Tryphon T

Merci, Cela ne m'avance pas beaucoup, c'est un peu du Chinois. Bon, je ne vais pas me lancer immédiatement dans un nouveau projet, mais cela me semble assez intéressant d'approfondir la question. En effet un détecteur de photons, est un instrument de base en physique, et comme j'ai pas mal de ces tubes, cela pourrait constituer un projet à plusieurs.

Bonjour les Makers, :) En physique, (quantique), un instrument de base est le photomultiplicateur . On est parait-il capable de détecter un photon à la fois. Comme je possède pas mal de ces tubes, il serait intéressant d'essayer de s'en servir. Le problème : Ces tubes sont munis de "pattes" et ces pattes sont les connexions principalement d'alimentation des différentes grilles. Ensuite, bien sûr, on récupère le résultat. Sur l'appareil d'origine, bien évidemment toutes les alims sont présentes, mais noyées dans plusieurs raks électroniques, et sans schémas, il est fastidieux de démêler tout çà. Y a t'il à partir des DataShets, le moyen de déterminer le brochage des tubes et la valeur des différentes alims ? Leur nombre, leur précision ? 1P28.pdf

Bonjour Jean Marie, Oui, c'est un ensemble construit pour une application précise. Il doit donner exactement ce pour quoi il a été fait. Ceci dit, il est extrêmement long de le réutiliser dans son ensemble pour une autre application. Je parle de chaque module. La plupart du temps il faut tout re-concevoir et la fonction obtenue dépend uniquement de la précision de l'usinage et l'assemblage. Sur mon montage je suis conscient des défauts et si je les tolère, c'est uniquement par économie de temps (la vie n'est pas extensible) Il faut quand même se dire que l'ensemble des défauts conduit au résultat final. Il vaut mieux corriger le défaut le plus pénalisant que l'ensemble. Toujours la gestion du temps qui passe. J'ai de très nombreux exemples de déplacements linéaires avec guidage. Les plus aboutis sont ceux des lecteurs de CD ou les DD. Mais là aussi leur adaptation est difficile, plus que de tout refaire à zéro. Une anecdote : ma première imprimante au temps des débuts de l'informatique (années 70) venait d'une banque et comportait une tête à aiguilles qui se déplaçait guidée par des barres rectifiées (stubs) . Elle imprimait très vite et la tête partait comme un boulet de canon ! Le seul problème est qu'en bout de course, il fallait bien l'arrêter. Et là, au bout, il y avait un dashpot , modèle bien connu d'amortisseur pneumatique. Le bruit du dashpot associé au claquement des aiguilles (qui ne chaumaient pas) était surprenant et inoubliable !! {Nostalgie (blablabla encore un pt'it peu !) Le sifflement (avertisseur) du train à charbon de mon enfance , je ne l'ai retrouvé qu'une fois en montant dans un vrai train à vapeur restauré par une association (Midi Rail) et n'a rien à voir en direct (physiquement) avec ce qu'on peut entendre au cinéma ou sur une chaîne HiFi (digne de ce nom ,pas les gadgets modernes) ,ni bien sûr en se repassant l'empreinte virtuelle (mémoire) de notre cerveau. Entre parenthèse toujours, cela marque la différence entre le signal réel perçu par nos sens et nos pâles souvenirs virtuels. Signal réel qui, quand il arrive à notre conscience, est déjà filtré et dénaturé (adapté)} A mon prochain essai, j'essayerai le pneumatique, de Fontbrune y est bien arrivé avec des moyens simples ! Le bruit du dashpot me hante toujours !

Bonjour Claude, Oui, il en existe de petits, mais en même temps leur course est petite. Pour une course de 10 cm , ils sont déjà assez volumineux comme le prix. Le but est de faire des prototypes pas chers sans tomber dans le bricolage en carton et tubes de médicaments . Le matériel pour CNC amateur, imprimantes 3D et petits robots font l'affaire. En fait je crois que j'ai inconsciemment construit un instrument de musique avec caisse de résonance.

Bonsoir Claude, Merci pour ta suggestion. J'y ai pensé et cela me semble la meilleure solution. Seulement la fabrication très compliquée moi, je ne suis pas équipé pour cela. Il existe des actionneur pneumatiques réversibles, mais trop gros , ils sont prévus pour développer des forces énormes pour mon problème. https://www.google.com/search?q=actionneurs+pneumatiques&rlz=1C1CHBF_frFR856FR856&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjF047A4v_qAhUyxYUKHdIuASMQ_AUoAXoECAsQAw&biw=1494&bih=659

J'ai longtemps travaillé avec du Travenol, c'est un nom qui chante à mon oreille. Sans pub.

Bonjour Jean Marie, Ce sont les baques à billes. Il y a un système de guidage par bagues à billes et tiges rectifiées. Pour les tiges, ça a l'air d'aller, mais les bagues me semblent pas aussi précises que désiré. Les vraies bagues utilisées par exemple en aéronautique valent une fortune. Les miennes sont plus ordinaires. Il faudrait que je récupère celles d'imprimantes, mais c'est pas mal de travail. Je vais chercher autre chose. En fait, quand on fait un plan, que l'on calcule à l'aide de formules ou un logiciel de simulation, tout marche. La théorie, c'est bien, mais dans la pratique , c'est une autre histoire. C'est la matière qui décide, pas l'idée que l'on a d'elle. Bon, il y a des techniques d'ingénieur comme les polygones funiculaires qui permettent d'avancer dans la conception, mais au final c'est la matière qui décide. J'ai pensé que 4 tiges devraient guider efficacement mon ascenseur, apparemment ce n'est pas la meilleure solution Je peux supprimer une ou deux bagues sans rien démonter c'est pareil, cela ne change rien au bruit. Bruit = vibrations, il faudrait étudier la propagation des vibrations pour en localiser l'origine. Tout ceci n'est pas simple et prend du temps. Encore quelques semaines de réflexions et d'usinage. Le bla bla bla, est bien plus simple (quoi que...)

Des nouvelles de l'automate : J'ai refait l'ascenseur, celui-ci marche. Mais il est horripilant de par son bruit. Je vais le refaire sous une autre forme. Cent fois sur le métier, revoyez vos hypothèses Bla bla Bla

Bonjour, Le forum né il y aura bientôt 20 ans, est nécessairement en décalage avec ceux qui le découvrent aujourd'hui. Son emploi n'a rien à voir avec les réseaux dits sociaux. Certains ont besoin de conseils pour utiliser le microscope, tous ont besoin du mode d'emploi du forum, on ne peut pas le deviner. Pour cela j'invite les nouveaux adhérents dans le courrier de bienvenue, à lire les consignes fondamentales , sans lesquelles, on ne sera pas bien compris. Pour la présentation, c'est selon. Cela ne me gêne pas. Pour savoir poster et où poster, il faut suivre les liens qui ont été donnés. (Et rappelés dans ma signature.) Ici on n'est pas au bon endroit pour ce genre de questions, ni pour y répondre. Tout ce que l'on ne sait pas ou ne comprend pas peut être demandé. Amicalement.

TEST

Bonjour, Ce n'est pas la bonne section ici pour poser des questions alors que vous êtes déjà inscrit comme membre à part entière au forum. Ici c'est un espace pour que les non inscrits (public) puissent éventuellement poser des questions. Votre message a été déplacé au bon endroit ( d'ailleurs, il y en a plein d'autres !) et une réponse a déjà été faite et un Message Personnel vous a été adressé sur votre messagerie. Amicalement.

Bonjour, @ Jean-Luc, Pour les coupes végétales, je pense qu'à l'instar des coupes animales (ana-path par exemple) on peut aisément colorer des coupes déjà collées sur lame. Cela marche très bien et est beaucoup plus facile à manipuler. Pour l'appareil, oui, c'est d'une part un plateau tournant , un bras manipulateur, et un automate. L'avantage est que la coloration est reproductible et l'on peut entrer autant de protocoles que l'on veut (jusqu'à 6 réactifs) et les modifier à la milliseconde près. @ Dominique, Comme je travaille beaucoup sur les automates à microcontrôleurs, il m'a été naturel d'imaginer ce dispositif . En fait, il en existe de nombreux modèles dans le commerce mais qui valent des dizaines de milliers d'€. Mais d'un autre côté tu gâches le plaisir du travail manuelC'est justement pour moi l'inverse, le travail manuel est une punition d'autant plus grande que le travail est répétitif. Pourquoi faire soi-même lentement et maladroitement ce que fait un robot à la perfection . Je préfère construire le robot. De plus dans mon étude, il faut que les résultats soient parfaitement reproductibles. De plus les colorants - utilisés de cette manière - doivent être changés souventC'est un peu comme pour les lave-vaisselle, c'est beaucoup plus économique qu'à la main ! Un MGG me revient à 35 centimes ! et prend 1 minute. (qui dit mieux?) Pourquoi s'ennuyer à manipuler des colorants. Ma nouvelle configuration devrait me permettre de diviser les coûts par 4 ou 5. Amicalement.

Oui, Ici les produits que j'utilise ne sont pas toxiques. Je peux l'employer à l'intérieur sans aucune précaution. Mais il est facile de mettre l'automate dehors ou dans une enceinte avec aspiration vers l'extérieur en cas de produits plus agressifs. Amicalement.

Bonjour, Le confinement m'a permis de réaliser un automate de coloration. But : Réaliser des colorations de préparations microscopiques de manière automatique. Utilité : Il est souvent fastidieux de faire des colorations à la main, quand celles-ci font intervenir plusieurs réactifs selon des durées diverses. Moyen : Un petit robot (ou automate) qui se charge de tout. Principe : Les colorants (et réactifs) sont contenus dans de petits pots disposés sur un plateau tournant. Un bras, support de lame plonge au moment voulu et pendant une durée voulue dans le flacon adéquat. C'est un système à base de microcontrôleur et ses périphériques qui se charge de séquencer les opérations. Le principe est extrêmement simple, mais la réalisation demande beaucoup de soin et de temps. Les parties mécaniques ont été usinées au moyen d'une Fraiseuse CNC . Les programmes en G-Code ont été écrits à la main pour mieux coller à la réalité physique de l'usinage. En effet les programmes générateurs de G-Code ne permettent pas de tout contrôler, ce ne sont que des approximations, bien que plus rapides à mettre en oeuvre, ils sont parfois trop grossiers. Et ça marche ! (Pour les colorations classiques) Cependant je souhaite travailler sur des colorations ultra-rapides et je dois refaire un prototype lui aussi ultra-rapide avec des actionneurs pneumatiques ou electro-magnétiques. Amicalement.

Bonjour Denis, C'est quand même la solution la plus simple pour faire un éclairage à LED. Il suffit de remplacer l'ampoule par une LED de même surface et à la même place. D'après mon Orthoplan et d'après l'article de Jérôme, http://www.mik-mag.fr/2017/05/leclairage-des-orthoplan/ la lentille collectrice de lumière n'est pas sur le statif mais dans le boitier d'éclairage. Faire un éclairage à LED à partir de zéro, me semble très compliqué si on n'a pas les connaissances en optique et un bon atelier. Amicalement.

Bonjour, Excellent travail ! on imagine la difficulté de réalisation des coupes !Le foie se coupe très bien. Amicalement.

Bonjour et encore bravo ! Éternel râleur, je ne peux m’empêcher d'apporter mon grain de sel ( Mille pardon !) En fait la plume utilise le système du Velcro A mon avis, la Marque déposée Velcro, ne fait que reprendre ce qui existe dans la nature depuis pas mal de temps ( principe d'antériorité :) ). A l'époque, javais beaucoup été gêné par la poudre de plume. Ici , je n'en vois pas beaucoup, quelle espèce as-tu étudiée ? Bonnet d’âne, : la réponse est dans le titre ! Amicalement.

D'accord avec toi Jérôme ( je te salue en passant) . Ce sont des "coutumes" (comme la corrida de toros) et bien d'autres choses qui se transmettent depuis des siècles de génération en génération jusqu'à ce qu'il y ait prise de conscience. Amicalement.

Bonjour, HS, Mais quand même , ça me hérisse ! Publié le 08/10/2019 à 14:40 , mis à jour à 14:41Lundi soir, sur la commune de Lescure d’Albigeois dans le Tarn, des individus ont été repérés en train de chasser des hérissons à l’aide d’un chien. Aussitôt prévenue, police secours est intervenue. Les policiers ont procédé à l’interpellation de deux personnes, appartenant à la communauté des gens du voyage, en possession de sept hérissons. Les animaux rescapés, ont été conduits au commissariat pour être remisés en lieu sûr dans l’attente de l’intervention des agents de l’ONCFS. Ces derniers doivent procéder à leur réintroduction dans leur milieu naturel. Les deux quadragénaires incriminés encourent les sanctions applicables au braconnage d’une espèce protégée : deux ans de prison et 150 000 € d’amende. La rédaction de Ladépêche.

Bonjour Pierre, Sujet un peu ancien qui n'a pas eu de réponse définitive! si vous pouviez y jeter un coup d'oeil? Oui, il y a pas mal de chose que j'ai promises et comme cette remarque m'a particulièrement piquée, j'ai pas mal cherché pour me mettre dans le contexte de 2016, il y a trois ans. Ce qui est certain, c'est que le protocole en question ne s'applique qu'à une seule espèce de diatomée. La question d'un protocole est partie de là : http://forum.MikrOscOpia.com/topic/16144-du-micron-au-pixel-expos%C3%A9/?hl=protocole&do=findComment&comment=62625 et une suite a été donnée là :http://forum.MikrOscOpia.com/topic/16200-du-micron-au-pixel-discussions/?p=62706 Quelques extraits : Le protocole : Ce qui n'est pas dit mais semble évident. Mettre une échelle de la manière suivante : Photographier le micromètre . Avec le logiciel de retouche extraire une partie du micromètre et l'ajouter à la photo de la diatomée sans jamais modifier l'échelle des photos du micromètre et de la diatomée. Les traits dessinés sur la photo originale avec une mention de la taille en micron ne sont pas fiables . Chacun pourra chez lui à partir de cette échelle photographiée dessiner tous les traits dont il aura besoin... Présentation des photos sur le forum : Aucune réduction de l'image : une réduction de taille d'une image fait disparaître à jamais des détails (informations) ; ce n'est pas de la photo d'Art ! Vous pouvez par-contre augmenter la taille de l'image en l'indiquant : cela n'apporte aucune information supplémentaire mais peut faciliter l'interprétation. Ensuite il faut indiquer les caractéristiques du matériel comme il est indiqué en début de l'exposé : En résumé : Une même diatomée pour tous Actinoptychus heliopelta (undulatus ?) A confirmer par un spécialiste. Ne pas changer d’objectif : 40 X (on ne teste pas l'objectif! mais l'échantillonnage de la camera) Ne pas changer la zone photographiée si on change de camera. Ne jamais déplacer le sujet une fois que le premier cliché est pris. Mettre une échelle "directe" sur la photo. Ne pas changer les réglages du microscope après le premier cliché sauf la MAP. Refaire éventuellement la MAP sur le même détail que l'on aura noté. Le mieux est de faire la MAP sur l'écran vidéo en mode monitoring. S'il y a des questions , je préciserais. Amicalement.

Bonjour Pierre, Au sujet du protocole, il n'était pas explicitement formulé, mais contenu dans ce message Je recherche également un autre message qui en parle, je le rajouterai ici. http://forum.MikrOscOpia.com/topic/16104-quel-appareil-de-prise-de-vue-en-2016/?hl=python&do=findComment&comment=62260 Amicalement.

Bonjour, Si vous disposez d'une pièce dédiée, du temps, des connaissances en optique, électronique, informatique, et si vous rêvez d'un microscope confocal pratiquement gratuit, je peux vous donner un très bon filon! Me contacter. Amicalement.

Bonjour JPM76, Je ne crois pas aux indices du verre optique négatifs. En mathématique tout est possible, mais dans la réalité, je n'en suis pas si sûr. L'indice de réfraction d'un verre est toujours supérieur à 1 . (1 est l'indice de réfraction du vide). La célérité de la lumière dans le vide est c. Dans le verre dont l'indice de réfraction est supérieur à 1 la vitesse de la lumière est inférieure à c. Plus l'indice de réfraction est élevé et plus la lumière met de temps à ressortir du matériaux. Un indice de réfraction négatif voudrait dire que la lumière dans ce milieu voyagerait plus vite que c. Cela me parait incongru. Pour le satellite USA-224 on peut facilement calculer le diamètre de son miroir connaissant sa distance au sujet photographié et sa résolution estimée à 10 cm Je n'ai pas fait le calcul, mes neurones sont aussi fatigués que les tiens, mais cela ne me parait pas incompatible avec la technologie optique actuelle, sans faire appel à des calculs "imaginaires". Vous pouvez cliquer pour plus de détails... Amicalement.

Bonjour à tous, C'est tout à fait exact, la microscopie confocale ne se limite pas à la fluorescence . Ce sont quand même ces derniers microscopes (confocaux en fluo ) qui sont les plus utilisés en routine médicale et non expérimentalement. MCBL travaillant en fluorescence. MCBL pour les matériaux. Pour ce qui est de la limite d' Abbe, en effet, elle est infranchissable par définition puisque c'est une limite comme aurait pu dire Lapalisse. Le problème est d'abord de savoir ce qu'elle est réellement. (Où se situe-t'elle). Quand je dis qu'elle peut être dépassée c'est que le procédé qui permet cela utilise un autre cadre que celui dans lequel cette limite a été établie. La limite n'est pas dépassée mais l'image est mieux résolue . En science il est très difficile de s'entendre sur les mots car ils viennent d'humains et sont interprétés par d'autres humains. Mais à la limite les mots sont moins importants que les intentions . Amicalement.

Le sujet n'est pas clos, il y a encore beaucoup à dire. Ce qu'il faut dire, et cela n'a pas vraiment été dit avec suffisamment de force, c'est que la limite de Abbe peut être facilement dépassée en utilisant la fluorescence. Seulement on n'est plus dans la microscopie mais dans l' ultramicroscopie (ou mésoscopie). On ne voit plus directement la "surface" d'un objet, mais la lumière qu'il émet, comme la lumière d'une étoile lointaine. Une molécule fluorescente (ou non, dans le cas de l'ultramicroscope) invisible au microscope, peut être détectée et située dans l'espace (microscopie confocale à balayage laser) pour reconstituer l'image d'un objet microscopique.. Amicalement.