solito de solis
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@Dominique
Quel beau travail et minutieuse documentaiton
On y retrouve quelque peu le proboscis des Culicidae.
J'ai bien observé tes modèles et je me questionne sur un détail
Corea marginatus possède deux petites épines entre les antennes
Et on peut les deviner sur la première de tes photos, la Corée qui se met au vert...
mais on ne les voit pas sur l'image qui représente la tête de l'insecte avec ses antennes et proboscis...
Est-ce le même individu ?
merci
SDS
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Et n'ayant ni moelle, ni rate, il faut bien que cela surgisse de quelque part autre
Merci pour la réponse dont je lirai la suite attentivement
J'avais juste entendu parler de la diversité de leurs hémoglobines (aux annelides) mais point de l’hématopoïèse
Bonne soirée Dominique
SDS
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Bravo Dominique pour cette nouvelle page sur les Lumbricus
Je souhaiterais avoir une précision concernant le système circulatoire de ces annelidés. Leur sang circule, il est même très visible in vivo. Mais où se fabrique se sang?
Où se situent les hémocytes ? Est-ce au niveau de certaines néphridies ? Dans le rôle de celles-ci tu ne sembles pas leur donner cette faculté hemocytaire
Merci
SDS
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"Lumbricus terrestris" (
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@Dominique
Oui, bien sûr il ne s'agit pas là d'un lombric mais d'un "schéma". Cette image se voulait simplement attirer l'attention sur les "pores" que vous nommez "orifices" des spermathèques...
rien autre...Il n'y a pas que des "Lombricus terrestris" qui portent le nom de "ver de terre", Eisinia foetida par exemple etc...
Mais je serai ravi de voir votre approche si possible des éventails ovariens.
merci
SDS
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si je peux encore intervenir, nous savons que l'oxygénation de l'eau lorsqu'elle n'est pas agitée présente un gradient selon la hauteur d'eau.
Plus la hauteur d'eau est petite et plus l'eau est proche de l'air et donc plus celle-ci est riche en oxygène.
L'eau d'un récipient profond a une pauvre saturation en oxygène dans le fond. Il est donc préférable que les hauteurs d'eau soient faibles
pour que les organismes restent vivants plus longtemps.
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Les Protozoaires et la température
Le froid ralentit les activités des Protozoaires, tandis qu'un excès de chaleur les tue. Les formes actives sont détruites vers 5O"C, les kystes à des températures plus élevées ; bien déshydratés, certains kystes ne sont tués qu'à une température de 80 à 100°C maintenue pendant une heure.
La température optimum pour les cultures se situe vers 20" ; l'optimum de croissance de la plupart des espèces se situe lui-même entre 20"et 35°C
.
extrait de Bachelier, G, La faune des sols, son écologie et son action
La température est certainement une des données à contrôler si on veut conserver son échantillon, mais réellement à la température moyenne ambiante un échantillon peut "tenir"
Mais ce qui dérange sans doute le plus l'échantillon c'est le fait qu'il soit séparé du milieu originel qui génère des brassages très subtils d'oxygène, d'acides aminés etc...
De plus, lorsqu'on réalise un prélèvement, on ne sélectionne pas nécessairement le nombre correct du rapport entre proies et prédateurs, où parfois l'un des deux manque tout à fait.
Or dans ce domaine de la microfaune on constate que proies et prédateurs forment des couples quasi mariés, comme champignons et racines etc...
De plus, le passage des protozoaires (si c'est le sujet ?) de l'état d'enkystement à l'état actif demande parfois que l'eau qui les contient soit d'une certaine nature biochimique
ce qui met parfois plusieurs jours avant que d'être atteinte et de là, les rotifères ou les amibes sont alors plus lents à se réveiller.
L'idéal lorsqu'on ne peut observer la totalité d'un prélèvement, c'est bien sûr de le fractionner en trois parties équitables et de conserver deux échantillons au frigo et à l'obscurité
(vérifier que lorsque la porte du frigo est fermée, la lumière est éteinte, comme le chat de Schrodinger)
J'ai des flacons qui traînent depuis des mois avec des "restes d'échantillons" à température ambiante mais à l'obscurité et je suis certain que je peux en les observant voir des organismes vivants
et parfois même être surpris par ce que l'on peut y découvrir.
Le problème avec les caves à vin c'est qu'elles sont éclairées par la porte vitrée, ce qui est un rien perturbant pour l'équilibre des échantillons.
La glacière à effet Peltier est certainement plus idéale.
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Un livre qui a inspiré bien des éthologues des philosophes (comme Thomas Nagel: Quelle sensation c'est d'être une chauve-souris) et aujourd'hui des botanistes comme Mancuso (écouter ses conférences sur youtube)
c'est celui de Uexkull:
https://monoskop.org/images/f/f2/Uexkuell_Jakob_von_Mondes_animaux_et_monde_humain.pdf
(We have to remember that what we observe is not nature herself, but nature
exposed to our method of questioning. / Werner Heisenberg) -
Dans l'attente du document sur la physiologie de ces braves fossoyeurs, il m'est d'avis que je peux ici, faire ici, sans quitter le sujet,
faire une petite parenthèse concernant les Lumbriculidae.
Ils sont quasi tous terrestres, mais il en existe quelques genres aquatiques qui ne sont pas différents au premier aspect de "vers de terre"
Ils possèdent tous 2 soies par faisceau, un corps opaque et non translucide et possèdent un gésier (décrit par Dominique) avant l'intestin.
Le plus commun de ces lombrics aquatiques est Eiseniella tetaraedra et son nom peut donner l'image, sa section est après le clitellum, carrée.
Ce qui est une caractéristique essentielle qui le définit très précisément.
Pourquoi cette remarque ? Parce que lorsqu'on trouve un ver de terre dans l'eau, il est possible qu'il y soit tombé par hasard, sauf si sa section est carrée,
et que son clitellum se situe des segments 22-27. Les soies sont sigmoïdes à pointe simple. Sa couleur peut être brun foncé, rouge, vert ou jaune.
dans ce cas, il est alors, aquatique. Cependant il ne dépasse pas 60 mm.
On peut voir cette section quadrangulaire sur l'image suivante en c)
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@Bonjour Dominique
C'est effectivement là un beau travail de documentation et une approche très scientifique de l'histologie,
je me réjouis de lire la suite sur la physiologie d'un ver de terre.
Car il y a tant d'espèces de vers de terre qu'il est difficile de les déterminer exactement sans tenir compte de la longueur, de la couleur la taille et la forme du clitellum, du lieu d'habitat et de son hygrométrie
Sans critiquer, mais comment avez-vous fait pour ne même pas mentionner le mot "métamère" qui permet d'identifier ce qu'est un ver ?
merci
a+
SDS
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Des populations d'Asplenium, hexaploîdes sont rencontrées en régions méditerranéennes ( hybrides de Asplenium trichomanes nothosubsp. malacitense:)
(l'italique est utile)
SDS
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@Tr
Cette réponse que tu énonces ne me convient pas tout à fait
Dextrine et maltose sont aussi des sucres.ou "glucides", des "oses" en tout cas
?
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Bonjour Dominique
merci pour cette présentation éloquente.
J'ai deux questions si tu veux bien
la première: Tu présentes des patates douces à chair jaune. Quelle est la différence avec celles à chair blanche ?
la seconde:
Tu écris :La quantité de glucides est nettement supérieure lorsque la pomme de terre est cuite au four (20,1 g pour 100 g vs 4,48 g pour 100 g en moyenne, et lorsqu’elle est cuite à l’eau (16,70 g pour 100 g vs 4,48 g pour 100 g en moyenne).
Quelle est la raison de cette différence ?
merci
SDS
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Adddendum
En ce qui concerne les bactéries, on peut penser que cet organe "interstitiuml" serait le périplasme
Le périplasme est l'espace compris entre la membrane interne et la membrane externe d'une bactérie.
Représentant environ 20 % du volume total de la bactérien mais encore difficile à étudier a la consistance d'un gel
(comme se présente pense-t-on l'eau dans toute cellule: les clathrates: eau polymérisée)
et est empli de protéines et de peptidoglycanes
Le périplasme est un lieu très important d'un flux continuel de macromolécules, il est le lieu d'échange entre intérieur et extérieur de la bactérie.
La vie est l'interaction entre intérieur et extérieur.
faut être fort pour réaliser des coupes dans des bactéries !!!
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Je pense que vous avez bien documenté le sujet.
Il me plaît d'ajouter encore à vos propos bien élevés.
Non, évidemment les deux cellules ne seront jamais identiques, que ce soit phénotypiquement autant que génotypiquement
Il est clair que les deux filles issues d'une mère qui disparaît se partagent un matériel chromosomique qui se divise en 2 égalités et pas autrement et donc
que les deux chaînes ADN qui vont redevenir des noyaux seront identiques.
C'est ce que l'on pensait AVANT
.
Tout comme pour les bactéries on n'étudie pas UN organisme tout seul, mais des populations, ou comme l'énonce Tryphon (est-ce correct, on pourrait l'imaginer) des clones
On étudie des populations. Or ces populations quand bien même elles présentent théoriquement lorsqu'elles dérivent d'une même souche, des chaînes ADN semblables.
Ce seraient alors des clones.
Cependant! Ce n'est pas parce que deux cellules ont la même séquence ADN, que leur noyau par les gènes codants, exprimera les mêmes protéines au même moment.
L'expression de leurs gènes et c'est vérifié n'est pas identique, mais correspond plutôt à un éventail de possibles, que l'on peut évaluer statistiquement.
Ainsi, selon l'ENVIRONNEMENT immédiat, c'est à dire par le fait que la cellule est un moment d'un milieu environnemental, son extérieur se retrouve à l'intérieur, modulant les informations
et en bout de course, l'expression des codons.
Et cela peut différer notoirement d'un endroit à l'autre lorsque la cellule est DANS SON MILIEU NATUREL
Il est clair aussi que dans un bioréacteur en agitation constante, sous des pressions et températures mesurées et contrôlées, la probabilité d'expression génétique identique est sensiblement égale à 1
Mais non pas dans un milieu moins contrôlé.
On peut en avoir la preuve de cette distribution statistique avec des cultures bactériennes spécifiques.
Lorsqu'une culture semble morte, car elle ne se reproduit plus (activité première d'une bactérie; intentionner de se reproduire)
des techniques de coloration par fluorescence mettent en évidence dans un même milieu, des bactéries colorables et d'autres qui ne le sont plus.
Et pourtant elles semblent toutes identiques: elles seraient toutes mortes.
Or il se fait que les colorables peuvent dans d'autres conditions, retrouver un cycle reproductif.
Ce qui est mis en évidence par coloration, ce sont des sites génomiques qui correspondent à des expressions différentes, bien que l'ADN soit identique.
Alors ces deux Distigma , génétiquement auront sans doute la même séquence ADN mais risquent d'avoir une expression génique différente si on les remet dans le milieu 'naturel" d'où elles émanent (une mare)
D'autant plus que et vous l'avez bien signalé, il n'y a pas que le matériel génétique qui se divise, mais tout le bagage cytoplasmique et les protéines.
Et là, il n'y a pas de réel partage équitable d'autant plus que les organites seront peu nombreux !
Je reste même persuadé depuis toujours que la cellule-mère détient toujours plus d'informations que la cellule-fille qui lui ressemble tant.
@Tryphon
Je doute quelque peu de ce but et de la validité de l'outil de réparation au regard des connaissances actuelles sur la "vie"
Il y a une continuité entre intérieur et extérieur d'une cellule et le programme n'est pas figé car il répond aux données de l'environnement.
C'est l'environnement qui se crée par l'intermédiaire de toute cellule vivante.
Elle ne fait pas que s'adapter, elle change aussi l'environnement pour qu'il s'adapte à elle, dans la mesure de ses moyens.
Je pense qu'il faille envisager les choses de façon bien plus globale que de se concentrer sur des familles, des espèces ou des des genres qui risquent bien un jour de n'être plus que des formes d'un seul organisme.
La science ancienne, celle que vous avez apprise à l'école n'a jamais assez approché la dynamique de la vie, mais l'a découpée, décrite, limitée au départ d'une idée de complétude de chaque forme organique.
Du genre: tout ce qui ne bouge plus est souvent mort. Alors que la vie n'est pas le mouvement mais la CAPACITE D'INTERAGIR d'un milieu avec lui-même par le biais de formes qu'il crée.
Donc, ces deux Distigma ne sont pas identiques, même si semblables à des clones.
(Une parenthèse sur Distigma. Son nom semble indiquer que cet organisme possède deux stigma (taches oculaires photosensibles) or ce cilié n'en possède pas.
Il s'agit là d'une erreur d'appréciation de celui qui a donné son nom à cet organisme. Il a confondu des vacuoles près de la cavité origine des flagelles et des taches oculaires)
SDS
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Distigma proteus est un protozoaire flagellé qui possède 2 flagelles, un court et un long qui prennent naissance
dans une cavité à l'extrémité antérieure de l'organisme.
Cet euglénide incolore se meut à la vitesse des son plus long flagelle qui tourne de façon hélicoïdale
mais le mouvement de l'organisme est 10 fois inférieur.à celui du flagelle et est de l'ordre de 4 µm/seconde
Ce flagellé vit dans l'eau d'une mare dans un parc public près d'ici (où c'est ?)
et on peut le voir sur cette video qui est en train de se diviser par mitose.
Ce qui est intéressant à remarquer, c'est que le mouvement euglenoide qui est un brassage du cytoplasme total d'arrière en avant auquel s'ajoute une rotation du cortex
(la membrane extérieure de l'organisme) semble être conservé par chacune des deux parties qui a déjà subi la mitose, donc les deux futures cellules
qui finiront pas se séparer. CE que je n'ai pas eu la patience d'attendre. Tandis que la queue ne se meut pas en mouvement euglenoide.
Cette cellule en mitose n'a pas de direction bien précise puisque c'est la moyenne des mouvements des quatre flagelles (les deux moteurs longs et les deux directionnels courts)
qui oriente l'organisme dans son milieu
Une question me vient d'habitude lors de tel événement
Les deux cellules seront-elles identiques ?
SDS
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@Dom, bonsoir,
je vous cite
leur validité pour la pratique courante reste toujours aussi grande . On aura recours à la nouvelle technique comme un moyen complémentaire de préciser une recherche.Oui, certainement,
si tout organe est entouré par cet interstitium et qu'il n'est pas mis en évidence et qu'on s'en fout quelque peu parce que ce que l'on cherche n'est pas localisé près de ce tissu
alors l'histologie restera telle, mais patientons, quel est le lien entre ce tissu-organe et la vascularisation ? Quels sont les canaux, les circuits, l'architecture de cet organe
qui comme les fascias se trouve partout et dont les pulsations sont les rythmes internes des muscles, des os, du mésentère, de la dure-mère etc...
sauf que non, disposez-vous donc chez vous un microscope confocal ?
Je ne peux nier que l'histologie nous a donné à connaître et reconnaître indiscutablement des tissus des organes et leur position dans le corps et leurs anomalies et leurs lésions et leurs réponses
c'est évident et là on ne peut que saluer au passage tous les histologistes qui ont contribué à l'étude des organismes MORTS
car... si nous réfléchissons un tant soit peu... de la bactérie au métazoaire et organismes encore plus complexes, les membranes cellulaires permettent un échange RECIPROQUE entre intérieur et extérieur
Cet échange est le flux du vivant. Et l'histologie, preuve en est dans la non-considération de l'importance de ce tissu-organe ne s'est jamais penchée que sur des corps MORTS
c'est à dire dont l'échange avec l'extérieur est fermé, terminé, clos, comme si nous avions là une image correspondant à la VIE
Et selon moi, il n'en est rien.
Et donc, l'utilisation de techniques plus à même d'observer les cellules VIVANTES permettront de comprendre, je pense, un peu plus correctement la vie organique
Mais je conçois que nous avançons dans les savoirs (pas dans les connaissances) et que nous avons dû passer par l'étude des MORTS pour croire comprendre le VIVANT
et tirer des conclusions souvent très hâtives mais alors indispensables pour que la médecine conserve son attitude plénipotentiaire sur ceux qui demandent de l'aide.
C'est comme les frustules des diatomées... c'est effectivement esthétique ou joli, plein de charme, d'ingéniosité naturelle... mais de là à comprendre la vie d'une diatomée
en observant son frustule même en haute définition, c'est justement ce que je pense être s'arrêter au début du chemin.
Qu'en pensez-vous ?
Bien à vous
SDS
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@Microscopistes et chirurgiens.
Il y a quelques années déjà mais maintenant, on ne peut plus l'ignorer, un fluide interstitiel qui se glisse dans des cavités qui entourent tous nos organes principaux, ainsi que sous l'épiderme et qui est à l'origine de la lymphe est mis en avant comme important dans la propagation des cellules cancéreuses
Les coupes microscopiques traditionnelles après le traitement des tissus à observer par divers fixateurs et colorants (je n'énumère pas ici la liste qui peut être longue selon ce qui veut être mis en évidence) ne laissent aucune place à l'observation des cellules de cet organe (à discuter) qui porte le nom d'INTERSTITIUM.
Les lames témoins d'un tissu risquent donc d'être à l'avenir quelque peu différentes si elles passent par les techniques adéquates et la microscopie confocale
Cet article est récent, mais le sujet est sur la table des échanges scientifiques depuis déjà quelques années.
Un autre
Et plus sérieux encore et en anglais
https://www.nature.com/articles/s41598-018-23062-6
Il remet en question beaucoup me semble-t-il la validité des lames que l'on peut acheter ou que l'on peut conserver et qui n'ont pas tenu compte de l'existence de ce tissu vivant liquide qui est en constant échange avec le plasma et la lymphe car les solvants et les fixateurs détruisent les cellules interstitielles.
Non seulement cet interstitium existe pour l'humain mais il se pourrait qu'il existe aussi pour tous les animaux qui possèdent une ou des membranes.
Et pourquoi pas les microorganismes et les végétaux ?
Alors vos coupes ?
Comme indiqué l'interstitium sous la couche du derme de la peau est la couche rose clair au bas de l'image
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Alors que certains pensaient approcher le mystère de la vie par la voie du microscope, ils s'entêtent quelque peu à vouloir faire des "coupes pro" afin d'approcher
les structures d'objets morts imprégnés de produits chimiques et de colorants afin de, peut-être appréhender de façon très personnelle, ce que beaucoup
ont déjà réalisé sans pour autant avoir apporté un grain de bonheur de plus au monde en collapsus... et surtout en respectant les formatages qui ajoutent redondance sur redondance
et encombrent les réseaux comme les déchets de plastique les cours d'eau même les plus cachés au coeur des forêts.
Restaurateur de papier, mais quelle aubaine de posséder un microscope pour approcher d'une façon plus pointue, les différents tramages, les filigranes, les compositions
les usures des documents que Mao n'hésiterait pas à brûler immédiatement, mais qui pourraient apprendre bien des choses à leur possesseur.
Remplacer le toluène par le xylène restera une question mérite cependant une réponse du genre
'Quelle heure est-il à Brest lorsqu'il est 16 h 42' 35" au Puy ?"
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@Cos
Cela a un parfum de printemps...
Et dans le fond les partenaires ne seraient-ils des Euchlanis ?
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Les 2 sont carcinogènes et ont des effets délétères sur le système nerveux humain
Méthylbenzène (Toluène) et Diméthylbenzène (Xylène) sont donc toxiques à certaines doses.
Le xylène est irritant à des doses de 200 à 500 ppm (parties par million, 1 ppm xylène = 4,35 mg/m³ ) donc à partir de environ 1g/m³
Le toluène a le même effet à partir de 5 mg/m3 (doses 200 fois plus faibles) et il est donc en ce sens plus détectable mais aussi plus toxique. (il se rapproche du cycle benzénique C6H6)
Des deux pour m'abîmer les gaines myéliniques, je prendrai alors plus du toluène que du xylène
Mais pour ma santé même défaillante, j'utiliserai du limonène
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Un sitar de qualité très moyenne pour jouer de la musique indienne coûte à Amsterdam environ 600 euros
A Chennai, j'en achète un bon pour maximum 100 euros.
Le salaire mensuel moyen d'un ouvrier à Chennai est de 130 euros.
Le salaire journalier en Inde est en moyenne de 3.36 euros
Mais il faut être sur place pour évaluer l'objet, c'est mieux.
Il n'est rien qui ne soit achetable en Inde.
Lorsque j'y serai, je ferai signe.
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Celui-ci est à 167 euros
https://www.indiamart.com/proddetail/rotary-precision-senior-microtome-9402384973.html
Tout paysan indien quasi analphabète possède son microtome manuel, pour couper les légumes en 4
Mais vaut mieux être sur place pour évaluer la qualité
Proboscide Trompe Insectes
dans Insectes. et autres bestioles
Posté(e) · Modifié par solito de solis
@Dominique
Bonsoir merci pour la réponse
Je ne sais pas répondre autre chose que les antennes des mâles sont plus longues mais que leur corps est plus petit.
Ces "tubercules antennifères" sont caractéristiques de l'espèce Corea marginatus marginatus mais, si absents, cela signifie alors que ce sont d'autres espèces, très voisines.
Ce qui n'ôte rien à votre exposé, puisque vraisemblablement, toutes les espèces de Corée possèdent un même type de proboscide.
Gonocerus acuteangulatus ne possède pas ces tubercules antennifères, mais fait partie de la famille des Coreidae,
SDS