Aller au contenu

Tryphon T

Admin
  • Compteur de contenus

    8 645
  • Inscription

Tout ce qui a été posté par Tryphon T

  1. INTRODUCTION La plupart des lentilles, miroirs ou prismes sont en verre fabriqué par l' Homme. Aussi si l'on veut comprendre l'évolution des techniques de fabrication des composants optiques, il est utile, d'abord (ou en parallèle) de dresser la chronologie de l' histoire du verre. En effet on ne peut pas envisager le moindre développement d'instruments optiques si on ne possède pas de verre de qualité suffisante. Il reste bien sûr les pierres naturelles polies, car on sait polir depuis très longtemps, mais on ne va pas bien loin avec. Nous nous intéresserons ici à la technologie des vitres chez les romains , car ils utilisaient des vitres de verre manufacturées . LES VITRES EN VERRE CHEZ LES ROMAINS DU PREMIER SIÈCLE Certes, le verre soufflé existait déjà, mais pour faire du verre à vitres, il fallait inventer une nouvelle technique. C'est ce qu'ont fait les Romains au Premier siècle AV JC . Ils coulaient du verre sur un support (marbre par exemple) et l'étiraient à la pince . Il était alors grugé pour donner des carreaux d'une trentaine de cm de côté. Il est intéressant de reproduire ces techniques pour comprendre l'ensemble des nombreux problèmes posés aux vitriers de l'époque. On comprend alors qu'on était encore bien loin des premiers verres de lunettes du XIII ème siècle ( Vers 1250 ) Une intuition subite m'a poussé, après autorisation des propriétaires, à aller "fouiner" dans un champ qui surplombe une villa Gallo-Romaine du 1er Siècle (Après JC) A l"aplomb du sudatorium, j'ai rapidement trouvé des fragments de verre qui auraient pu être du verre à vitres. La couleur et l'épaisseur ainsi que la non transparence coïncidaient, restait à trouver d'autres indices au microscope. Vous pouvez agrandir On voit sur cette photo au Polyvar, de nombreuses bulles prises dans la masse du verre. Mais vu l'épaisseur de l'échantillon (4 mm dans sa partie la plus épaisse et 3 mm dans la plus fine) on ne peut photographier que la partie superficielle de l'échantillon. Le signe distinctif des vitres Romaines est qu'elles sont étirées à la pince. Cela donne d'une part des vitres qui ne sont pas plates mais dont un côté est plus fin que l'autre , et d'autre part, les bulles qui sont incluses dans le verre sont allongées dans le sens de la traction. On ne peut voir cela qu'à la loupe binoculaire par transparence; Quant à la transparence des vitres, de couleur verte, il n'y en aucune, les bulles de toutes tailles sont trop nombreuses pour la formation des images, mais laissent passer la lumière. Sur cette dernière photo prise en perspective au Phomi II G environ 200 X , on peut s'imaginer la surface de la vitre, avec ses reliefs. J'ai marqué q'une flèche R une image caractéristique d'une rayure. (Celle-ci est microscopique comparée à d'autres) Sur les échantillons récoltés, les rayures sont nombreuses étant donné que le champ est cultivé et labouré tous les ans, sans compter le passage de "disques". CONCLUSION . Nous avons bien tous les indices pour croire que nous sommes bien en présence d'un verre de vitre utilisé dans les thermes d'une villa Gallo-Romaine datant de 2000 ans. Etant donné la complexité (ou la spécialisation) pour l'époque de cette fabrication, on ne peut imaginer que pour couvrir la demande des riches propriétaires de tout l' empire Romain, que ces vitres étaient produites dans de véritables usines (A Rome ?) et ensuite acheminées le long des "via". On peut aussi imaginer les avatars qui ont dû arriver à ces précieuses denrées au cours de ces longs voyages... La route sera encore longue pour observer les lunes de Jupiter ou les micro-organismes...
  2. Tryphon T

    Question?

    OUI, je dirais même plus, de Physique, d'Optique, de microscopie. Donc, pour les nouveaux : C'est l'objectif qui fabrique l'image à partir de ce qu'on lui donne. Et lui seul. Cette image se trouve dans le tube du microscope à 1 cm avant le bout du tube. Elle porte un nom barbare, mais c'est bien ainsi, c'est l' image intermédiaire. Dans tous les cas de figure, les détails de cette image sont trop fins pour être vus par notre œil. Il faut donc les agrandir une nouvelle fois. C'est le rôle de l'oculaire (une loupe) Mais de combien, là est la question ? N'écoutez pas les gourous qui vous disent, c'est 10 X ou c'est 1000 X l'ON , En fait ce facteur de grossissement supplémentaire dépend de votre Œil . Alors si votre œil est parfait et a 20 ans, 10 X vous conviendront, mais c'est rarement vérifié. Si vous trouvez qu'il y a plus de détails sur une photo que sur ce que vous voyez à l'oculaire, c'est que votre oculaire est trop faible !!! Si vous trouvez que l'image est plus jolie parce que plus lumineuse avec un oculaire de 10 X qu' avec un de 12 ou 15 X , c'est normal, mais une image plus lumineuse ne veut pas dire que vous en discernez tous les détails. Si vous trouvez que la photo vous apporte plus de détail que l'oculaire, le mérite n'en vient pas à l'appareil photo, aussi sophistiqué soit-il, mais cela signifie qu'il est mieux adapté au microscope que votre œil. L'appareil photo ne vous apporte AUCUN détail supplémentaire que ne peut fournir l'objectif, c'est au contraire votre oculaire trop faible pour votre œil qui retire des détails à l'image . (Ou vous empêche de les voir) Dans ce cas, ne vous dites pas, il me faut un super appareil photo ou une super camera qui m'apporte plus de détails que je ne distingue pas à l’œil derrière l'oculaire, mais CHANGEZ D'OCULAIRE ! Dans certains microscopes haut de gamme, pour éviter de changer d'oculaire en fonction de ce que vous voulez observer : une image hyper lumineuse ou une image hyper résolue, il existe un dispositif qui permet d'apporter un grandissement supplémentaire à l'oculaire, sans en changer . Disons par exemple 0.8 X 1 X 1.5 X et 2 X. qui correspond à un oculaire de 8 X 10 X 15 X ou 20 X . C'est l'objectif qui fournit le détail, pas l'appareil photo et si vous avez l'impression que c'est le cas, c'est que votre oculaire n'est pas adapté, Changez-le. Amicalement.
  3. Tryphon T

    Question?

    Bonjour Miguel, Buenos dias. Je traduis ta question : Quel grossissement doit être utilisé pour les diatomées ? Mon microscope a 4 objectifs... est-ce suffisant ? Je ne suis pas compétent en diatomées . D'autres pourront compléter, bien sûr. Je pense qu'il faut un objectif moyen 20 X ou 40 X pour voir la Diatomée dans son ensemble . donc cela dépend de la diatomée . Ensuite, il me parait indispensable d'avoir un objectif le plus résolvant possible pour voir les trous, perles et autres ornementations qui permettent de préciser le nom de la diatomée. Un ON de 1.25 à 1.40 (ou plus :) ) et bien sûr en immersion. Cela veut dire aussi que dans ce cas, il faut "préparer" les diatompées. Amicalement.
  4. Bonjour, Pour clore ce sujet, je vous dois les réponses aux dernières questions posées. C'est Jean-Marie qui a donné la solution. Les "câbles" qui partent du cylindre vers les photo-tubes, son bien des fibres optiques, et de belles fibres optiques ! L'intérieur du cylindre est composé de tiges en U avec une découpe de forme triangulaire. Ce qui fait que la lumière de la lampe bleue, située à l'intérieur dans la partie supérieure du cylindre ne pénètre au niveau du départ de la fibre optique dans la partie inférieure du cylindre, que par une petite fenêtre dont la largeur est réglable par des tiges filetées. Nous avons ainsi un dosage fin de lumière pour chacune des fibres. Cette lumière sert de référence pour l'étalonnage des tubes photomultiplicateurs. Cliquez-moi. Amicalement.
  5. Bonjour, Pour l'instant, j'ai un eu laissé tomber le spectro (mais pas pour longtemps) car je dois faire des terrassements, mais comme aujourd'hui il pleut, je reviens un peu vers vous avec quelques réflexions. Je comprends la philosophie de cet appareil multi-capteurs qui permet d'afficher des résultats rapides puisqu'il travaille en parallèle et en temps réel. Mais en même temps, il faut autant d'unités d'acquisition que de capteurs. Aussi j'ai imaginé qu'il serait peut-être possible de le reconstruire en le simplifiant et en n'utilisant qu'un seul photo-tube. Resterait, soit à le déplacer (le capteur) selon une portion de courbe. J'ai déjà le banc existant en forme d'arc de cercle qui pourrait servir de rail. Soit en faisant pivoter le réseau avec un moteur PAP ce qui serait plus simple. Mais je me pose une série de questions. Je n'ai jamais compris, par exemple pour le Fe, s'il existe une seule raie ou plusieurs comme il me semble l'avoir compris. Puisque c'est un réseau blazé, il faut un deuxième dispositif de déviation. Est-ce que l'angle de déviation est fixe pour tout le réseau, ou bien est-ce que cet angle varie avec chaque raie?Vos idées? Dernière question soulevée par JMC sur la sensibilité d'un capteur type CCD par rapport à un PM. Certes, l'un est beaucoup moins sensible que l'autre, mais ne peut-on pas compenser cet inconvénient par un allongement du temps d'acquisition? Bien amicalement.
  6. Bonjour Jean-Marie, Oui, c'est un réseau blazé (1) concave, par réflexion. Rayon de concavité 998.8 mm Angle de blaze : 16° 48' groves/mm : 1666.7 /mm J'ai oublié de mesurer ses dimensions. Bien amicalement. (1) Je pense que c'est pour çà qu'il y a avant les récepteurs (PM) ce que j'ai appelé des filtres qui sont en fait des éléments dispersifs.
  7. Bonjour, Avec un tel réseau (pro), on peut avoir des raies très fines et par conséquent un éclairage monochromatique. Mais j'imagine aussi le très très faible rendement d'un tel système base d'un monochromateur ! Peut on remplacer un monochromateur par un LASER ? Je suis sûr qu'il y a les réponses sur le Net, mais, c'est l'occasion peut-être, de partager et donc d'avancer plus vite. Bon, je sais qu'un laser est cohérent ! (Mais il y a moyen de moyenner...) A l'inverse, un laser étant monochromatique , y a t'il moyen d'obtenir du blanc avec trois lasers de lambda différents. Question concernant les éclairages "froids" . Dans un éclairage blanc, la chaleur est transmise par les Rouges et les IR . On filtre donc les IR et on obtient un éclairage froid. Qu'en est-il des lasers et de "mon" laser blanc (RVB), je suppose qu'en choisissant bien les longueurs d'ondes on peut avoir une lumière froide tout comme celle des LEDs. ? Bien amicalement;
  8. Je vais donc conserver les alims et essayer (pas pour demain!) de reconstituer un photomètre à tout faire, sur lequel il suffira d'envoyer de la lumière ou une raie spectrale , ou bien associé à des scintillateurs (radioactivité, électrons...) Bien amicalement.
  9. Bonjour Jean-Marie, Difficile de voir les extrémités des câbles, elles sont prises dans la peinture. Il faudrait en sacrifier un et amener une loupe bino sur place. Bien sûr c'est le réseau qui sépare les longueurs d'ondes . Ce que je ne m'explique pas ,c'est la lamelle avec des fentes parallèles. Etant donné que les supports de lamelles sont collés au tube qui est en verre, la lamelle + le support servent des système de fixation du "câble" au tube photomultiplicateur , et de plus démontable au cas où il faudrait changer le tube. Les tubes avec fenêtre cachée doivent servir de référence (courant d'obscurité). Maintenant je me demande, avec tous ces tubes, si ils ne peuvent pas être ré-employés à d'autres fins. Je pense qu'en déposant un scintillateur sur le tube, on ne peut pas détecter la radio-activité ? Bien entendu, je conserve les alims des tubes notamment la HT... Bien amicalement.
  10. Des sondes thermiques (CTN) pour une compensation en température ?
  11. On peut agrandir ! On peut agrandir ! On voit une soudure normale, une soudure cachée par le papier peint noir et une soudure cassée (métal brillant) Pour l'autre extrémité, on ne peut pas la photographier, elle est dans le cylindre, mais elle est soudée sur une vis dont l'autre extrémité est en contact avec les U comme la partie centrale d'un potentiomètre. Les lamelles semblent un peu "crades", parce qu'en fait elles sont collées par la peinture. ( C'est la journée des amours chez les Loriots !!! )
  12. Pour les lamelles "opaques" peut-être pour avoir une référence du bruit de fond des PM ? Je repars..
  13. Re, Je suis reparti faire des photos.. (Cela me fait 300 pas de plus à chaque fois, c'est bon pour le cœur !) Vous pouvez agrandir l'image ! Là où le mystère s'épaissit, c'est qu'il y a 3 types de lamelles ! Des lamelles qui laissent passer toute la lumière de la bande du spectre. Des lamelles qui ne laissent passer que des parties de la bande. Et enfin des lamelles qui sont totalement opaques car recouvertes d'un papier enduit de la même peinture qui recouvre le reste du tube.Pour la lamelle de droite, le support qui est normalement collé au tube a été (sauvagement) arraché ! Qu'en pensent les physiciens ? Bien amicalement;
  14. Bonjour Jean-Marie, Pour les languettes, on les voit très bien sur cette photo : Ce sont de simples lamelles métalliques qui se glissent dans le dispositif que l'on voit sur l'image précédente. Il n'y a aucune optique dans ce dispositif, ni au niveau des lamelles, ni à l'autre bout dans le cylindre. Pour la lampe bleue, je ne pense pas qu'elle ait une fonction optique. Puisqu'il n'y a aucune optique dans le cylindre. Soit, c'est simplement un gadget soit elle est là pour apporter un peu de chaleur . Bien amicalement; .
  15. Visite sur le Net : Donc je confirme, ce sont bien des tubes photomultiplicateurs à 9 étages . HAMAMATSU IP 28 http://www.datasheetcatalog.net/datasheets_pdf/1/P/2/8/1P28.shtml http://pdf.datasheetcatalog.net/datasheet/hamamatsu/1P28.pdf
  16. Bonjour, Le dernier élément que je peux apporter avant le démontage final du cylindre (qui risque de tout casser dedans !) c'est le montage des phototubes. Que j'appelle photomultiplicateurs sans avoir réellement vérifié leur nature exacte) Devant la fenêtre qui sert à recevoir la lumière du spectre, se trouve un support dans lequel sont insérées des languettes métalliques reliées au cylindre. A quoi servent ses languettes? A quoi sert le cylindre? , je n'y vois qu'une sorte de dispositif pour créer une différence de potentiel électrique (ou une mise à la terre régulée) entre l'extérieur de la lampe (recouverte d'une peinture peut-être conductrice) et les électrodes internes sous vide. Bien amicalement.
  17. Bonsoir Tous, Ou alors suivez le lien dans Mik-Mag : http://www.mik-mag.fr/author/dominique-voisin/ Bien amicalement.
  18. Bravo ! Mais çà; c'est la diatomée préférée de Dominique ! Bien amicalement.
  19. Voilà les photos de l'ampoule qui arrivent !
  20. Bonjour Jean-Marie, Tu as une vue perçante. Je n'avais pas vu que la "boule" était bleue et pourtant je l'avais dévissée et prise pour un moyen de tirer vers le haut la plaque qui la supporte. Et bien cette boule est bien bleue et en fait cela semble être une ampoule ! J'ai pris une photo, mais le forum ne marche toujours pas (au moins on peut encore y écrire !! Je n'ai rien vu en forme de triangle, mais en effet, les fers en U de différentes longueurs font penser à un potar surtout que leur partie centrale, de part et d'autre de la fente à l'air plus brillante (usure) que le reste. Je pensais qu'il y avait un moteur à l'intérieur pour déplacer la plaque circulaire qui supporte l'ampoule. (Sorte de rhéostat). Mais les tiges en U les plus courtes, ne permettent pas à la plaque de s'élever au dessus de leur limite supérieure. La fente centrale ne débouchant pas. Alors, comment çà marche, et à quoi çà sert ? Bien amicalement.
  21. Bonjour Jean-Marie, Ce sont bien des fils électriques qui se terminent par des languettes métalliques qui viennent se glisser dans des guides situés devant la fenêtre du tube. Bien amicalement.
  22. Suite, Je ne comprends toujours pas à quoi sert ce mystérieux cylindre. Émotion avant d'ouvrit le "couvercle" ... Je dévisse les 4 vis , Un, deux, trois, je soulève. Je ne suis pas plus avancé ! Ce qu'il faut dire c'est que chaque câble qui part du cylindre est relié à une languette qui vient se glisser dans une rainure devant la fenêtre du photomultiplicateur. Un peu comme s'il fallait créer une différence de potentiel entre cette languette et l'intérieur du tube. On voit sur l'image 1 ces fameuses languettes . Suite : 2 sortes de tubes dont un avec la languette cassée. Et pour terminer, la fente motorisée. Spectralement.
  23. Bonjour JM, Comme je l'ai indiqué, je récupère la table . (Et certains composants optiques) J'ai proposé ici, il y a bien longtemps mes 2 spectro à qui en voulait, mais maintenant , ils m'encombrent et comme il me faut des tables anti-vibratoires pour une fraiseuse CNC et aussi pour ma nouvelle table optique, je démonte. Bien amicalement.
  24. Bonjour Jean-Marie, Justement, je me demandais si on ne pouvait pas remplacer les détecteurs par un CCD qui serait beaucoup plus près et donc le montage plus compact. Pour le cylindre, je ne crois pas à de la HT surtout que seulement deux petits fils le commandent'. Les autres vont sur les Photodiodes. Peut-être un commutateur. Je l’ouvrirai plus tard car maintenant le "coffre" est stocké et le cylindre juste dessous. Pas besoin de fibres optiques, il suffit d'un miroir à la sortie du microscope et on est pile en face de la fenêtre d'entrée. Seulement, il faudrait analyser une partie précise de l'image et non un champ complet "composite" . Bien amicalement. Re, Pour le CCD, je crains que ce soit impossible à cause du cercle de Rowland. A+
  25. Bonjour, Il y a quelque temps des questions ont été posées concernant la spectroscopie au microscope. Il a été répondu que ce n'était pas facilement accessible. Le spectromètre étant un outil bien plus gros qu'un microscope, il est quasiment impossible de l'utiliser sur un si petit instrument. J'ai dans mes réserves plusieurs types de spectromètres et comme j'avais besoin d'une table anti-vibrations de grande taille pour installer une fraiseuse CNC, je me suis lancé dans le démontage d'un gros spectromètre Baird Atomic qui servait à l'analyse des huiles des hélicoptères de l' Armée de l'air. Extraire l'engin de sa réserve et le démonter n'a pas été facile (3 jours) d'autant plus qu'il m'a fallu réparer mon palan électrique qui n'avait pas servi depuis 15 ans. L'appareil doit peser dans les 800 Kg. Il est composé du spectromètre proprement dit, enfermé dans une coffre ( 1.2 X 0.8 X 0.35 m ) monté sur silent-blocks et de toute la partie électronique et de commande. Le démontage a été très instructif , mais de nombreux éléments restent des mystères. Extraction de l'engin : Début du démontage. Le dessous du coffre :Silent-block et cylindre mystérieux Le Spectro : Le rail des récepteurs Le réseau de diffraction Les filtres Le moteur de la fente Un spectre LED Les tubes photomultiplicateurs L'électronique (Une toute petite partie ): Commandes : Vue d'époque (qui écrase les perspectives). Bien amicalement.
×
×
  • Créer...