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Tryphon M

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Tout ce qui a été posté par Tryphon M

  1. OK , tout s'éclaircit! En quelque sorte des corps caverneux hyper sophistiqués. J'ai trouvé une seule représentation de ses organes (enfin leur partie fossilisée. )ICI http://images.google.com/imgres?imgurl=htt...-IsXJ-AaA5IivDA
  2. Bonjour Dominique, Encore une fois tu nous régales, je devrais peut être dire me régale . "De toute façon, c'est loin de passioner les foules..........." Bien au contraire, je reste persuadé que beaucoup de monde s'intéresse à tes travaux, seulement parfois, devant certains spectacles, on reste bouche bée. Continue dans cette voie, tu sais que tu as mon soutien moral. Amitiés.
  3. Incroyable! Bonjour Dominique, J'espère que ce n'est pas la dernière, mais tu as quand même le droit de te reposer sur tes lauriers. Amitiés.
  4. Bonjour François, "Mais on se retrouve dans quel sujet, après ?" Pas de problème pour se retrouver, Il y a des forums pour débuter, se perfectionner, publier. Pour tes questions, il y a un forum : Choix du matériel A+
  5. Bonjour François, Il y en effet d'autres solutions intéressantes. Seulement, ce ne sera pas très pratique de continuer dans cette partie du forum (absence de liens , de photos, pas d'accès aux autres sujets similaires) . Je vous propose donc de vous inscrire à MikrOscOpia nous pourrons aller beaucoup plus loin dans la discussion. Cordialement.
  6. Bonjour Alain, Tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne la difficulté de commencer la bactériologie avec ce matériel. Cordialement.
  7. Bonjour François, Votre choix est clair, il s'agit d'un microscope à cout réduit mais suffisamment performant pour voir des bactéries. De plus le peu de temps à consacrer au microscope exclue les bricolages ou les surprises d'un matériel d'occasion. Je n'ai retrouvé qu'un seul de ces microscopes ,il y a beaucoup à dire. Pour utiliser un objectif 100 x avec un oculaire de 15 X , il faut un objectif d'excellente qualité et un éclairage parfait. Pour le 20 X, ce n'est pas la peine d'en parler. Or il n'est jamais fait mention des caractéristiques des objectifs. En résumé, il y a beaucoup de paroles et de superlatifs et peu de renseignements techniques utiles. La question que vous posez sur les éclairages est la suivante, si j'ai bien compris. halogène ou de Köhler. Il se trouve que ces deux critères ne sont pas opposables. Halogène c'est l'ampoule et Köhler un système d'éclairage comprenant deux diaphragmes. En fait si le Köhler est évoqué dans le descriptif, c'est un bon point quasiment indispensable en bactériologie. Je voudrais revenir sur l'aspect diagnostic de votre projet. L'examen de bactéries au microscope demande bien sûr des connaissances préalables, mais surtout un matériel performant. L'utilisation de l'objectif 100X à immersion est indispensable et doit être de bonne qualité. Vous évoquez la possibilité de photographier les lames, il faudra donc prévoir d'autres accessoires. J'espère que d'autres réponses viendront compléter cette première approche du sujet et apporter des solutions concrètes. Bien cordialement.
  8. Bonjour, Cela me fait penser à un Copépode probablement un Cyclope, . A mon avis il n'est pas dangereux mais je sais qu'il peut servir d'hôte intermédiaire à certains parasites. Le mieux est de demander à un forum comme Mysis, ils sont spécialisés dans les micro bestioles. Cordialement.
  9. Cher Monsieur, Je viens de réactualiser le lien. Cependant dans cette partie du forum (Ouvert à tous) le lien en question ne peut pas fonctionner. Mais, rassurez-vous, il fonctionne bien à partir de tout navigateur ou directement dans MikrOscOpia. Je suis à votre disposition si vous rencontrez d'autres problèmes. Cordialement.
  10. "Bonjour, J'ai bien rempli, lors de mon inscription, tous les champs demandés. On m'a demandé le nom de mon microscope et mes motivations. J'ai même posé une question et personne ne m'a encore répondu. Est-ce que je dois encore attendre longtemps?" Bonjour, D'abord, il vous faut VALIDER votre adresse eMail en suivant le lien qui vous est envoyé automatiquement à cette adresse. Avez-vous suivi ce lien ? Si vous l'avez fait, il vous faut attendre qu'un administrateur approuve votre inscription, ce qui est généralement assez rapide* Bien sûr comme tout forum, il faut être connecté pour participer aux échanges, vous ne recevez pas les messages dans votre Boite A Lettres! A bientôt de vous lire. L'équipe de MikrOscOpia. * Les inscriptions fantaisistes ne sont pas prises en compte!
  11. Bonjour, Le forum est plutôt orienté Microscopie Photonique et nous sommes pour la plupart des amateurs. Alors, dans le temps qui reste avant l'examen, il me parait difficile de répondre sérieusement à vos questions . Je dirais simplement que c'est pas trop mal! Par contre je signale que les coupes font souvent paraitre plusieurs noyaux alors qu'il n'y en a qu'un notamment chez les polynucléaires. A vérifier donc la photo 2 mais je peux me tromper. Bon courage . Cordialement.
  12. Bonjour Dominique, Quelle classe! Je suis séduit. Amitiées.
  13. Bonjour Dominique, La microscopie photonique utilise la technique de l'autoradiographie, elle s'appelle dans ce cas Histo-Autoradiographie . La technique est la même qu'en ME mais les émulsions nucléaires n'ont pas besoin d'être aussi fines. On utilise donc la Kodak NTB à 0.40 µ et la Ilford K à 0.20 µ (La K5 est la plus courante) . Les émulsions nucléaires se présentent sous forme d'un gel qu'il faut mettre au bain marie avant de l'utiliser. Si je me souviens bien, les émulsions fines utilisées en astronomie pour la haute résolution, avaient des grains de quelques microns . Quand je vois la lame présentée et une relative netteté qui implique une émulsion plus fine. J'estime l'épaisseur des traits de l'écriture à 5 à 6 µ Il faut donc des grains d'au moins 0.5 µ pour que les bords soient aussi nets !. Je vous donne un document à lire qui nous apprend beaucoup de choses sur ce que tu souhaites faire, la reproduction de micro images. http://www.uk-us.org/agedor.pdf Au passage, il est clairement indiqué la différence entre la résolution (qui s'applique aux plus fins détails) et la définition (qui fait référence à la netteté des contours). Amitiés. J'en profite pour saluer l'attribution du Prix Nobel de Médecine aux trois chercheurs , l'Allemand Harald zur Hausen et aux Français Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier pour leur découverte respective des virus du cancer du col de l'utérus et du SIDA.
  14. Bonjour Dominique, Ton problème est relativement simple, en tout cas les solutions sont connues. Ton chalenge se divise en deux parties. A- La constitution d'une lame photosensible B- L'exposition de l'image. La constitution d'une lame photosensible consiste à déposer une émulsion photographique sur une lame porte objet. Malheureusement je ne connais que les techniques utilisées en microscopie électronique qui se classent dans la catégorie autoradiographie. Il s'agit d'émulsions très fines dont les grains sont de l'ordre du dixième de micron mais je pense qu'il existe l'équivalent avec des grains dix ou vingt fois plus gros. Les émulsions utilisées en microscopie électronique sont appelées émulsions nucléaires. En gros, voyons comment cela fonctionne. On prépare une grille recouverte de l 'émulsion nucléaire Ilford L4 ou Kodak NTB2 Sur cette grille, on dépose une coupe de tissus biologique dont certains éléments sont radioactifs. Au bout d'un temps assez long, les molécules radioactives, vont impressionner l'émulsion qui sera ensuite observée au microscope électronique. Pour nous, mise à part la taille des grains photosensibles et le fait que nous voulons révéler des molécules rendues radioactives ne change rien. Le principe reste le même. Tremper une lame dans une émulsion liquide, laisser sécher et impressionner. Bien entendu, il y a une phase de révélation indispensable, mais c'est de la photo classique. L'impression de la lame. Là encore, le principe est simple (!) (Yaka!) Il faut constituer un masque d'une taille normale (macroscopique) je pense qu'avec les outils informatiques actuels cela ne doit pas poser de problème. Ensuite, il faut impressionner en la réduisant, la lame photo sensibilisée avec l'image du masque. Je vois deux methodes. L'utilisation d'un agrandisseur photo (bien sûr utilisé pour réduire et non agrandir !) L'utilisation d'un microscope. Là encore, utilisé à l'envers. Pour l'agrandisseur, je pense que nos spécialistes en photographie et en optique pourront nous donner des solutions. Pour l'utilisation du microscope, il faut positionner la lame sensibilisée à sa place habituelle sur la platine et sous l'objectif judicieusement choisi et le cache en lieu et place d'un plan film dans une chambre de photomicrographie. (qui se trouve très facilement et dont je possède plusieurs exemplaires) Bien évidemment, il faut enlever le dos de la chambre et le remplacer par une source lumineuse homogène. Il ne reste plus qu'à calculer le temps de pose. Bien évidemment aussi, mais vous l'aurez compris, il faut travailler avec les émulsions photosensibles, dans le noir. Amitiés.
  15. Bonjour Jean, Comme Dominique qui connais bien mieux les pollens que moi, je pense qu'il ne faut pas considérer les grains de pollens comme des salières qui dissiperaient des allergènes. Sous les enveloppes du pollen, il y a du cytoplasme c'est à dire le constituant de toute cellule. Ce cytoplasme est une sorte de gelée qui contient des organites qui permettent à la cellule de fonctionner (de vivre). Quant aux allergènes ce sont des protéines, c'est à dire des grosses molécules organiques, mais quand même trop petites pour être vues au microscope. Voici un lien intéressant: http://forum.MikrOscOpia.com/index.php?showtopic=150&hl=noisetier Cordialement.
  16. Cher Visiteur, Votre problème est à la fois complexe et très simple. Les optiques n'ont pas toujours rigoureusement le grossissement qui est indiqué dessus, le facteur de la tête bino n'est pas toujours connu le tirage des tubes trino complique la chose. Souvent des APN (ce n'est pas votre cas) utilisent des zooms... Le logiciel de capture en effet peut aussi modifier l'échelle de agrandissement. Sans compter des sorties sur moniteur dans le cas de publication sur le Web par exemple. Le calcul est faisable, mais le résultat ne sera pas garanti ni rigoureux. La solution la plus simple est d'utiliser un Micromètre objet (ou objectif), On photographie l'échelle graduée du micromètre, ensuite on fait sa photographie dans les mêmes conditions. Il est simple ensuite de calculer le grossissement , de placer une échelle sur l'image , d'étalonner son système ou de mesurer des objets. Cordialement.
  17. Bonjour à tous, Au sujet de la norme DIN avancée par certains venseurs de microscopes, il y a la confusion la plus totale. (En prolongement de questions récurentes sur le choix et l’achat de microscopes) Souvent aucune référence DIN n'est indiquée ce qui rend cette mention totalement inutile ou même mensongère. Parfois, il est fait allusion à une norme ISO nommée (ISO 9001-200 ) dans ce cas là cette norme ne garanti en rien la qualité du matériel, mais signifie seulement un engagement du fabriquant à respecter un certain nombre de critères de qualité de fabrication. Voilà ce qu’en dit Wikipédia : Cordialement.
  18. Pas de problème JP pour couper les cheveux en 4 ! Je te propose même un concours, les couper en 100 000 dans le sens de l’épaisseur ! Soit des coupes de 10 nm . Et si nous rentrions (dans le forum) pour en parler ? Cordialement.
  19. Je crois que dans un grand pays démocratique comme la France et sans vouloir te contrarier ou te vexer, je ne pense pas commettre de faute en écrivant un Vernier (instrument de mesure) avec un V majuscule et je me garderais bien de faire quelque remarque que ce soit à celui qui n’en met pas car il en a aussi tout à fait la possibilité, je n’ai pas dit le devoir. Je comprends très bien que l’on puisse faire ta première remarque mais ma phrase ne prête à confusion que si l’on ne connaît pas le contexte historique de l’invention. Ton attention à mes écrits est grande pour avoir remarqué une majuscule pour toi intempestive, mais elle aurait dû alerter ta perspicacité et t’inciter à aller voir ce qui se cachait derrière. Ce n’était qu’un petit clin d’œil, un hommage à un savant, je ne pensais pas qu’il allait faire couler autant d’encre. Et je m'en excuse. Cordialement.
  20. Désolé de te contredire, mais Vernier est aussi le nom de l’inventeur du vernier ! (Pierre Vernier 1584-1637) Ma phrase était écrite dans la forme exacte que j’ai bien voulu lui donner. Quand j’écris « les graduations de Vernier », c’est bien pour rendre hommage à ce mathématicien français qui fit correspondre 9 traits d’une échelle aux 10 traits d’une autre pour que nous puissions en apprécier la dixième partie. Pour moi, cette « petite » invention est un signe de génie qui vaut bien une Majuscule ! Cordialement.
  21. Bonjour Caro, Tout cela c’est de la mécanique et c’est à peu près la même chose. La platine, est la partie du microscope entre le condenseur et l’objectif qui supporte la « préparation » c'est-à-dire la lame de verre sur laquelle se trouve l’objet à examiner. La surplatine est un dispositif mécanique qui se plaçait autrefois sur la platine et qui avait pour but de déplacer la préparation. Actuellement platine et surplatine sont généralement confondus. Deux commandes souvent coaxiales et parfois séparées permettent de déplacer la platine et donc la préparation de manière orthogonale. Un bouton sert pour les X et l’autre pour les Y. Il existe des platines à déplacement libre (pas de X et d’ Y) et des platines rotatives pour la polarisation. Sans oublier des platines goniométriques avec lesquelles on peut également incliner l’objet ou la préparation. La queue d’aronde est un dispositif mécanique de guidage dans le cas d’une platine à déplacement rectangulaires (X et Y) le plus souvent ces queue d’aronde sont accompagnées de billes pour garantir la souplesse du déplacement. On trouve aussi sur ces platines des graduations de Vernier de manière à repérer un détail de la préparation ou a mesurer des longueurs. C’est un objectif corrigé des aberrations chromatiques pour trois et parfois 4 longueurs d’ondes. DIN (Deutsche Industrie Norm) est une norme industrielle de fabrication sans son numéro elle ne veut rien dire. Habituellement elle signifie que l’objectif a une distance d’équilibrage de 45 mm et une longueur de tube de microscope de 160 mm et un pas de vis RMS ( 0.7965" (20.1mm) dia., 36 TPI, 55° "Whitworth) bon en résumé tous les microscopes DIN sont compatibles entre eux au niveau des objectifs. Il existe une autre norme japonaise (JIS (Japan Industrial Standards) de 36mm d’équilibrage. un tube de longueur 170mm.) En principe les pas de vis sont compatibles. Entre condenseur fixe et d’Abbé il n’y a aucune opposition. Je veux dire que l’un ne s’oppose pas à l’autre ! Fixe n’est pas une caractéristique optique du condenseur. Un condenseur fixe veut dire qu’il n’est pas réglable en hauteur et donc sans beaucoup d’intérêt. Un condenseur d’Abbé lui est de meilleure qualité qu’un simple condenseur fixe, mais ce n’est pas suffisant. L’ON du condenseur elle aussi n’a aucun rapport avec le fait que le condenseur soit fixe ou pas. Si l’on veut bénéficier de toute l’ON d’un objectif, il faut que l’ ON du condenseur soit au moins égale à celle de l’objectif et utiliser l’immersion du condenseur si l’objectif est à immersion. L’ON peut bien sûr dépasser 1 que ce soit pour le condenseur ou l’objectif dans ce cas il faut utiliser un medium d'immersion d’indice supérieur à 1 (1 = vide, 1.0003 =air) en principe on en choisit un du même indice que la lentille immergée ou la lame. On utilise l’eau indice 1.33 ou l’huile 1.50 selon les indications gravées sur l’objectif. Et bonne chance !
  22. Bonjour Visiteur, La microscopie est une activité des plus passionnantes, Dominique vous a donné un large aperçu des renseignements que l’on pouvait tirer des inscriptions sur les objectifs, mais il y a énormément plus à dire. Cette cession ouverte à tous, vous permet de dialoguer avec les amateurs éclairés du forum mais pour aller plus loin et participer, il est préférable de s’inscrire. Le lien cité est accessibles aux membres. Cordialement.
  23. Bonjour Alain, Toutes les cuves à coloration sont basées sur le même principe. (Schiefferdecker, Hellendahl, Borel et bien d'autres) Seuls changent des détails. Le tube de Borel est lui triangulaire (pour trois lames) on l'appelle aussi pour cela prisme de Borel. Quelques photos tirées des catalogues Labo Moderne et Metra Instruments SA Ce qui est vraiment intéressant dans l'histoire c'est bien l'origine de Coplin. Pour Borrel il semblerait que ce soit plus facile (Prosper Joseph Emile Borel (1884-1928) ). Cordialement.
  24. Je m'en excuse, ma réponse a été un peu hermétique pour un lecteur non spécialisé dans les techniques de coloration en séries. La jarre de Coplin (« Coplin jar » en anglais) est en fait un petit bac à coloration (bac, cuve, cuvette, ou tube de Coplin ) destiné à recevoir plusieurs lames en même temps (5 lames en principe) afin de limiter la consommation de colorant et l'évaporation. Il en existe plusieurs autres modèles (Schiefferdecker, Hellendahl, Borel) sensiblement différents mais fonctionnant sur le même principe. Cordialement.
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