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Tryphon T

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Tout ce qui a été posté par Tryphon T

  1. Visite sur le Net : Donc je confirme, ce sont bien des tubes photomultiplicateurs à 9 étages . HAMAMATSU IP 28 http://www.datasheetcatalog.net/datasheets_pdf/1/P/2/8/1P28.shtml http://pdf.datasheetcatalog.net/datasheet/hamamatsu/1P28.pdf
  2. Bonjour, Le dernier élément que je peux apporter avant le démontage final du cylindre (qui risque de tout casser dedans !) c'est le montage des phototubes. Que j'appelle photomultiplicateurs sans avoir réellement vérifié leur nature exacte) Devant la fenêtre qui sert à recevoir la lumière du spectre, se trouve un support dans lequel sont insérées des languettes métalliques reliées au cylindre. A quoi servent ses languettes? A quoi sert le cylindre? , je n'y vois qu'une sorte de dispositif pour créer une différence de potentiel électrique (ou une mise à la terre régulée) entre l'extérieur de la lampe (recouverte d'une peinture peut-être conductrice) et les électrodes internes sous vide. Bien amicalement.
  3. Bonsoir Tous, Ou alors suivez le lien dans Mik-Mag : http://www.mik-mag.fr/author/dominique-voisin/ Bien amicalement.
  4. Bravo ! Mais çà; c'est la diatomée préférée de Dominique ! Bien amicalement.
  5. Voilà les photos de l'ampoule qui arrivent !
  6. Bonjour Jean-Marie, Tu as une vue perçante. Je n'avais pas vu que la "boule" était bleue et pourtant je l'avais dévissée et prise pour un moyen de tirer vers le haut la plaque qui la supporte. Et bien cette boule est bien bleue et en fait cela semble être une ampoule ! J'ai pris une photo, mais le forum ne marche toujours pas (au moins on peut encore y écrire !! Je n'ai rien vu en forme de triangle, mais en effet, les fers en U de différentes longueurs font penser à un potar surtout que leur partie centrale, de part et d'autre de la fente à l'air plus brillante (usure) que le reste. Je pensais qu'il y avait un moteur à l'intérieur pour déplacer la plaque circulaire qui supporte l'ampoule. (Sorte de rhéostat). Mais les tiges en U les plus courtes, ne permettent pas à la plaque de s'élever au dessus de leur limite supérieure. La fente centrale ne débouchant pas. Alors, comment çà marche, et à quoi çà sert ? Bien amicalement.
  7. Bonjour Jean-Marie, Ce sont bien des fils électriques qui se terminent par des languettes métalliques qui viennent se glisser dans des guides situés devant la fenêtre du tube. Bien amicalement.
  8. Suite, Je ne comprends toujours pas à quoi sert ce mystérieux cylindre. Émotion avant d'ouvrit le "couvercle" ... Je dévisse les 4 vis , Un, deux, trois, je soulève. Je ne suis pas plus avancé ! Ce qu'il faut dire c'est que chaque câble qui part du cylindre est relié à une languette qui vient se glisser dans une rainure devant la fenêtre du photomultiplicateur. Un peu comme s'il fallait créer une différence de potentiel entre cette languette et l'intérieur du tube. On voit sur l'image 1 ces fameuses languettes . Suite : 2 sortes de tubes dont un avec la languette cassée. Et pour terminer, la fente motorisée. Spectralement.
  9. Bonjour JM, Comme je l'ai indiqué, je récupère la table . (Et certains composants optiques) J'ai proposé ici, il y a bien longtemps mes 2 spectro à qui en voulait, mais maintenant , ils m'encombrent et comme il me faut des tables anti-vibratoires pour une fraiseuse CNC et aussi pour ma nouvelle table optique, je démonte. Bien amicalement.
  10. Bonjour Jean-Marie, Justement, je me demandais si on ne pouvait pas remplacer les détecteurs par un CCD qui serait beaucoup plus près et donc le montage plus compact. Pour le cylindre, je ne crois pas à de la HT surtout que seulement deux petits fils le commandent'. Les autres vont sur les Photodiodes. Peut-être un commutateur. Je l’ouvrirai plus tard car maintenant le "coffre" est stocké et le cylindre juste dessous. Pas besoin de fibres optiques, il suffit d'un miroir à la sortie du microscope et on est pile en face de la fenêtre d'entrée. Seulement, il faudrait analyser une partie précise de l'image et non un champ complet "composite" . Bien amicalement. Re, Pour le CCD, je crains que ce soit impossible à cause du cercle de Rowland. A+
  11. Bonjour, Il y a quelque temps des questions ont été posées concernant la spectroscopie au microscope. Il a été répondu que ce n'était pas facilement accessible. Le spectromètre étant un outil bien plus gros qu'un microscope, il est quasiment impossible de l'utiliser sur un si petit instrument. J'ai dans mes réserves plusieurs types de spectromètres et comme j'avais besoin d'une table anti-vibrations de grande taille pour installer une fraiseuse CNC, je me suis lancé dans le démontage d'un gros spectromètre Baird Atomic qui servait à l'analyse des huiles des hélicoptères de l' Armée de l'air. Extraire l'engin de sa réserve et le démonter n'a pas été facile (3 jours) d'autant plus qu'il m'a fallu réparer mon palan électrique qui n'avait pas servi depuis 15 ans. L'appareil doit peser dans les 800 Kg. Il est composé du spectromètre proprement dit, enfermé dans une coffre ( 1.2 X 0.8 X 0.35 m ) monté sur silent-blocks et de toute la partie électronique et de commande. Le démontage a été très instructif , mais de nombreux éléments restent des mystères. Extraction de l'engin : Début du démontage. Le dessous du coffre :Silent-block et cylindre mystérieux Le Spectro : Le rail des récepteurs Le réseau de diffraction Les filtres Le moteur de la fente Un spectre LED Les tubes photomultiplicateurs L'électronique (Une toute petite partie ): Commandes : Vue d'époque (qui écrase les perspectives). Bien amicalement.
  12. 推信封苗丰强
  13. 推信封苗丰强---
  14. Tryphon T

    Le coin labo de Vardar

    Bonjour Phil, En ce qui concerne les Protozoaires, Tome 1 : Premier fascicule : Phylogénie Protozoaires généralités. Flagellés Tome 1 : Fascicule 2 :Rhizopodes Actinopodes Sporozoaires Cnidosporidies. Tome 2 : Fascicule 1 Ciliés Anatomie Systématique Biologie Tome 2 : Fascicule 2 Ciliés Anatomie Systématique Biologie. J'ai les 4 : Ce sont je crois les ouvrages de base de tout bon protozoologue . Malheureusement, ils sont très chers. A cela il faut ajouter les deux ouvrages de Dragesco, incontournables. Amitiés.
  15. Tryphon T

    Le coin labo de Vardar

    Re, Je vois que tu as un Grassé ! Lequel ? Curieusement.
  16. Tryphon T

    Le coin labo de Vardar

    Bonjour Phil, Enfin tu nous le présente ! Très bien rangé, mais ce n'est qu'un petit début, cette passion peut prendre des proportions, bien plus considérables. Courage.
  17. "On voit les grosses lettres chez un ophtalmologue, pas les petites." Cela ne me fait pas penser à de l'astigmatisme. L'astigmatisme est une déformation cylindrique de la cornée. Mais selon la puissance et l'orientation de ce cylindre, ( parfois, il y a plusieurs cylindres : la cornée est patatoïde,) cela donne beaucoup d'astigmates différents. A priori, un astigmatisme simple d'orientation et de puissance connue, donne une image pas nette selon l'axe du cylindre, mais n'affecte pas la taille de l'image. Si cet axe est parallèle à la partie centrale d'un N de petite taille, on peut confondre un N avec un H. En microscopie : Les petits défauts de réfraction (Presbytie, myopie, hypermétropie) sont compensés par la mise au point du microscope, l'observateur ne s'en rend même pas compte, c'est celui qui prendra le microscope après lui qui verra que l'image que lui , voit nette, est totalement trouble. Ces gens-là peuvent quitter les lunettes pour regarder dans le microscope ! Ce que je fais. Dans les cas plus graves, à l'immersion, on ne peut pas arriver à avoir l'image, on touche la lame. Dans le cas d’astigmatisme, le changement de MAP ou de grossissement n'y changera pas grand chose ! Il faut soit garder ses lunettes, et parfois, ce n'est pas possible même avec des oculaires pour porteurs de lunettes, (c'est mon cas) soit se faire fabriquer des bonnettes pas son lunetier, qui ne corrigent que l'astigmatisme pas la peine de demander une correction dioptrique. Dans le cas de grosses corrections, il faudra garder les lunettes. Amicalement.
  18. Je te trouve un peu dur . Lis les traités d'Optique Physiologique et Clinique à l'usage des spécialistes de cette discipline , je ne pense pas qu'ils disent trop de bêtises en tout cas, ils prennent leurs responsabilités de spécialistes de la vision, en vivant dans le concret. Tu vois, je préférerais me faire opérer par un ophtalmo idiot en mathématiques qu'un mathématicien réputé pour ses formules. Je ne pense pas qu'il se gargarise, mais au contraire qu'il fait de la vulgarisation honnête dans un domaine difficile. Gatimel, dont je connais le site, parle du DOUBLE de la fréquence, c'est ce qui est enseigné dans les facultés. On ne peut pas dire qu'il recopie des absurdités trouvées sur Internet, mais qu'il parle de ses cours de Fac et de sa pratique quotidienne. Justement, les documents consultés font partie en notamment de ce milieu médical. Si je discutais de ce problème avec toi, c'est justement pour essayer de découvrir si ce fameux Taux de 2 X (ou plus selon toi) et son application concrète était basé sur du sérieux ou bien sur une déformation, une mauvaise interprétation. (je pensais à l' image virtuelle) , mais, comme pour l'instant, je ne suis pas convaincu, je préfère faire autre chose quitte à y revenir bien plus tard. Amicalement.
  19. Bonjour Claude, Ta remarque est très importante a n'a jamais été abordée dans le forum ! Je n'ai pas de réponse définitive, simplement des arguments pour et contres. Il faut rajouter que les microscopes un peu anciens (début XXème) avait aussi un coulant ! Un coulant est un tube qui porte l'oculaire et que l'on tirait pour augmenter le irage et le grossissement. Ainsi, on adaptait le grossissement au sujet observé, cela permettait de changer moins fréquemment d'oculaire. (Moyennant une augmentation des aberrations, mais il y en avait tellement que cela ne changeait pas grand chose.) (Quand on parle maintenant de coulant, surtout en astro, c'est pour designer le diamètre du tube porte oculaire) Une idée reçue (faute d'autre explication) indique que le choix de l'oculaire se fait en applicant une "formule magique" Le grossissement (optimal) du microscope ne doit pas dépasser 1000 X l' ON de l'objectif . D'où l'offre sur les microscopes anciens d'oculaires de grossissement divers. Il y avait d'ailleurs dans les "armoires" à microscope (coffrets en bois) un tableau des différentes combinaisons objectifs/oculaires. Le problème quand on utilise un oculaire fort, c'est qu'on perd en luminosité et l'image semble délavée moins brillante dans son ensemble, alors que bien sûr les détails sont plus gros. Il y a maintenant des éclairages électriques réglables et des changeurs de grossissement (Optovar ou autres zooms) on utilise donc une seule paire de 10 X. Les changeurs de grossissement permettent donc à partir d'un oculaire 10 X standard de s'adapter à l'ON des objectifs de la tourelle sans rien dévisser ou iner-changer. Dernière remarque: tout le monde n'a pas la même vue perçante que la norme des 10/10 , il est donc très utile d'avoir un oculaire de 15 X pour voir les fins détails (cela nous ramènera certainement au choix du capteur). Par contre pour un 20 X je trouve que cela fait beaucoup. Je connais des microscopistes qui utilisent du 25 X ! Amicalement.
  20. Bonjour, @ Jérôme: Tu dis : Heureusement que la caméra ne crée pas de détails ! pour qu'elle ne les fasse pas disparaître, il faut échantillonner avec beaucoup de petits photosites... Réponse : Je ne vais pas à l'infini répondre que je ne suis pas d'accord, donc je conclus.: Dans un premier temps on aurait pu croire que plus il y avait de "pixels" dans un capteur, et plus l'image du microscope serait fidèle. Et c'est ce que croient encore beaucoup de personnes ! Or j'ai insisté sur le fait que l'image (intermédiaire ) est créée par l'objectif (du microscope, mais aussi par tout système optique l' œil compris) et donc le capteur lui même quelle que soit sa nature doit restituer fidèlement cette image. Comment ? Pour définir les conditions nécessaires et suffisantes pour que cette image soit fidèlement reproduite en ce qui concerne la résolution (le plus fin détail) nous faisons appel au Théorème d'échantillonnage de Nyquist-Shannon : Le critère qui est retenu dans tous les documents que j'ai pu consulter utilise le TAUX de Nyquist .(de 2) "Le taux de Nyquist est deux fois la fréquence de la composante maximale de la fonction en cours d'échantillonnage". En cherchant un peu plus j'ai trouvé que ce Taux est en réalité fixé à 2.3 . En langage plus commun, pour saisir un détail de 1µ sur une image, il faut que la taille du photo-site soit de 0.5 µ . Je n'ai jamais trouvé aucun texte qui affirme que ce taux doit être supérieur. Or tu as l'air de dire qu'il faut bien plus, soit, mais combien et pourquoi ? Dans un premier temps tu nous a dit qu'il fallait un taux de 2 ou 3 puis 6 ou 7 et maintenant DIX ! Je reconnais que c'est un compte rond, sans plus. On ne vas pas pas se répondre à l'infini, ma capacité de compréhension est atteinte , c'est ma conclusion. @ Claude: Pour ne pas alourdir le sujet qui concerne les tests de capteurs, j'ouvre un nouveau sujet sur les Lunettes. Amicalement.
  21. Plus les photosites sont petits actuellement environ 1,4 µm pour 14 Mp.Plus l'image restituée est grande et donc plus facilement recadrable.Illusion, il n'y a pas plus de détails. Plus les détails sont fins.Illusion, les détails sont sur l'image intermédiaire pas créés par la camera. Plus la caméra est lente et le suivi des organismes difficile.Tout à fait exact. C'est bien pour cela que je ne considère pas qu'un appareil avec moins de 10 i/sec soit une camera ! On me dit chaque fois qu'il faut baisser la résolution et l'image devient plus "fluide" : OK mais à quel prix ? Une simple WebCam fait aussi bien. Si c'est pour faire des photos de diatomées à 6 ou 10 M pix, il vaut mieux acheter un appareil photo compact de base bien moins cher. le grossissement de 10 est un peu insuffisant (mes yeux ont de l'astigmatisme...). L'astigmatisme n'est pas amélioré par un grossissement supérieur. Avec un 20 X tu auras le même astigmatisme qu'avec un 10 X . C'est ton œil qui est astigmate et il le restera, Ou alors tu as aussi une correction dioptrique en plus de l'astigmatisme. Mais qui n'est pas astigmate ? L'astigmatisme n'est pas toujours gênant et ne nécessite pas toujours une correction tout dépend de son degré et de la gêne. Amicalement.
  22. Bonjour, Pour l’œil, nous allons tout doucement y arriver. Mais ce n'est pas aussi simple (scolaire) que cela ! La résolution de notre œil mesurée n'est pas de 1.5 µ mais d'1 minute d'angle qui correspond à un récepteur de 5 µ. Amicalement.
  23. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ton point de vue. Ce n'est pas l’œil, pas plus que le CCD, qui détermine le plus petit détail visible dans une image du microscope, mais l'objectif. L'oculaire ne sert qu'à adapter la taille du plus petit détail à la résolution de l’œil. Comme, pour un capteur électronique, la taille du photo-site est variable on va adapter sa taille au plus petit détail fourni par l'oculaire selon les mêmes critères que pour l' œil. Ce n'est pas en augmentant la résolution du capteur électronique que l'on va augmenter la résolution de l'objectif et donc celle de l'image. Si c'était le cas çà se saurait. On est bien d'accord, tout se joue au niveau de l'objectif ? Reste donc à déterminer le facteur qui permet à l’œil , comme au capteur électronique de résoudre l'image intermédiaire, et je ne vois pas comment se facteur serait différent pour l’œil et pour un capteur artificiel, puisque tout est déjà joué au niveau de l'objectif. Un œil de Faucon, qui a une meilleure résolution qu'un œil humain ne verra pas plus de détails dans un microscope qu'un œil Humain ou un "Œil électronique" ! Amicalement.
  24. Je constate que notre cher Jérôme, revient à des considérations moins théoriques. Dans nos microscopes nous regardons et photographions des images limitées en résolution par les lois de la physique. Rien ne sert à vouloir dépasser ses lois. Bien entendu, tout bon scientifique essayera de les prendre en défaut et à les contourner. Mais les faits sont têtus ! Bien entendu, si on veut minimiser les effets du crénelage, on peut essayer de diminuer la taille du photo-site, même le plus sot peut le comprendre, mais, il arrive un moment où on se heurte à des LIMITES. Oui, même analogique : mais là aussi, il y a des limites physiques Analogie trompeuse donc. Ce n'est pas parce que dans une certaine gamme de mesures on peut toujours trouver une fréquence qui nous donne une courbe parfaite, pas "pixélisée" du tout, que l'on peut continuer ce petit jeu à l'infini! Je rappelle que nous parlions d'images à la limite de la résolution théorique et non dans le domaine, où l'on a "de la réserve" pour agrandir le cliché. Cela m'évoque, certaines séries policières, où l'on agrandit des images quasiment à l'infini pour voir LE détail capital ! Cela me rappelle aussi la célèbre affaire dite: " Le mystère dans les yeux de Notre Dame de Guadalupe" http://www.sancta.org/eyes_f.html Je ne veux heurter aucune conviction, mais, il ne faut pas trop pousser... Amicalement.
  25. Bonjour, Je crois qu'il ne faut pas tout mélanger. Dans une image aussi complexe que celle dune diatomée, plusieurs phénomènes se superposent et parfois portent le même nom. Le Binning : rien à voir avec l' Interpolation de pixels pour créer une image en couleur. Il y augmentation du contraste et du rapport S/B et perte de résolution. L'interpolation : Elle permet de recréer la couleur à partir d'un capteur monochrome muni d'une matrice colorée Le crénelage: en anglais Aliasing. A l'échelle du pixel, une ligne oblique est représentée par un escalier. Normal , on ne peut pas faire autrement. Anti-Aliasing: (ou anti-crénelage.) Procédé artificiel (trucage) pour diminuer l'effet, sur notre sens esthétique, du crénelage. A- Hardware : Pour un capteur donné on diminue la résolution de l'image (puisqu'on ne peut pas augmenter la résolution du capteur !) En utilisant un filtre anti-aliasing qui diminue la résolution de l'image. B- Software : Soit toujours artificiellement, on incorpore des pixels "gris" (de valeur intermédiaire par interpolation quand on est en couleur) dans les "créneaux vides" Le moirage : C'est un phénomène interférentiel qui apparaît quand deux réseaux sont superposés. L'exemple du rideau est un phénomène que je m'expliquais déjà dans mon enfance (pour ne pas dire mon berceau) Quand on observe certaines diatomées, il y a jusqu'à 3 systèmes de réseaux qui se superposent plus le crénelage du capteur . On observe nécessairement des artefacts. L' Aliasing se traduit en terme d'échantillonnage du signal par repliement du spectre : Définition de repliement de spectre selon Wikipedia : Le repli de spectre (Aliasing en anglais) est un phénomène qui introduit dans un signal qui module une fréquence porteuse ou dans un signal échantillonné des fréquences qui ne devraient pas s'y trouver, lorsque la fréquence porteuse ou la fréquence d'échantillonnage sont inférieures à deux fois la fréquence maximale contenue dans le signal. (Ce n'est pas moi qui insiste) Amicalement.
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