la frustule doit être nettoyée de son contenu (protoplasmes et plastes divers qui masquent les structures fines des valves. Jean Legrand explique clairement, sur le site MikrOscOpia, la technique de préparation : voici le lien : 1. la préparation des diatomées 2. le montage des diatomées on peut trouver en ligne des ouvrages (anciens) traitant des diatomées. vois par exemple sur archive.org (une mine d'or) : http://www.archive.org/search.php?query=diatom%C3%A9es pour les ouvrages en anglais, rechercher à diatoms vois sur google book pour une bibliographie récente une référence pour débutants Le guide des diatomées : Plus de 300 micro-algues silicieuses photographiées [broché] de Maurice Loir (Auteur) , éditions Delachaux-Nietslé est un ouvrage d'introduction qui peut être utile pour identifier les diatomées les plus communes cordialement
  6. patrice dx

    Le relief en Microscopie.

    autrement dit, observe-t-on une parallaxe monoculaire (note*) ? ce qui pourrait être obtenu avec un microscope monoculaire ( par déplacement de l'oeil par rapport à un oculaire grand champ ) as-tu testé sur un micro monoculaire ? note* : étant donné qu'une stéréopsie vraie n'est pas possible en vision monoculaire. A + patrice
  7. patrice dx

    Le relief en Microscopie.

    Tu as raison Michel, je me suis mélangé les pinceaux : c'était une question de Daniel. Sorry pour la confusion. pour vérifier si on a affaire à un vrai relief, on pourrait utiliser une lame avec grille micrométrique. mettre un objet entre deux lamelles, et vérifier si la grille sous-jacente est occultée et réapparait au déplacement de l'oeil. j'essayerai avec les lamelles empilées, comme tu le suggères. Aux premières impressions que j'ai, parce que j'avais déjà testé comme tu le préconise, est qu'il à dévoilement des objets sous-jacents par rapport aux objets sur-jacents A +
  8. patrice dx

    Le relief en Microscopie.

    Bonjour, D'accord avec la "lapalissade" de Michel... Ceci dit, j'ai remarqué un détail, précisément parce que Michel suggérait de varier l'écartement des oculaires. Lorsqu'ils sont bien réglés, c'est à dire dans l'axe des pupilles, les images perçues par les deux yeux sont identiques, et le relief apparait peu.. mais si l'on écarte très légérement les oculaires - une fraction de millimetre - la sensation de relief apparait... en fait, à cause de ce phénomène de parallaxe, les deux images ne sont plus identiques - les pupilles (les cristallins) n'étant plus dans l'axe de l'oculaire - et reproduisent la parallaxe binoculaire... le cerveau fait le reste. Si je rapproche très légèrement, en deça de l'écartement optimal, les oculaires, la sensation de relief est moins importante et je pourrais presque dire qu'elle apparait inversée. incidemment, j'ai trouvé sur le net un logiciel - en licence libre - de schéma optique - automatisant la construction des chemins optiques... et qui me semble utile pour schématiser et vérifier nos hypothèses. ce logiciel s'appelle optgéo : http://jeanmarie.biansan.free.fr/optgeo.html - il fonctionne aussi sous linux, sous windows et MacOS cordialement,
  9. patrice dx

    Le relief en Microscopie.

    Bonjour Michel, tu proposais une première expérience : celle du déplacement de l'oeil par rapport à un des oculaire du microscope bino : je réponds sur ce point... et l'oeil au microscope ;-) le phénomène s'observe chez moi - bino Nikon S, obj 10x oculaire HK W 10x, B, pour porteur lunettes, (mais j'utilise sans lunettes) , mais il concerne uniquement les objets qui sont hors focus... le déplacement apparent étant inversé selon que le point se situe en deça ou au-dela du plan focal. Ce qui est dans le plan focal ne "bouge" pas... par ailleurs je n'observe pas de parallaxe binoculaire (différence d'image entre les deux oculaires)... je compte tester ce point, car je me suis demandé si l'impression subjective de relief sur un microscope à tête bino est bien due au facteur "parallaxe binoculaire" dans la vision nue, ou dans la vision à travers un stéréo(micro)scope. (un stéréoscope style "viewmaster" par ex). La méthode de test serait de prendre une microphoto (au webcam) à travers chaque oculaire, d'un objet épais, et de comparer les deux photos, par superposition ou juxtaposition (pour vérifier si elles peuvent constituer un stéréogramme) aux premiers essais, qui ne sont pas concluants, je rencontre les difficultés suivantes, les deux oculaires ne sont pas parfocaux puisque mes deux yeux sont inégaux en dioptrie (myopie à l'oeil gauche), je dois refocaliser à la main pour le webcam... d'autre part la position du webcam n'est pas rigoureusement identique lorsque je la pose à gauche ou à droite : le cadrage des images ne sont pas rigoureusement identiques, de plus si le webcam n'est pas totalement enfoncé, l'image obtenue sera légèrement plus grande... mais je constate pas, à premiere vue, de parallaxe sur les objets photographiés. Il faudrait peut être faire l'expérience de manière plus rigoureuse, en utilisant un référenciel fixe comme une grille micrométrique. A fort grossissement, en ne considérant que les objets mis au point, je n'ai pas, en vision binoculaire, une grande sensation de relief. A faible grossissement, pour autant que des objets hors focus soient dans le champ, la sensation de "relief" apparait. Mais je pense qu'elle est due à ce phénomène de paralaxe monoculaire - induite par les mouvements des yeux - que l'on observe séparément à chaque oculaire, mais qui pourrait être différent pour chaque oeil, malgré que l'image soit dédoublée par le prisme en deux images identiques. Je pense que les choses sont différences sur les stéréomicroscopies (loupes binoculaires) qu'il soit de type Greenough (avec deux objectifs) ou du type CMO (un seul objectif). J'ai évidemment relu un peu de théorie optique et notamment la docu sur http://www.microscopyu.com/articles/stereomicroscopy/stereointro.html une image optique (que ce soit l'image intermédiaire, ou l'image finale) est toujours plane (sauf dispositif optique spécial)... ce n'est que parce que deux images optiques sont différentes selon le parallaxe induit par la distance entre les deux objectifs qu'elles peuvent constituer, non pas une image en relief, mais une image stéréoscopique que le cerveau "synthétise" "en relief". Le relief, ou plus exactement, la sensation de relief (stéréopsie) est purement subjective mais, lorsqu'elle est induite par une vision binoculaire d'un objet tridimensionnel, elle correspond assez adéquatement la réalité physique de l'objet matériel perçu. D'autre part, la vision de chaque oeil considéré séparément est forcément monoculaire, pour ce qui concerne l'image formée sur la rétine, c'est au niveau cérébral, que ces deux visions différentes sont synthétisées en vision "en relief"... cordialement,
  10. patrice dx

    Le relief en Microscopie.

    Pour clarifier le débat, il faudrait peut être recentrer la question sur un point peut être négligé : la physiologie (ou neurophysiologie) de la vision et, plus particulièrement, de la perception du relief, autrement dit : la "perception des différences de profondeur dans la surface d'un objet ou des différences d'éloignement entre objets voisins" (pour reprendre une des définition dans ATILF du mot "relief"). Cette sensation résulte d'une adaptation physiologique - la vision binoculaire - importante pour les organismes qui doivent localiser dans l'espace un objet réel, comme une proie par exemple. on peut se référer par exemple à l'ouvrage Perception et réalité:une introduction à la psychologie des perceptions / André Delorme, Michelangelo Flückiger. - éd. De Boeck - des extraits significatifs sont disponibles sur google books : p. 276 et al. En fait la sensation de relief résulte de plusieurs facteurs qui n'impliquent pas nécessrairement la vision binoculaire : Les facteurs monoculaires - qui permettent à un borgne d'appréhender les objets dans l'espace - sont : 1. l'accomodation, ou plutôt la sensation proprioceptive de l'effort d'accomodation pour la vision d'objets rapprochés 2. la parallaxe monoculaire, induite par le mouvement de la tête, des yeux ou des objets... c'est ce phénomène qui est simulé dans les stéréoanimations cités précédemment. A propos de ces stéréoanimations, subjectivement, j'y perçois une sensation de profondeur, y compris en fermant un oeil... donc en vision monoculaire. 3. les facteurs géométriques, et en particulier la perspective. Mais aussi la perspective aérienne (affadissement des couleurs dans le lointain, la perspective des textures, les ombres... c'est ce qui est exploité par les artistes lorsqu'ils représentent l'espace en 2D !!! il y a dans la perception de la perspective une part culturelle et une part environnementale, qui détermine la capacité physiologique de perception spatiale. Des tests ont été effectués chez des individus ayant vécu, depuis l'enfance, dans un environnement culturel où les lignes droites sont peut fréquentes (habitats traditionnels circulaires en milieu naturel) en comparaison avec des individus ayant vécu en milieu urbain, et on a montré que les individus adultes du premier groupe avaient plus de difficultés à comprendre et représenter la perspective géométrique. Les facteurs géométriques sont sujets aussi aux illusions d'optique. Les facteurs binoculaires sont évidemment plus connus et sont une composante essentielle de la perception du relief. 1. la disparité binoculaire horizontale (conséquence de l'effet de parallaxe sur les deux yeux) est traduite par le cerveau de manière à créer cette sensation de relief. Le relief physique n'est pas indispensable puisque cet effet peut être restitué par des stéréogrammes plans. L'expérience des stéréogrammes aléatoires de Julesz permettent de restituer la sensation de relief indépendemment de tous les facteurs géométriques (perspective, ombres etc) cités ci-dessus. Il s'agit d'un ensemble de points disposés aléatoirement à l'exception d'une zone carrée où un effet de parallaxe est appliquée. stéréogramme aléatoire de Julesz : http://plato.stanford.edu/entries/mental-imagery/randdot.gif 2. la convergence oculaire, sensation proprioceptive de la position convergente des yeux dans l'observation d'objets rapprochés. L'essentiel se passe dans le cerveau : les afférence provenant des deux yeux convergent vers une zone commune du cerveau, dans le cortex strié. On connait mal les bases neurologiques de la stéréopsie mais on sait - par des expériences d'imagerie cérébrale - que certains neurones réagissent différemment selon l'exitation d'un oeil ou l'autre, d'un point ou l'autre des rétines et certains neurones réagissent à la vision lointaine (au-delà du plan de fixation) et d'autres réagissent aux objets proches (en deça du plan de fixation) - voir à ce propos : Neurosciences / Purves et al. éd. De Boeck, pp. 271 - page consultable sur google books Dans l'observation microscopique... pour répondre à la première question de Michel : une sensation de parallaxe monoculaire est perceptible sur mon bino Nikon S en déplaçant l'oeil par rapport à un oculaire (autre oeil fermé)... il faudrait vérifier si cet effet existe dans un microscope monoculaire... (à noter que je n'ai pas cette sensation dans la loupe binoculaire.) en vision binoculaire, la sensation de relief est réel. La parallaxe est perceptible, ce qui peut aussi créer une difficulté pour l'observateur débutant qui doit apprendre à bien positionner oculaires (en fonction de sa distance interpupillaire) et ses yeux à bonne distance des lentilles (surtout si les oculaires sont prévus pour porteurs de lunette) Par rapport la question de l'image La réalité physique est tridimensionnelle (dans un espace euclidien xyz... on ne va pas se lancer ici dans la théorie de la relativité, ou la théorie des cordes...), mais les images reçues sur chaque rétine est bidimensionnelle. C'est bien une image que nous percevons (que de sois directement ou par la médiation d'un système optique, cela ne change pas - il faut bien considérer que l'oeil est lui-même un appareil optique), c'est au niveau cérébral que l'image est interprétée de manière à donner - entre autres - la sensation de profondeur. Il se fait que les mécanismes évolutifs de sélection favorisent les organismes dont la perception de l'environnement correspond adéquatement à la réalité physique de cet environnement, de sorte que l'on peut dire que notre vision, sans être parfaite * , correspond assez bien à la réalité, du moins suffisemment pour que nous puissions utiliser notre environnent physique à notre avantage. * les rapaces, par exemple, ont une vue bien plus performante... mais les homo sapiens, physiologiquement capables de construire des outils, pallient l'imperfection de leurs yeux en utilisant à leur avantage les lois de l'optique. cordialement,
  11. l'édition 1996 est en vente sur Amazon.fr cordialement
  12. Je suppose qu'il faut envoyer les réponse à ton mail privé. Il y a une date limite d'envoi des réponses ? A +
  13. Bonjour Prokofiev, bonjour Héloise... Dans les "fonds de vase de fleur" on peut effectivement trouver beaucoup de microorganismes. Des bactéries (difficilement visibles) mais aussi des protozoaires ciliés qui se nourrissent de ces bactéries. Les espèces sont très nombreuses et souvent difficiles à identifier. Parmi eux, les "Colpodes" (Colpoda sp.) ont une forme en grain de haricot, c'est possible que ce soient des colpodes que Héloise a observés. Ce sont des ciliés, comme les paramécies. Je suggère d'encourager Héloise a dessiner ce qu'elle voit. Cela l'aidera à mieux observer et répérer des détails. C'est utile de regarder les débris végétaux (fragments de tige ou de feuille) on peut souvent y trouver des vorticelles Sur le site, il y a un petit guide illustré, par J. Cavanihac, de ce qu'on peut découvrir au microscope. Naturellement tout n'y est pas, mais cela permet de reconnaitre les principaux organismes microscopiques - unicellulaire ou pluricellulaires - que l'on peut trouver dans un étang. Je vous encourage à vous inscrire sur le forum, vous y trouverez toute l'aide nécessaire pour faire vos premiers pas dans la microscopie. Cordialement, Patrice
  14. ... voila un défi intéressant... :) je tente le coup et m'inscris A +
  15. Le programme CORINE est un outil informatique de cartographie et d'information sur les espaces naturels. Pour le réaliser à l'échelle européenne il y a été nécessaire de constituer une typologie normalisée des biotopes du Paléarctique occidental. Cette typologie a fait l'objet de plusieurs documents (en format pdf) et d'une base de donnée en ligne disponibles sur le site www.espaces-naturels.fr (réseau des professionnels de la nature). Ces documents qui listent, décrivent et catégorisent les espaces naturels européens, sont disponibles gratuitement en format pdf à cette adresse. Une base de donnée en ligne, résumant la typologie normalisée des biotopes peut être consultée sur ce site, et une masque d'interrogation en ligne est disponible ici L'usage raisonné de ces documents nécessite sans doute une connaissance et une expérience pratique qui n'est sans doute pas accessible à beaucoup de microscopistes et naturalistes amateurs, mais il peut nous être utile pour mieux rendre compte des prélèvements que l'on fait. Il s'avère à mon avis indispensable à tous ceux qui veulent caractériser "en professionnels" les milieux qu'ils étudient. cordialement
  16. voici quelques suggestions pour normaliser les contributions relatives à la description de biotopes et au rencensement des microrganismes qu'on y observe. L'intérêt de ces contribution réside dans la mise en évidence de la micro-biodiversité d'un milieu donné. Ce dernier doit être identifiable, localisé et défini sur le plan écologique. voici donc le plan suggéré pour ce type de contribution titre du sujet: biotope - [type de biotope] - [localisation (toponymie géographique)] description du sujet (sous-titre) : préciser brièvement les caractérisques du milieu ou l'intéret qu'il représente corps du message : 1. identification du biotope : autant que possible une identification toponymique permettant de retrouver ce milieu. Une référence à une localisation par GPS ou, plus simplement, sur google-earth, est possible. Si plusieurs milieux sont étudiés au même endroit ou si la localisation toponymique n'est pas possible, il convient d'assigner un nom conventionnel ou un code d'identification. 2. description : préciser la nature du biotope, si possible ses caractéristiques physiques ou chimiques (type de sol, pH etc). des indications globales sur la flore/faune macroscopique n'est pas inutile, mais ne pas entrer dans une description détaillée de celle-ci 3. date/heure du prélèvement et conditions climatiques 4. méthode de prélèvement, outils utilisés (épuisette à plancton etc) - par exemple il peut être significatif de préciser si le prélèvement dans un étang a été fait en eau libre, sur le bord, à la surface ou en profondeur, si de la vase a été récoltée, si des parois ont été raclées etc... 5. méthode et conditions de culture en labo. si un prélèvement est cultivé en labo, ce milieu évolue dans le temps selon sa dynamique propre qui peut être différente des conditions naturelles. Cela peut introduire un biais dans les recensions. il faut veiller à ce qu'il n'y ait pas de contamination externe 6. liste des microrganismes. L'identification doit être aussi poussée que possible, mais il est préférable ne mentionner d'un genre (ou une famille) que ce dont on est certain qu'avancer une identification incertaine. Penser à mentionner les sources (ouvrages et sites web) utilisées pour l'identification. On peut en outre décrire les organismes dans le forum "observations" dans les sous-rubriques correspondant. Dans ce cas, il est judicieux d'établir un lien hypertexte à partir du nom des espèces listées vers les messages correspondants. Inversément, on établit un lien de la mention du biotope, dans les messages postés dans "observations" vers le message décrivant le biotope dans le forum présent. 7. on peut mener les observations et ne poster le message qu'à leur terme, mais on peut aussi rendre compte au fur et à mesure des observations. Tant que c'est possible, on peut procéder par édition du message initial. Sinon, on peut "s'auto-répondre" au message initial en spécifiant que c'est un ajout : le(s) modérateur(s) se chargeront par la suite - avec l'accord des auteurs - de compiler et synthétiser les messages
  17. Bonjour, J'ai un peu cherché sur le net, en googlant les termes "diatoms, morphogenesis", ou bien "triceratium, morphogenesis" le département de biologie de l'Ecole normale supérieure se consacre à la morphogenese et la biominéralisation des diatomées : voir le site web : ENS : morphogenese et biominéralisation des diatomées : courte présentation des recherches, bibliographies et curriculum des chercheurs impliqués. lire aussi ce communiqué du CNRS en poursuivant la recherche, on trouve des liens intéressants mais beaucoup d'articles spécialisés à accès payant en gros, la biosynthèse des frustules en silicium est déterminée génétiquement, mais les mécanismes biochimiques précis sont encore mal connus. Cela fait l'objet de recherches minutieuses parce que cela concerne ... les nanotechnologies. on peut lire par exemple cet article "Biomimetic silicification of 3D polyamine-rich scaffolds assembled by direct ink writing" qui décrit comment des "frustules artificielles" imitant la forme du Triceratium favus (triangulaire) sont produites. cordialement,
  18. C'est une superbe microphotographie (et une superbe diatomée), bravo Patrice Duros, pour cette observation (que je coterais 4 ****) si je pouvais... Ceci dit, j'ai vu que la plupart des Triceratium flavus représentés sur le net sont triangulaires. J'ai vu aussi une diatomée identifiée comme T. flavus parfaitement hexagonale (elle se trouve dans la galerie de Spike ) il y a un exemple de T. flavus, var quadratus dans "Oamaru Diatoms" by David B. Richman, en ligne chez Mic-UK Il y a donc une variabilité de cette espèce (et les T. favus carrés seraient-ils plus rares ??? ce qui vaut alors une étoile * supplémentaire !!!) Doit-on considérer les formes carrées, voires hexagonales comme des sous-espèces ? très cordialement Patrice Deramaix
  19. bonjour Christophe, visite les forums de futura-sciences, il y a un forum orienté vers la technique et l'électronique : http://forums.futura-sciences.com/forum11.html il s'y trouve des "pros" qui se feront un plaisir de répondre à ton problème cordialement,
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