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Tryphon M

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Tout ce qui a été posté par Tryphon M

  1. Tryphon M

    Mon paralux MICROL1050BINO

    Felicitations pour ce superbe matériel! Y a plus qu'á. Cordialement.
  2. Bonjour Doc27330 * Je ne serais pas de grand secours pour discuter de ce sujet mycologique, mais je tiens à témoigner de mon admiration pour cette étude faite dans les règles de l'art. Ce sujet est un grand émerveillement pour moi. Avec mes plus chaleureuses félicitations. Cordialement. * Ce 27330 fleure bon la Normandie ! J'ai eu la chance d'aller chez les de Broglie, ce n'est pas bien loin du 27330 si je ne me trompe.
  3. Tryphon M

    Geotricum et Camembert

    Bonjour les mycophiles ( et phages ?) Votre sujet est très intéressant !!! voilà, j'ai recherché sur le net à quoi pouvait ressembler un P camambertii, et j'ai trouvé ceci : http://www.gurumed.org/2011/02/13/paysages-microbiens-le-paradis-des-champignons/ Il semblerait que le P camambertii existe bien comme celui du Sainte Maure de Touraine. Les photos du fromage montrent que la "peau" est grisâtre. La couleur est-elle due au développement de spores ou à la cendre salée utilisée lors de l'affinage ? En tout cas on voit bien les spores au MEB. Cela le distingue des "peaux blanches" des camemberts industriels. Amitiés.
  4. Tryphon M

    Penicillium expansum

    On peut poster autant de message que l'on veut.(A la queue leu-leu) Très intéressé de voir les boîtes. Amitiés.
  5. Tryphon M

    Penicillium expansum

    Bonjour Doc, Félicitations pour cet art culinaire. Au menu : Culture de Pénicillium aux algues ou Fromage d' Agar à pâte persillée. :) En effet, avec les moyens du bord, on peut reproduire pas mal de techniques de laboratoire et avec les mêmes résultats. Mais pour maîtriser les techniques d’asepsie, je pense qu'il faut quand même une bonne formation. Comme Jean-Marie, je me demande si la culture a été volontairement ensemencée ou bien si ce sont les spores de l’atmosphère qui l'ont contaminée? Bravo on en redemande ! Amitiés.
  6. Bonjour Jean-Marie, Il s'agit du forum associé au site 4D Systems. J'ai déjà passé en revue tous les produits de 4D Systems actuels et abandonnés et aucun afficheur ne correspond au mien. On voit bien sur la photo que toutes les E/S (pastilles à droite) ne sont pas reliées à un connecteur, mais remplacées par un connecteur USB 4 broches (En bas) Autrement dit ce circuit se pilote via USB, c'est d'ailleurs pour cette raison que je l'avais choisi. Or dans le catalogue 4D , il n'y a aucun écran qui se pilote directement par USB ! C'est là mon problème ! Ou alors c'est une autre source : MFCA ??? Amitiés.
  7. Bonjour à tous, Ce fil, comme vous pouvez le remarquer remonte à quelques lunes ! http://forum.MikrOscOpia.com/index.php?showtopic=3681&pid=39649&st=0entry39649 Le système a base de PicBasic (micro-contrôleur) que j'utilise, me sert à informatiser un microscope. Comme je le disais plus haut, l'informatisation d'un microscope se fait d'autant plus nécessaire que l'âge de l'utilisateur augmente. Un microscope peut être informatisé de très nombreuses manières. En premier, on peut imaginer des motorisations diverses, soit pour faire la MAP ou faire des séries focales (des zempilements :) ) , repérer des éléments d'une préparation et bien d'autres. On peut aussi optimiser l'éclairage. Au cours de ces applications, j'avais acheté, il y a 2/3 ans , un écran LCD pilotable par USB. Faute de temps et faute de doc, je l'avais mis en réserve pour... maintenant. Seulement, je ne retrouve plus trace sur le net de ce composant, pas plus chez le constructeur présumé, que chez le vendeur Si quelqu'un connait ce composant ou l'utilise, merci de me faire signe :en voici la photo . Sinon ,ce n'est pas très grave, je prendrais un de plus moderne. Amitiés.
  8. Bonjour, La photo ne permet pas de dire si ce sont des diatomées. Le grossissement n'est pas suffisant et la coloration est inutile et même handicapante pour l'interprétation de l'image. Cordialement.
  9. Bonjour, Merci d'avoir pensé à MikrOscOpia. Toutefois, pour être tout à fait honnête, la personne qui est la plus apte à répondre à vos questions sur les coupes végétales, est, à mon avis, "Bernard" qui publie sur le forum le naturaliste. Ses colorations de coupes végétales au vert Etzold sont tout à fait remarquables. Cordialement.
  10. Bonjour Michel, Jean-Marie, tous, En me replongeant dans mes catalogues, j'ai trouvé les pinces à tirer pour mon tour. Bien entendu à l'époque on m'avait proposé le système dont j'ai parlé, bien plus cher! Il s'agit donc de pinces SCHAUBLIN L-20. Amitiés
  11. Bonjour Michel, tous, Un grand merci pour cette explication ! Je ne connaissais pas ces pinces tirées. Voici ce qu'on m'avait proposé: Je regarderais si je peux trouver ton système, bien plus simple ! Amitiés.
  12. Bonsoir Michel, Bravo pour le travail ! C'est sûr qu'avec un mandrin à pinces, c'est mieux qu'une étuve. Petite question, pour ma curiosité personnelle, les pinces se serrent comment ? Un levier par l'arrière de la broche ou une bague à l'avant ? On devine sur la photo un filetage sur la broche, c'est pour la pince ou pour fixer un mandrin à mors? Je te pose toutes ces questions car je n'ai pas pu acheter avec mon tour (il y a bien longtemps ) le mandrin à pinces car il était trop cher. Amitiés. Mon tour : http://forum.MikrOscOpia.com/index.php?showtopic=3762&view=findpost&p=18620
  13. Bonjour Claude, Ta méthode est très logique et très efficace. Cependant il faut insister sur le fait qu'il faut être patient et ne pas trop mettre de solvant à la fois. Le risque étant que le solvant chargé de polluant migre jusqu'au contact des lentilles. Il faut préciser également qu'il vaut mieux l'appliquer de préférence aux objectifs à immersion dont la frontale est scellée . Et on rejoint là le problème du nettoyage de l'huile sur la frontale des objectifs à immersion. Mais il reste le cas des objectifs à sec, montés sur monture "parchoc". Ta méthode leur est applicable mais avec d'infinies précautions car la-plupart du temps les frontales ne sont pas scellées (enfin, c'est ce que je crois) Amitiés.
  14. Bonjour Jean-Marie, tous, Je suis tout à fait d'accord avec toi, il n'y a pas de problème. Le principe que tu défends ,et que j'aurais pu défendre de la même manière, est une méthode parmi, bien d'autres. Elle a un avantage évident, c'est qu'elle peut être mise en oeuvre rapidement et par pratiquement tout le monde. Bien sûr, il n'est pas rentable d'acheter un séchoir à cheveux pour un simple essai, mais, qui n'a pas dans son entourage une utilisatrice de ce genre d'accessoire? Cela ne coûte donc vraiment rien d'essayer ! Et si çà marche, c'est bingo! Je me plaçais sous un angle plus pointu. Rien ne dit que le séchoir sera efficace et surtout dans tous les cas de figure. La méthode proposée consiste à provoquer une dilatation différentielle. Dans le cas de deux pièces cylindriques coincées le fait de chauffer rapidement la pièce extérieure, provoque une dilatation (du métal) ce qui augmente son diamètre et peut provoquer son déblocage . Bien entendu, il faut que ce chauffage soit suffisant et assez rapide, avant que la pièce interne subisse le même sort. Dans de nombreux cas, la substance qui a provoqué le blocage et qui a séché, se craquelle ou se case ce qui accélère le processus. Il est bon de profiter de cette dilatation pour introduire par capillarité, un solvant. Mais dans d'autres cas, la substance "collante" reste souple et une fois la dilatation passée, (elle ne dure pas bien longtemps) on est toujours bloqué. Je proposais donc, si mon intuition sur la faisabilité est bonne, d'enrouler un fil chauffant autour de l'objectif et de lui appliquer rapidement un courant électrique adéquat (à calculer) A la limite, cela peut aboutir à un système réglable. Dans le cas de l'étuve ou du bain-marie, le processus de dilatation n'est pas contrôlable et, à moins qu'il ait pour effet de ramollir la substance collante, aboutit rapidement à la dilatation de l'ensemble des pièces. Je voudrais revenir à une première idée. Je me souviens avoir démonté un de ces objectifs. Si mes souvenirs sont bons, il suffisait d'enlever une bague filetée qui retenait un ressort. Ensuite, il suffit d'appuyer sur la partie mobile avec un mandrin de la bonne dimension, pour "éjecter" puis nettoyer l'objectif. Amitiés.
  15. Expérience suite : Bon, j'ai voulu refaire l'expérience et j'ai donc démonté une pile plate pour récupérer le bâtonnet de carbone. Échec, la technologie a évolué. Les éléments de la pile sont des containers contenant une "bouillie noire". L'expérience n'est donc pas possible à moins de fabriquer le bâtonnet avec de la poudre de charbon compactée... Je n'ai pas le temps. J'ai donc exploré la piste des fils chauffants. Pas facile, pour avoir les 5 ohms de Jean-Marie, il me faudrait un fil de cuivre de 2.5 mm de diamètre de 750 m de long ! Il y a donc là un problème de cohérence car un fil chauffant pour découper le polystyrène est bien plus court ! Cherchez l'erreur... Pour les câbles chauffants de Pujante, les plus courts font 1.5 mètres de long, difficile à enrouler autour d'un objectif ou alors il faut le raccourcir mais leur résistance va diminuer.Il faudrait en mettre plusieurs petites longueurs en parallèle et refaire le calcul. Qui si colle ? Explication de l'expérience: Pour en revenir à mon expérience, si mon bâtonnet de carbone est chauffé au rouge (donc environ 900 degrés !) avec ma pile de 4.5 V, c'est que sa résistivité est 2000 fois plus grande que celle du cuivre.
  16. Bonjour Jean-Marie, tous Je ne voudrais pas lancer un faux espoir avec ma méthode, (cela se calcule et je n'ai pas le temps de le faire mais je retiens le 5 ohms) mais je pense quand même qu'elle est valable. Je crois que la capacité d'une pile plate est suffisante, à condition que l'on trouve le bon fil à enrouler sur l'objectif. Je me base sur une petite expérience que j'ai faite maintes fois dans mon enfance. Expérience: Vous vous procurez deux piles plates 4.5V dont l'une est "morte". Vous récupérez le cylindre en carbone de la pile morte. Vous placez ce cylindre entre le + et le moins de la pile neuve et vous le maintenez en place avec deux bouts de bois sinon gare à vos doigts, c'est très dangereux! En quelques instants, le bâtonnet de carbone va être chauffé au rouge ! Je pense que l'énergie libérée, si elle est atténuée par un fil résistif (gaîné) de bonne valeur, est suffisante pour débloquer un objectif. (Certains "bricoleurs" ont peut être eu la mésaventure de voir une grosse clé à molette fondre en quelques instants pour l'avoir malencontreusement posée sur les bornes d'une batterie de voiture...) La capacité d'une batterie de voiture est bien entendue plus importante qu'une pile plate, mais il ne s'agit pas de faire fondre l'objectif! Tout à fait, il y a d’innombrables moyens pour chauffer l'objectif, comme le fer à souder, le micro chalumeau, un clou chauffé sur la gazinière, le bain marie (et oui! il suffit de mettre l'objectif dans un petit sachet en plastique genre papillote).Le sèche cheveux est une bonne solution, mais il faut faire tourner en permanence l'objectif pour que la chaleur soit bien répartie, sinon, la bague s'ovalise et risque de se coincer encore plus. Dans tous les cas de figure, votre retour d'expérience sera utile à tous. C'est le but du forum. Amitiés
  17. Bonsoir Pujante, Tu as raison ! Dès que l'objectif commence à bouger, il faut impérativement nettoyer les résidus laissés sur les parties visibles avec une compresse de gaze et bien sûr re lubrifier. Je pense à de la vaseline, mais si quelqu'un à une autre recette... Pour chauffer l'objectif de manière progressive et contrôlée, en faisant dilater en premier la partie la plus extérieure, j'ai une autre solution! Avec du fil de cuivre gaîné et une pile plate de 4.5 volts. On entoure le fil autour de l'objectif puis on fait circuler le courant. Tout l'art est de calculer la longueur et la section du fil à utiliser ! Je laisse la parole aux électroniciens. Mais attention de ne pas vous brûler les doigts :) Amitiés.
  18. Bonjour Michel, Certains objectifs rétractables sont démontables. Il suffit alors de dévisser la partie rétractable et le carter se démonte. L'objectif proprement dit est indépendant de la partie vissée sur la tourelle. Sinon, je tenterais avec un coton ou une compresse, légèrement imbibé d'essence F d'essuyer la partie mobile là où elle pénètre dans la partie fixe. Le but est de ne pas faire pénétrer l'essence au contact des lentilles, mais simplement de dissoudre l'huile solidifiée. De quel objectif s'agit-il ? Si c'est un objectif à immersion, c'est certainement de l'huile de cèdre solidifiée, dans ce cas peut être qu'il faudra en arriver à faire la manœuvre avec du xylène. Si c'est un objectif plus faible il se peut que quelqu'un ait mis de l'huile de cuisine (alimentaire) cela s'est vu! Tu peux également (et peut-être en premier), essayer de réchauffer le carter mobile. La solution la plus sécurisante est de chauffer avec une ampoule type halogène. Tu pourrais utiliser une étuve (50-60°), mais, tout le monde n'en possède pas, et dans ce cas, c'est l'ensemble de l'objectif qui sera chauffé. il vaut mieux obtenir une dilatation différentielle. Amitiés.
  19. Bonjour, Nous avons parlé récemment du moyen de faire des mesures au microscope. http://forum.MikrOscOpia.com/index.php?showtopic=11119 Cordialement.
  20. Ceci n'est pas une étude complète sur la "coloration" à la Nigrosine, mais un petit rappel de notions de base. Il semblerait que cette substance soit assez répandue, peut-être dans des kits de démarrage fournis avec certains microscopes, (en tout cas c' était souvent le cas autrefois), mais il semblerait que le protocole soit ignoré. Historique : C'est Bresslau en 1921 qui introduit la technique de coloration négative sur des frottis secs d'infusoires. Pour cela différentes substances ont été employées. Le Cyanochine (Cyanosine et bleu de Lyon) L' Opalblau (bleu de gentianne à l'eau) La Phloxine-Rhodamine. C'est en 1923 que Georges Deflandre introduit la Nigrosine en substitution aux autres substances précitées. Technique: On fait une solution de Nigrossine à 5 à 10 % dans l'eau. On mélange aux infusoires (ou autres) On étale en frottis. On sèche rapidement. On monte au Baume du Canada. Conclusion: La Nigrosine n'est pas à proprement parler un colorant, mais un moyen de donner une image négative du sujet en colorant le fond, un peu comme le FN (Fond Noir) Son intérêt est de mettre en évidence des détails de la ciliature, mais aussi certaines structures cellulaires comme les vacuoles contractiles. Disons pour simplifier que c'est un colorant négatif. Notez bien: Vous pouvez discuter du sujet dans la partie réservée aux Membres du forum.
  21. C'est le problème des artéfacts dus à la diffraction quand on est à la frontière du possible. Cordialement.
  22. Bonjour Jean-Marc, Ne te casse pas la tête pour si peu, cela n'a pas beaucoup d'importance. Cordialement.
  23. Bonjour Jean-Marc, Je n'ai pas trop le temps ce matin mais ce que je peux dire rapidement. Les araignées des télescopes donnent des aigrettes sur les clichés et une rupture des anneaux du disque d'Airy. Ce n'est pas le cas ici et les images de points défocalisés semblent dédoublées selon deux axes perpendiculaires (tétrades) Nous n'avons pas affaire tout de même à des mirages gravitationnels :P :P :P ! De plus dans la zone représentée plus bas, on a l'impression d'un tramage comme sur des coupes osseuses. Comme ta technique a pour but de visualiser les plus fins détails de la diatomée, elle est censée montrer également les plus fins détails des zones hors diatomée ? Qui y a-t'il donc derrière ces figures que je ne sais pas interpréter? Amitiés.
  24. Bonjour Jean-Marie, Ce que tu dis n'est pas du tout étonnant puisque le LASER est une lumière cohérente. Ceci dit, il serait intéressant d'expérimenter avec des sources laser pour voir la diffraction propre due au microscope. Amitiés.
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