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Tryphon T

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Tout ce qui a été posté par Tryphon T

  1. Bonjour Francisco, Merci pour ta réponse. Si tu as une photo de la plaque avant et de l'orifice, je suis preneur. Quand je passe le doigt à l'intérieur de l'ouverture pour les blocs, je sens aussi un trou à l'intérieur au milieu , comme sur ta photo. Mais ce trou ne débouche pas puisqu'il y a devant, la plaque qui porte la marque Reicher-Jung et que je voudrais enlever. Apparemment toi tu ne l'as pas cette plaque. Quel beau microscope ! Et quelles belles images il procure ! Amitiés.
  2. Bonjour à tous, Mais je m'adresse plus particulièrement à Francisco qui possède un Polyvar. Voilà, je voudrais faire un peu de mécanique sur mon microscope (ajouter des cubes "maison".) Je voudrais savoir si on peut enlever la plaque avant P de la photo. (qui porte l'inscription Reichert-Jung) Je ne vois aucune fixation ! As tu fait ce démontage ? Bien amicalement.
  3. Tryphon T

    Airyscan

    Bonjour Pablito, Tu n'as pas vu la troisième vidéo (2 par messages!, la troisième est en lien) Je la remets ici: Bon dimanche.
  4. Tryphon T

    Airyscan

    Bonjour, Pour ceux qui s'intéressent à l'évolution de la microscopie photonique : Rêveusement.
  5. Bonjour Cosinus, As-tu essayé l' APN fixé au microscope et au microscope ? Vibratoirement.
  6. Qant à la colonne, c'est le fruit d'une longue réflexion -_- : -- le microscope n'est pas très lourd et peut être sensible aux vibrations... Petite expérience virtuelle sur les vibrations. Tu prends ton statif macro et à la place de l'appareil photo tu fixes fortement une CAP (Corde à piano) . Tu comprends tout de suite que si tu plies la CAP et que tu la relâches, elle va vibrer. Et les vibrations seront amplifiées par le bras de levier de la potence. Maintenant si tu fixes ta CAP d'une part à ton statif macro ET au microscope à l'autre bout, la CAP aura plus de mal à vibrer... En fait en microscopie si on veut éviter des vibrations, ce sont celles transmises par le sol, et la table. Dans ce cas on isole le microscope avec un bac à sable ou avec des dispositifs amortisseurs. Mais si c'est l'appareil de prise de vue et le capteur lui même qui vibre, ce n'est pas utile (au contraire) de l'isoler, puisque c'est lui qui vibre et crée le flou. Le capteur vibre par rapport à l'image fixe et ce n'est pas le statif qui va l'en empêcher. Le Tryphon qui n'en peut plus de Tryphonner... Pour la parafocalité, je suis entièrement d'accord avec toi et cela justifie bien le montage . En plus cela fait High-Tech... Genre Fusée Ariane sur son pas de tir (Je plaisante !) Par contre, ils auraient pu t'offrir l' adaptateur de la marque.
  7. Le Bazar: je voulais dire le microscope et la grue... pas le labo qui est bien rangé. Pour les vibrations : il y a erreur d'interprétation. Si l'appareil photo vibre, et comme il est suspendu en porte à faux et au bout d'un bras de levier important, il produira une image floue parce qu'il va se déplacer par rapport à limage qui est censée ne pas bouger, elle. Si l'appareil photo est solidaire du microscope, il vibrera moins puisque le microscope amortira une partie des vibrations et en plus, il n'y a aucun porte à faux. Et à la limite, le sujet bougera en même temps que l'appareil photo. On raisonne à l'envers si on croie que l'appareil photo va produire un flou de bougé parce qu'il va faire bouger le microscope et le sujet.` Tryphon le poète.
  8. Bonjour Cosinus, La table n'est-elle pas trop petite ? Le bazar risque de basculer si tu t'appuie dessus., il y a un porte à faux. La colonne est-elle bien utile? Sinon, il y a des appareils photo qui n'ont pas de vibrations. Félicitations .
  9. Bonjour JMC, Je ne pense pas, Ils pénètrent dans la peau par vibrations, ils ne s'y accrochent pas. Amitiés. .
  10. La bilharziose, cette maladie tropicale qu'on peut aussi contracter en Corse
  11. Mesurer l'absorption hétérogène de radiotraceurs dans les cellules vivantes : Le matériel :
  12. Tu peux le faire (pas te plaindre, mais l'option...) :)
  13. Bonjour Jean-Marc, Je vois sous ton microscopes deux courroies reliées à deux roues moletées, ce sont deux diaphragmes ? Dommage qu'il n'y ait pas un asservissement pour donner un éclairage à luminosité constante. Lumineusement.
  14. Tryphon T

    Mon coin labo

    Ah Ah Ah ! Qu'il est beau le Labo ! Bonjour Jérôme, Il te va falloir penser à pousser les murs. (Tu as une bien jolie Bino !) Cela me rappelle mes débuts. Amitiés.
  15. Tryphon T

    mon petit coin labo

    Bonjour Vasselle, (Tu n'aurais pas un prénom ?) Voilà un joli coin labo. On sent tout le soin et le respect que tu apportes à ton matériel. C'est la base de la microscopie. Longue vie à cette passion.
  16. 推信封苗丰强
  17. 推信封苗丰强
    1. Tryphon T

      Tryphon T

      推信封苗丰强
  18. 推信封苗丰强 ΠιΠζοντας το φάκελο με το μικροσκόπιο
  19. 推信封苗丰强
  20. Je lis et je relis depuis des années, sur des forums de microscopie, ce genre de phrase : Bien sur si je souligne Microscopie, c'est que cette phrase ou son équivalent doit être interprétée en fonction de la discipline dans laquelle on utilise ces fameux photosites. Et bien entendu, ce genre de phrase, parfois brandie comme une vérité ultime, aurait tendance à me réveiller. Donc en premier, qu'est-ce qu'un photosite ? Pour simplifier, sans déformer, un photosite est une petite surface d'un capteur électronique destinée à capter de la lumière (des photons). C'est même l'unité de base du capteur. Les photosites, indépendants les uns des autres, sont organisés en lignes et colonnes formant une matrice de points, qui correspondent à chaque pixel d'une image numérique. En ce qui concerne leur capacité à capter la lumière (les photons), ils peuvent être comparés à des récipients recevant de l'eau de pluie. Donc pour une pluie donnée, plus le récipient sera grand, et plus il recevra d'eau. En optique cela peut se traduire par la phrase suivante: plus le photosite sera grand et plus il recevra de lumière. Jusque là nous sommes tous d'accord !( Je l'espère !) Seulement sur une surface de silicium donnée (un capteur) plus les photosites sont grands, et moins il y en aura ! Et plus sa résolution spatiale sera faible !! Nous avons donc lors de la conception d'un capteur, deux impératifs contradictoires à gérer: La sensibilité du capteur aux faibles lumières et sa résolution (dans le sens de l'optique). Pour la résolution (la vraie) tout le monde aura compris que plus le photosite sera petit et plus grande sera la résolution spatiale du détecteur. Pour la sensibilité d'un photosite , c'est un peu plus compliqué, mais cela se comprend très bien. Nous avons pris l'exemple du récipient sous la pluie, mais il faut savoir qu'en réalité, les photons (incidents) arrachent au substrat semi-conducteur, des électrons. Et ce sont ces électrons qui seront traité "électroniquement" pour reconstituer une image numérique. Mais ce processus ( principe photo-électique ) est soumis aux lois de la physique qui nous disent que ce processus à une efficacité qui diminue plus vite que diminue le nombre d’électrons reçus. On appelle cela la dynamique . D'où la nécessité, pour un éclairage donné d'augmenter la surface collectrice afin de diminuer le rapport Signal/Bruit. Problématique: Nous avons donc une problématique, pour une surface de capteur donnée, si on veut augmenter sa résolution spatiale, on va en diminuer la dynamique et donc augmenter le bruit. D’où la réflexion citée au début du post, qu'il faut de gros photosites pour avoir une bonne image. Mon analyse personnelle : Elle va à l'encontre de cette conclusion hâtive (bien sûr, sinon je n'aurais pas fait chauffer mon clavier). Ne généralisons pas trop rapidement le phénomène constaté au point de croire qu'il est universel. En fait, si on raisonne sainement, il faut considérer TROIS cas de figure d'utilisation de capteurs électroniques. Prenons les trois domaines suivants. L'Astronomie. (C'est grâce à l'Astronomie qu'ont été initialement développés les capteurs électroniques parce qu'ils apportaient une sensibilité tres supérieure à ce qui se faisait avant avec les émulsions photographiques même hypersensibilisées. On pouvait voir avec des instruments d'amateur (Télescopes associés à de simples WebCam, Vesta Pro), des images aussi belles que ce qui se faisait peu d'années plus tôt dans les meilleurs observatoires professionnels) D'un temps de pose de 7 ou 8 heures on était passé à quelques minutes. La photographie courante. Hors studio. La microscopie. En astronomie, on n'a aucune action sur la lumière, il faut faire avec ce qui nous vient de l'espace. La faible clarté des étoiles ! En photographie courante en extérieur, c'est la même chose, l'éclairement du capteur ne peut pas dépasser ce que nous fournit l'astre solaire, et si le ciel est couvert ou le soleil bas, la petite taille des photosites est un handicap et fait apparaître du bruit numérique. Déjà en photographie de studio, on peut régler son éclairage. Et en microscopie, on a toujours la possibilité d'augmenter l'éclairage de son microscope.Ce qui n'est pas le cas bien sûr dans la nature ou en astronomie. C'est comme si , dans l'exemple de nos récipients, on augmentait la pluie. Si l'éclairage de notre microscope est limité à 30W, ce qui est faible pour certaines observation, qu'à cela ne tienne, passons à 100 voir 200 W ! Et il n'y aura plus de bruit ! Par contre, avec de petits photosites, nous aurons bien entendu une meilleure résolution qu'avec de gros photosites. Croire et conseiller, qu'en microscopie, il vaut mieux avoir de gros photosites sous prétexte qu'en photographie, c'est bien le cas, n'est-il pas là une vraie gageure ? Comme quoi, la vision du photographe, n'est pas toujours compatible avec la vision du micrographe. Mais vous n'êtes pas obligés de me croire... .
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